Parution Bimestrielle – janvier  2014 – n°15
Lettre d'actualités de Green Cross France et Territoires
EDITO
 
Janvier 2014, année de la transition écologique des territoires ? Nous vous souhaitons une année sereine, durable, saine et heureuse....

Les échéances sont nombreuses, et l'agenda très chargé: sur l'océan, l'eau, l'énergie - comme sur le climat et la prévention des conflits. Il y a beaucoup à faire dans un contexte où il faut du concret, des projets, de la pédagogie pour faire passer nos messages.

Plus que jamais, votre soutien nous est indispensable, et nous permettra de mener à bien 3 priorités en 2014:
  • Inciter à la mise en place d'une gestion sereine de l'eau et de l'océan, qu’il s’agisse de sensibilisation et d’éducation (livret « eau, des clés pour agir » par exemple), de plaidoyer pour rendre opérationnel le droit à l’eau ou obtenir une gouvernance sereine des océans, ou d’actions de terrain.
  • Proposer des solutions concrètes sur les territoires, via l’économie circulaire, en incluant des activités agricoles, industrielles ou énergétiques, ou de prévention de conflits d’accès aux ressources. Nos programmes d'agri-écologie et notamment la transition porcine en Bretagne sont plus que jamais d'actualité.
  • Mettre en place une mobilisation concrète et ambitieuse de la société civile, notamment avec Tara Expéditions, pour que la Conférence des Parties sur le Changement Climatique à Pars en décembre 2015 soit une mobilisation réelle, concrète et opérationnelle à la hauteur des enjeux.
Quant au sujet des gaz de schiste et au nucléaire, les décisions européennes et françaises récentes nous inquiètent, nous restons vigilant et ne lâchons rien.

Bonne lecture,

Nicolas Imbert - directeur exécutif
 
 
SOMMAIRE

 
EAU ET OCEANS

Green Cross et Tara développent une initiative commune avec l’UNESCO/COI pour contribuer à la mobilisation de la société civile en préparation de la COP21 à Paris 

Les algues vertes reviennent en force 


ENERGIE

Le gaz de schiste

Projet de loi sur la transition énergétique : la position des acteurs de la transition 

« Autonomie énergétique : Le Pacifique Sud, cas particulier ou laboratoire du monde ? » 


PRÉVENTIONS ET CONFLITS

Retour sur les principaux événements climatiques marquants de l’année 2013 : 
Présentation du 5e rapport du GIEC
La pollution atmosphérique cancérogène avérée
 
Note de WE DEMAIN sur les sites les plus pollués de la planète 


AGROECOLOGIE

Note scientifique sur la transition porcine


AGENDA


 
 
EAU ET OCEANS
 
Green Cross et Tara développent une initiative commune avec l’UNESCO/COI pour contribuer à la mobilisation de la société civile en préparation de la COP21 à Paris

La COP21 qui aura lieu à Paris en 2015 sera l’occasion de fédérer le plus largement la société civile sur les enjeux « Océan et climat ». Pour cela un agenda structuré est dès à présent mis en place où l’on peut retrouver diverses participations à des évènements tels que le Sommet des chefs d’états pour le climat à l’ONU en Septembre prochain, la COP 20 à Lima en Décembre prochain mais aussi au Forum Mondial de l’Eau à Daegu-Gyeongbuk du 12 au 17 avril 2015.
Les sujets qui nous tiennent à cœur sont :
  • Réparer les océans - entre enjeux climat, biodiversité, pollutions, on fait comment ?
  • Le Cycle de l'eau - enjeux et urgence d'agir
  • Rémunérer les services rendus par les écosystèmes marins - où en est-on ?
  • Haute mer - enjeux de gouvernance et prévention des conflits
  • Temps des engagements internationaux et des solutions concrètes
Pour que ce succès soit total, nous comptons sur la participation de toutes et tous, et nous souhaitons mobiliser tous les réseaux.

Site web de Tara : http://oceans.taraexpeditions.org/?id_page=1
Site web de UNESCO/COI : http://www.unesco.org/new/fr/natural-sciences/ioc-oceans/


Les algues vertes reviennent en force

Le développement des algues vertes se poursuit sur les côtes françaises. En effet, d’après le CGDD, le phénomène dépasse largement la Bretagne, même si elle reste la plus touchée avec 51 plages et 33 vasières d’estuaire touchées en 2012. Malgré la volonté du gouvernement de « supprimer la prolifération des algues vertes d’ici 10 ans », aucune mesure n’a encore permis de savoir comment le gouvernement allait procéder. De nouvelles plages sont donc touchées comme celles situées sur les îles de Ré et d’Oléron. Ceci influera sur les coûts de ramassage et de traitement de ces algues augmenteront pour les collectivités locales et dépasseront les 1,7 millions d’euros (coûts 2012).
Par ailleurs, les micro-algues se développent sur les côtes françaises, y compris en Méditerranée. Un phénomène inquiétant car on en dénombre jusqu’à plusieurs millions par litre d’eau et qu’elles sont plus nombreuses en 2012 qu’en 2011. Il y aurait 10 masses d’eau inquiétantes sur 116 étudiées. De plus, certaines peuvent s’avérer dangereuses comme le cas de Phaeocystis qui asphyxie les poissons. La majorité du temps, elles modifient l’équilibre de la flore en faveur d’espèces non silencieuses et se révèlent donc néfastes pour la faune comme pour l’homme.

Article sur les algues vertes : http://www.journaldelenvironnement.net/article/les-algues-vertes-debarquent-desormais-sur-toutes-les-cotes,41326
Eau et océan : http://gcft.fr/WP/category/nos-actions/eau-et-oceans/
Agroécologie : http://gcft.fr/WP/category/nos-actions/agroecologie/

« Doomed Glaciers of Africa », une expédition menée en Ouganda par Pax Arctica et Green Cross International
Une expédition de 2 semaines sur les Monts Rwenzori dans l’ouest de l’Ouganda est menée par l’explorateur Luc Hardy, fondateur de Pax Arctica et vice-président de Green Cross France et Territoires. Il sera accompagné de Sheila Ruyondo, défenseuse ougandaise de l’environnement et représentante  de la jeunesse de l’Ouganda au Parlement mondial de la jeunesse pour l’eau, mais aussi David Rastouil, guide de haute montagne, et Richard Atugonza, étudiant à l’université ougandaise.
Les glaciers situés dans les montagnes de Rwenzori peuvent cesser d’exister en deux décennies car la superficie couverte par les glaciers a diminué de 7,5 km² à moins de 1 km². De plus, d’après Luc Hardy, la situation des montagnes de Rwenzori met en avant les défis auxquels nous sommes confrontés tant en termes de changement climatique que d’enjeux liés à l’eau.  
C’est pourquoi cette expédition a pour but de fournir des informations précieuses sur les effets du changement climatique sur les glaciers et la conséquence qu’il peut y avoir sur les pénuries d’eau et les écosystèmes d’eau dans cette région. En complément à ces objectifs, la composition des espèces végétales dans la région sera étudiée et les capacités de surveillance des glaciers du Centre de recherches de montagne seront développées.
Des films, reportages et photos seront disponibles sont le blog de Green Cross International (plus d’infos ici: http://www.gcint.org/) et Pax Arctica (plus d’infos ici: http://www.paxarctica.org/). 

                                                                                                                                   
 


ENERGIE
 
Le gaz de schiste

L’exploitation par fracturation hydraulique des gaz de schiste procure à l’exploitant un retour sur investissement annuel de 1% dans le meilleur des cas. Ce qui met en avant une faible rentabilité pour l’exploitant sous oublier un risque économique élevé.
Un constat donc beaucoup moins réjouissant que ce qu’avancent quelques supporteurs à l’heure actuel.
Les risques d’exploitation des gaz de schiste sont, par contre, eux, importants et avérés. C’est d’ailleurs pour cela que le Conseil Constitutionnel interdit la fracturation hydraulique sur le sol français. De par la fracturation de la roche-mère, des polluants tels que le mercure, le plomb ou encore du cadmium sont libérés. Ceux-ci sont cancérigènes, reprotoxiques et mutagènes. Le milieu de fracturation agit comme un catalyseur qui génère de nouvelles molécules toxiques. Ces substances pouvant contaminer eaux de surface et nappe phréatique.
Des risques représentant un enjeu direct pour la santé humaine et l’ensemble du biotope avec une pollution des eaux et des sols mais aussi des risques sismiques et des conflits d’usage.
 
Gaz de schiste : http://gcft.fr/WP/gds/
Synthèse du rapport Green Cross sur le gaz de schiste : http://gcft.fr/wp-content/uploads/2013/07/20130222_Synthese_etude_gcft_gaz_schistefinal.pdf


Projet de loi sur la transition énergétique : la position des acteurs de la transition

Le projet de loi actuel reprend certaines conclusions du Débat national sur la transition énergétique et les objectifs présentés par le Président de la République lors de l’ouverture de la Conférence environnementale de 2013 et met notamment l’accent sur la rénovation thermique des bâtiments, un des enjeux majeurs de la transition.
La CNTE attire l’attention, tout d’abord, sur la nécessité d’utiliser des jalons de transitions intermédiaires, des mesures à court terme et la promotion de la sobriété énergétique pour un premier élément de transition et un engagement de mutation. De plus, la commission met en avant l’utilité de renforcer l’implication des citoyens et des collectivités dans une transition énergétique mais aussi un accompagnement des transitions professionnelles. Pour cela, elle demande à l’Etat de réfléchir à un financement à la hauteur de ces enjeux. Par ailleurs, préciser la manière dont l’Etat entend mettre en œuvre la réduction de la part de nucléaire dans la production d’électricité en 2025. Pour finir, prendre en compte le changement obligatoire des modes de transports actuels vers des transports plus écologiques comme les véhicules électriques et les transports collectifs.
 
Les signataires de cette lettre adressée au ministre de l’écologie, M. Philippe Martin, furent nombreux : CFDT, CLER, Ecologie sans frontières, Energy Cities, FNE, FNH, FUB, Humanité et Biodiversité, Green Cross, Les Petits Débrouillards, OREE, RAC, Scouts et Guides de France, UNSA, WWF, 4D mais aussi M. Denis Baupin, M. Ronan Dantec et M. Bruno Rebelle.
 
Site web CFDT : http://www.cfdt.fr/portail/confederation-j_5


Projet Moana Nui: participation au 1e colloque
Le projet Moana Nui a pour but d’utiliser les clés et « sagesses » du Pacifique traditionnel et ancien, afin de les actualiser et de les utiliser dans l’approche de problématiques complexes du Pacifique moderne, mêlant environnement, économie et société. Tout au long de cette expédition trans-Pacifique et à chacune de ses étapes, des colloques traitant de ces problématiques seront organisés.
Le 1e colloque qui se déroulera le 11 Février 2014 au Palais du Luxembourg aura pour sujet l’autonomie énergétique dans le Pacifique Sud. Sera mis en avant l’aspect spécifique de l’environnement et de la géographie du Pacifique Sud mais aussi son potentiel de « territoire pilote ». Pour cela, les techniques spécifiques pouvant conduire à l’autonomie énergétique et les possibilités de financement de ces méthodes seront développées. De plus, l’avènement d’une « filière autonomie énergétique » sera évoqué. Pour finir, ce colloque traitera de l’impact de potentiel de ces techniques sur l’environnement océanique et insulaire ainsi que de nouvelles approches et bouleversements que ces techniques peuvent engendrer en terme de mode de consommation, de production et de « rapport à l’énergie » dans le Pacifique. 


 
PRÉVENTIONS ET CONFLITS
 
Retour sur les principaux évènements climatiques marquants de l’année 2013

Présentation du 5e rapport du GIEC

Le Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat a présenté l’état des connaissances scientifiques sur le réchauffement en cours le 27 Septembre 2013. Sans surprise, ce fut une « confirmation mais aussi un renforcement des diagnostics précédents » d’après Jean-Pascal Van Ypersele, vice-président du GIEC.
Tout d’abord, concernant l’élévation de la température terrestre, celle-ci serait due à l’accumulation des gaz à effet de serre d’origine humaine. Cette constatation n’est pas sans  conséquence : pour la période 2081-2100, l’élévation de température sera comprise entre 0,3°C et 4,8°C. En outre, avec un réchauffement moyen depuis 1880 de 0,85°C, les trois dernières décennies sont, d’après le GIEC, « probablement » les plus chaudes depuis au moins mille quatre cents ans.
D’autre part, en ce qui concerne la fonte des glaces, les banquises Arctique et Antarctique perdent, en surface, entre 9,4% et 13,6% depuis 1979. Un constat alarmant car, d’après les experts, la banquise Arctique pourrait totalement disparaitre au milieu du siècle. Les glaciers de montagnes sont aussi concernés par ce phénomène. Ceux-ci ont perdu en moyenne 275 milliards de tonnes de glaces par an entre 1993 et 2009.
Pour finir, le niveau de la mer est aussi touché par le réchauffement avec un ryhtme actuel de 3,2mm par an et une augmentation moyenne des océans de 19cm entre 1901 et 2010. Les experts estiment qu’au cours de la période 2081-2100, la mer pourrait être plus haute de 26 cm à 82 cm. Cependant, ils n’oublient pas de rajouter que certaines régions seront plus rapidement affectés que d’autres.
 
Rapport GIEC : http://www.developpement-durable.gouv.fr/Publication-du-Volume-1-du-5e.html
 
Site web GIEC : http://www.ipcc.ch/home_languages_main_french.shtml#.UtZXDPTuLHA


La pollution atmosphérique cancérogène avérée

Le 17 Octobre, le CIRC et l’OMS classait la pollution atmosphérique « cancérogène avérée » pour l’homme et rejoignait alors la catégorie « cancérigène certain », cette même catégorie comprenant les effets du gazole et des particules fines sur l’homme.
D’après un communiqué de l’IARC, les experts ont conclu que la pollution de l’air extérieur provoquait le cancer du poumon mais aussi un risque important que celle-ci provoque le cancer de la vessie. En effet, en 2010, 223 000 personnes sont mortes d’un cancer du poumon en lien avec la pollution de l’air. De plus, cette pollution aurait des conséquences néfastes, dès la grossesse, sur le développement du fœtus.
La pollution atmosphérique a été provoquée par un mélange de substances provoquant le cancer tel que les gaz d’échappement des moteurs Diesel, les solvants, les métaux et les poussières. Par ailleurs, les pays largement peuplés et à la croissance industrielle rapide ont des niveaux d’exposition à la pollution atmosphérique plus élevée.
D’après Christophe Wild, directeur du CIRC, « des moyens efficaces existent pour réduire la pollution de l’air ». Une possibilité donc pour la communauté internationale de prendre des mesures dans les plus brefs délais.
 


Note de WE DEMAIN sur les sites les plus pollués de la planète
Dans notre dernière newsletter, nous vous parlions des 10 sites les plus pollués de la planète. Notre partenaire et mécène, WE DEMAIN, les a mis en avant dans un « anti-guide de voyage ». A consulter d'urgence - et très utile pour faire bouger les choses.
 
Pour en savoir plus : http://www.wedemain.fr/L-anti-guide-de-voyage-par-We-Demain_a386.html


 
AGROECOLOGIE
 
Transition agricole et élevage - le point sur nos projets
 
Green Cross aborde l’agroécologie dans une démarche structurante et intégrée, sur le terrain. En effet, elle intègre, tout d’abord, le bien-manger sur notre territoire (Portfolio WE DEMAIN), mais aussi une démarche consommation avec différents acteurs tel que l'Office du Tourisme de St Brieuc, un projet de développement des fonctionnalités écologiques d'une exploitation, notre participation au comité scientifique du projet de la Bourdaisière, et notre projet de transition porcine durable.

Nous consolidons actuellement le rapport d'étape 2013 de notre projet "porc durable".
Par ailleurs, nous avons eu différentes interventions sur le thème agro-écologie sur lesquelles nos travaux sont cités (http://gcft.fr/WP/category/nos-actions/agroecologie/), ainsi qu'une longue interview spécifiquement sur les enjeux économiques (http://bit.ly/1beRxLD).

Nous sommes à une étape où l'inflexion du mode d'élevage correspond à la fois à une nécessité économique, écologique, et de développement des territoires, mais nécessite une mobilisation importante tant de la filière, que des consommateurs et pouvoirs publics. L'équation économique a besoin d'être complétée en développant le projet autour de plusieurs transformateurs complémentaires, mais également en densifiant le réseau d'éleveurs. C’est pourquoi nous y travaillons actuellement. Ce développement de la filière est une action à moyen et long terme, sur lesquels nous consolidons également le réseau d'acteurs, dans une logique de consensus et de mobilisation opérationnelle.

Nous vous tiendrons au courant dans la prochaine newsletter des échéances 2014 et 2015 de ce projet au cœur de l'actualité.
 
AGENDA

Janvier:
              La Fête de la Coquille Saint-Jacques met à l’honneur la gastronomie et les savoir-faire culinaires de la Baie de Saint-Brieuc dans les Côtes d’Armor
  • 27 Janvier 2014 : Acteurs de la transition énergétique -conférence de presse, 4 boulevard de la Villette, 15h00-16h00
              Rappel de nos exigences pour PL TE, de notre implication dans les Assises de l'Energie Dunkerque et de notre vision de la préparation de la Conférence Bancaire et Financière pour la TE.
              Nicolas Imbert interviendra en plénière d'ouverture le 28 Janvier 2014 à 10h45, sur la thématique énergie et transition des territoires 

Février:
 
  • 11 Février 2014 : Colloque Moana Nui, Palais du Luxembourg, Paris, 11h00-13h00, sur inscriptions par email à eva.gassmann@gcft.fr 
                Intervention de Nicolas Imbert concernant l'importance d'une stratégie énergétique robuste et diversifiée, dans une démarche d'économie circulaire, de l'importance de l'efficacité énergétique et des énergies 4D (déconcentrées, diversifiées, décarbonées, démocratiques...) et des atouts qu'ont les zones littorales en général et les îles du pacifique en particulier pour devenir des territoires pilotes.
                L'événement professionnel majeur du Développement Durable et de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) en région PACA. Intervention de Nicolas Imbert sur le thème 'd'une RSE d'incantation à une RSE incarnée: les enjeux pour les entreprises.
 
  • 18 Février 2014 : Intervention de Nicolas Imbert "Entreprendre pour l'économie circulaire" devant la chaire recyclage commune à l'Ecole Centrale de Lyon et à l'EM-Lyon, à Ecully (69). Renseignements et inscriptions par email à eva.gassmann@gcft.fr 

Mars:

Avril:
  • 7 Avril 2014 : Conférence gaz de schiste, Versailles, en soirée pour un panel citoyens - renseignements et inscriptions par email à eva.gassmann@gcft.fr 


NOUS SOUTENIR
 
Green Cross France et Territoires étant d’intérêt général, vos cotisations et dons 2014, sont:
- déductibles de vos revenus à hauteur de 66% pour les particuliers (ainsi, une cotisation à 45 euros vous revient à 15 euros, mais génère 45 euros de budget pour l’association),
- et de 60% pour les entreprises (ainsi, une cotisation à 450 euros coûte 150 euros à votre entreprise, mais génère 450 euros de budget pour l’association),
 
Deux solutions pour cotiser et adhérer:
- en ligne, en 3 minutes, avec paiement sécurisé: http://gcft.fr/WP/soutenir/
- en renvoyant le bulletin d’adhésion et de don téléchargeable ici à Green Cross France et Territoires, 33 rue Chaptal Levallois 92300, France.
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