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GOPAC obtient le statut d’observateur à la Conférence des États parties à la CNUCC

Une délégation de GOPAC participera à la cinquième séance de la Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) comme observateurs officiels. Le statut d’observateur permet officiellement à GOPAC de participer aux séances d’information des ONG durant la Conférence, à d’autres groupes de travail sur la CNUCC et aux réunions du groupe d’examen de la mise en œuvre. Cet accès offre de meilleures occasions de s’assurer que les États parties à la Convention communiquent l’information ouvertement. Il s’agit aussi d’une chance de leur rappeler leurs engagements en vertu de la Convention, soit de promouvoir et d’améliorer les mesures pour prévenir plus efficacement la corruption et lutter contre celle-ci et de garantir leur mise en œuvre.
GOPAC se joint à l’UNCAC Civil Society Coalition et demande à ses membres d’implorer leur État partie :
En parallèle avec les délibérations officielles de la Conférence des États parties à la CNUCC, GOPAC anime le cinquième Forum des parlementaires et invite tout le monde à y participer. L’événement aura lieu le 27 novembre au Théâtre La Huaca du Centre des congrès Atlapa à la ville de Panama. 

Les présidents de GOPAC Zambie et de GOPAC Océanie recommandent l’inclusion de la lutte contre la corruption dans le Programme post-2015 de l’ONU

Le président de GOPAC Zambie, l’honorable Cornelius Mweetwa, était un jeune parlementaire délégué officiel de la Zambie à la consultation mondiale des jeunes parlementaires sur la Conférence internationale sur la population et le développement (CIPD) et le Programme de développement post-2015 des Nations Unies qui a eu lieu à Negombo, Sri Lanka, en octobre. L’événement a examiné les progrès effectués à ce jour quant à la mise en Å“uvre du Programme d’action adopté par 179 pays en 1994 à la Conférence internationale sur la population et le développement au Caire. Le président de GOPAC Océanie, John Hyde, y a également participé et a présidé des séances. M. Hyde et l’honorable Cornelius Mweetwa ont discuté des efforts de GOPAC pour inclure la lutte contre la corruption au Programme post-2015. 

« La lutte contre la corruption doit faire partie du Programme post-2015 des Nations Unies, Â» a expliqué le président de GOPAC Zambie, l’honorable Cornelius Mweetwa, aux députés qui ont participé à l’événement. 
Il a proposé que le deuxième dialogue des jeunes parlementaires sur les questions touchant la CIPD comprenne la recommandation suivante :

 Â« Tout objectif futur de développement doit aborder l’élimination de la corruption afin d’accroître les ressources pour la population et le développement. Â»

 Â« Les députés, en particulier les jeunes parlementaires, réalisent que les sommes perdues à la corruption sont des sommes qui ne peuvent pas être consacrées à combattre la mortalité maternelle, à réduire les grossesses chez les adolescentes et à élaborer des programmes complets d’éducation sexuelle, Â» a ajouté M. Hyde. « La lutte contre la corruption doit occuper une place plus importante durant les discussions sur la CIPD et les Objectifs du Millénaire pour le développement. Â» 

Les parlementaires sont des intervenants clés dans la réalisation du cadre de développement

Ceux qui sont engagés envers l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) se rendent compte que tous les avantages des Objectifs ne seront pas réalisés si les parlementaires ne deviennent pas des intervenants clés et que la corruption n’est pas attaquée de front. 

Selon M. John Hyde, président de GOPAC Océanie, il s’agissait du message principal de la Conférence post-2015 qui a eu lieu à Séoul. 

« Il ne reste que 800 jours avant que les Nations Unies (ONU) livrent le cadre qui orientera le développement après 2015. On comprend maintenant que les objectifs mondiaux communs de mettre fin à la pauvreté et de faire valoir de vrais droits de la personne  nécessitent la participation active des députés élus pour réaliser la mise en Å“uvre au niveau local, Â» a affirmé M. Hyde, qui a pris la parole à la conférence qui a eu lieu cette semaine en Corée. 

Divers experts du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), de la société civile, des domaines médicaux, de l’enseignement et autres ont tous souligné l’entrave que représente la corruption dans la réalisation des huit OMD existants.  
 Â« On estime que 6,2 billions de dollars sont perdus chaque année à la corruption, tandis que les OMD ne coûteront que 481 milliards de dollars à financer, Â» explique M. Hyde. « Ce que l’humanité perd à la corruption dans une année représente suffisamment d’argent pour mettre fin à la pauvreté et financer le développement durable fondé sur les droits une douzaine de fois. Â»

Les consultations du PNUD même auprès d’un million de personnes ont démontré que la gouvernance responsable figurait comme troisième priorité, après la santé et l’éducation, dans le cadre des objectifs post-2015.  

GOPAC demande à l’ONU de s’engager envers le nouvel objectif proposé 10 e) du rapport du panel de haut niveau sur le Programme de développement post-2015 : « de réduire la subornation et la corruption et de faire en sorte que les dirigeants sont tenus responsables. Â»

Lancement de GOPAC Sri Lanka

Seize parlementaires du gouvernement et de l’opposition du Sri Lanka se sont réunis à Sri Jayawardanepura (Kotte) en octobre pour établir la 48e section nationale de GOPAC. Les participants, qui se sont rassemblés au Parlement du Sri Lanka, se sont engagés à veiller à la surveillance transparente de la lutte contre la corruption, en n’oubliant pas que le Sri Lanka fut le premier pays de l’Asie du Sud à signer la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) en 2004. Tous les dirigeants des partis étaient présents à la réunion. Seize parlementaires additionnels qui ne pouvaient pas participer au lancement se sont également engagés à se joindre à la lutte. 
Les députés de GOPAC Sri Lanka ont élu l’honorable Rauff Hakeem comme président. M. Hakeem est ministre de la Justice et leader du Congrès musulman de Sri Lanka, un parti minoritaire du gouvernement du Sri Lanka.   

Les députés membres de GOPAC Sri Lanka se sont rencontrés de nouveau le 8 octobre pour adopter un plan d’action annuel. Les députés qui ont participé à la réunion inaugurale ont identifié le blanchiment de capitaux, l’examen de la CNUCC et la transparence du processus d’approvisionnement en tant que questions qu’ils pourraient considérer.
Votre parlement a-t-il joué un rôle dans la mise en œuvre et la surveillance des dispositions de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) dans votre pays?

Partagez vos idées: Question du mois de GOPAC

Délégation de GOPAC à la Conférence internationale sur la lutte contre la corruption au Pérou

Le 26 septembre, GOPAC a animé  une réunion d’experts à la 4e Conférence internationale sur la lutte contre la corruption organisée par le Bureau du contrôleur général du Pérou. Suivant le thème de cette année, « l’établissement de réseaux pour prévenir la corruption Â», les représentants de GOPAC étaient heureux d’avoir l’occasion de mettre en valeur le travail de lutte de contre la corruption et de promotion de la transparence réalisé par notre réseau de parlementaires à travers le monde. Cesar Jauregui de GOPAC Mexique, qui représentait le Groupe de travail mondial sur la surveillance parlementaire, a parlé du rôle important que jouent les parlementaires dans la lutte contre la corruption grâce à la surveillance de l’organe exécutif, tandis que la conseillère en programmes, Vicki Baxter Amade, a souligné certaines des mesures que peuvent prendre les parlementaires pour promouvoir la participation de la société civile dans la lutte contre la corruption.
La section récemment établie de GOPAC Pérou a profité de l’événement pour présenter leurs plans au public péruvien. Le président Carlos Bruce a demandé la nomination d’un vérificateur général indépendant pour surveiller les finances du Congrès du Pérou et a engagé la section nationale à travailler en collaboration avec le Bureau du contrôleur général pour lutter contre la corruption.    

Les huit cents personnes présentes et qui représentaient des ministres, des parlementaires, des dirigeants publics et des membres de la société civile ont apprécié la présence de GOPAC et ont applaudi la création d’une section officielle au Pérou.

Nouveaux membres du Conseil d’administration 

GOPAC est fière d’annoncer que M. John Hyde, président de GOPAC Océanie, a été élu trésorier du Comité exécutif en octobre. M. Hyde siégeait déjà au Conseil d’administration comme représentant de l’Océanie. Il s’est joint à GOPAC en 2011 et a depuis fait preuve d’un leadership incontestable au sein de l’organisation. Il a été essentiel à l’établissement d’une section nationale dans son pays d’origine de l’Australie, ainsi que de sections nationales à Kiribati et au Sri Lanka. 

Le Conseil d’administration a également élu un Comité de vérification. 
Fernanda Borges de GOPAC Timor-Leste sera la présidente du Comité et l’honorable Shakeel Shabbir Ahmed (Kenya), Mme Yasmin Ratansi (Canada), l’honorable Robert Masitara (Botswana) et l’honorable Aliou Barry (Guinée) se joignent à elle.

Le Comité de vérification vise à aider le Conseil à satisfaire à ses responsabilités grâce à la surveillance de la vérification annuelle de GOPAC et des enquêtes sur les dossiers importants de conflit d’intérêts, d’inconduite, de fraude et de maltraitance.  

Nouveau président du Groupe de travail mondial sur la Convention des Nations Unies contre la corruption

Le Groupe de travail mondial sur la Convention des Nations Unies contre la corruption a souhaité la bienvenue en octobre à l’honorable Kamarudin Jaffar comme nouveau président. M. Jaffar est le président de GOPAC Malaisie et était déjà membre du Groupe de travail mondial sur la Convention des Nations Unies contre la corruption (GTM-CNUCC). Le président sortant, M. Naser Al Sane, siégera toujours comme membre du GTM.  

L’engagement de GOPAC envers de la CNUCC a débuté lors de la cérémonie de signature à Mérida au Mexique en décembre 2003. Une résolution prise à la Conférence mondiale de GOPAC à Arusha en Tanzanie en septembre 2006 traçait les grandes lignes de la création du GTM-CNUCC pour promouvoir la mise en Å“uvre efficace de la CNUCC et pour déterminer des améliorations complémentaires aux rôles de gouvernance des parlementaires.

L’honorable Kamarudin Jaffar a obtenu des diplômes auprès de la Kent University à Canterbury et de la School of Oriental and African Studies de l’University of London, au Royaume-Uni. 
Il était anciennement agent de la fonction publique malaisienne et ensuite chargé de cours à la National University of Malaysia. Il était le directeur fondateur de l’Institute for Policy Research en 1985. En 1986, il a été nommé secrétaire politique du vice-premier ministre, Abdul Ghafar Baba. Il quitta son poste en 1991, mais a poursuivi sa carrière politique dans l’UMNO et a pris la tête de Tumpat en 1998.   

Il a été détenu le 21 septembre 1998 en vertu de la Loi sur la sécurité intérieure, une journée après l’arrestation du vice-premier ministre Anwar Ibrahim. Il a été libéré huit jours après, mais a été dépouillé de son affiliation à son parti en juillet 1999. M. Jaffar a été élu au Parlement en 1999 et a gagné son siège de nouveau en 2004, 2008 et 2013. Il était secrétaire général du PAS de 2005 à 2009. Au Parlement, il siège comme membre du Comité des comptes publics depuis 2004.        

Promotion des Lignes directrices pour renforcer le contrôle aux réunions de la Banque mondiale et du FMI

La conseillère en programmes Lesley Burns a participé aux réunions annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) et du Réseau parlementaire sur la Banque Mondiale et le Fonds monétaire international qui ont eu lieu au siège social du FMI à Washington, DC, du 8 au 10 octobre 2013. L’événement constituait une occasion de promouvoir les Lignes directrices pour renforcer le contrôle à travers la collaboration entre parlementaires et donateurs, notre outil de surveillance créé en collaboration avec le Réseau parlementaire sur la Banque Mondiale et le Fonds monétaire international.
 
La réunion du Réseau parlementaire comprenait une séance sur le travail de lutte contre la corruption entrepris par la Banque mondiale qui a suscité des discussions animées parmi les législateurs.
Les parlementaires ont posé des questions sur les efforts de la Banque mondiale pour assurer une collaboration accrue avec les parlementaires. Ils ont aussi exprimé le désir de travailler de plus près avec les organisations donatrices pour veiller à ce que l’aide soit dépensée efficacement dans leur pays pour accroître leur responsabilisation envers les citoyens.

Conformément aux recommandations établies dans les Lignes directrices pour renforcer le contrôle, les parlementaires ont aussi revendiqué des réunions obligatoires et régulières avec le personnel de la Banque mondiale et du FMI tout au long de la durée des projets financés par la Banque mondiale ou le FMI.    

Collaboration avec les intervenants de la société civile pour lutter contre la corruption et promouvoir la transparence 

GOPAC Canada et le Secrétariat mondial de GOPAC se sont associés à Transparency International Canada pour rassembler des organisations canadiennes de la société civile Å“uvrant dans les domaines de la lutte contre la corruption et de la promotion de la transparence. Le groupe s’est réuni à la Colline du Parlement le 9 octobre pour discuter des occasions d’accroître l’effet collectif du leadership public en travaillant ensemble. Les organisations participantes incluaient Publiez ce que vous payez Canada, FAIR Canada, les Canadiens pour une fiscalité équitable, le Centre de recherches pour le développement international, l’Association du Barreau canadien, le Paul Maillet Center for Ethics, Connective Capacity Consulting, l’Halifax Initiative, le Réseau parlementaire, l’Association des praticiens en éthique du Canada et la Croix-Rouge canadienne.     

L’objectif de la réunion était de mieux comprendre les réalisations et les priorités des organisations participantes et de cerner les questions d’intérêt commun qui bénéficieraient de la collaboration entre les organisations.  

Dans l’ensemble, la réunion fut un succès. 
Les organisations participantes ont défini un nombre de questions clés communes, y compris la déclaration de propriété bénéficiaire, la protection des dénonciateurs et la promotion conjointe de la lutte contre la corruption. Les participants étaient désireux d’aller de l’avant et de bâtir une communauté plus solide et efficace de lutte contre la corruption au Canada et ailleurs. Ils ont convenu de fournir un compte-rendu des résultats de la réunion à leurs organisations respectives et de déterminer les questions sur lesquelles ils seraient plus aptes à collaborer. Ils se sont engagés à travailler en collaboration dans les semaines et les mois à venir. 

De leur côté, GOPAC Canada et le Secrétariat mondial de GOPAC se sont engagés à prendre les devants dans la promotion de la déclaration de propriété bénéficiaire et d’organiser une activité conjointe à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre la corruption le 9 décembre pour améliorer le soutien du programme de lutte contre la corruption au Canada. 
En travaillant ensemble, les organisations de la société civile peuvent faire progresser leurs mandats respectifs d’améliorer la responsabilisation et l’intégrité dans la sphère publique.  
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