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La croissance de GOPAC et la lutte contre la corruption en Océanie

GOPAC Océanie, en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le développement, a accueilli des législateurs des îles Cook, des Îles Salomon et de Tonga, ainsi que des membres de GOPAC Australie et de GOPAC Kiribati lors d’une réunion régionale à Rarotonga, aux îles Cook, en février. Cette réunion a permis à la région de l’Océanie de mettre en valeur le potentiel des parlementaires désireux de soutenir des programmes de lutte contre la corruption dans leur pays et dans leur région, tout en se concentrant particulièrement sur la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) et la surveillance parlementaire.

Le Premier ministre des îles Cook, Henry Puna, a prononcé le discours d’ouverture de l’événement. Dans son allocution, il a souligné le fait que les îles Cook ont ratifié la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) en 2011 et que les législateurs du pays ont à cœur une forte reddition de comptes à la population et la surveillance parlementaire.
À la fin du deuxième jour, les législateurs des îles Cook ont décidé de créer une nouvelle section. Tout près de 75 % des législateurs du pays se sont joints à GOPAC îles Cook et se sont engagés à mener une lutte acharnée contre la corruption, au pays et à l’étranger. Nandi Glassie dirigera la section à titre de président, avec l’aide de Tetangi Matapo au poste de vice-présidente. Selina Napa, trésorière, Mona Ioane, secrétaire, et John Mokoenga Henry, membre du Conseil des directeurs, se joindront à eux.

La transparence dans les divers systèmes de gouvernance         

Le directeur des opérations de GOPAC, Akaash Maharaj, a prononcé une allocution lors d’un événement dans le cadre de la Governance Speakers Series, qui a eu lieu à Ottawa, au Canada, au début de février. L’événement était organisé par les antennes ottaviennes de la Ligue monarchiste du Canada et de la Royal Commonwealth Society. L’événement affichait complet; des représentants de GOPAC Canada, du Parlement, des médias et de la fonction publique y étaient présents.
La présentation de M. Maharaj portait sur les moyens de lutter contre la corruption, les influences du pouvoir et la transparence dans les divers systèmes de gouvernance. Il a également parlé des recherches de GOPAC sur la corruption dans les différentes structures de gouvernance. En outre, fort de ses interactions récentes auprès de nos sections et de nos partenaires, il a énoncé les leçons apprises et les pratiques exemplaires relativement à la manière de réduire la corruption parlementaire au Canada et partout dans le monde.
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GOPAC s’allie au Pacte mondial des Nations Unies

Les responsables du Pacte mondial des Nations Unies ont invité GOPAC à participer à leur table ronde sur le développement durable, le 19 février dernier à Accra, au Ghana. L’événement a été présenté par la section ghanéenne du Pacte mondial et le Ghana Chamber of Mines et a réuni plus de 50 chefs de file, entre autres, des secteurs bancaire, manufacturier, et de l’exploitation minière. L’honorable Emmanuel Kwasi Bandua, vice-président de l’APNAC-Ghana, et l’honorable Joseph Osei Owusu, membre d’APNAC-Ghana, ont participé à cette table ronde au nom de GOPAC. Daniel Batidam, directeur des opérations de l’APNAC, et Fabrice Fifonsi, agent de programme du secrétariat de l’APNAC, étaient aussi présents.

La discussion a porté sur les réalités de l’intégration de normes mondiales de développement durable dans l’économie du Ghana. L’absence d’un environnement favorable stable a été citée comme étant un obstacle énorme à l’intégration cohérente de cadres de développement durable, comme le Pacte mondial des Nations Unies, auprès des entreprises du Ghana et de toute l’Afrique. Les participants ont remis en question la position largement adoptée dans le milieu des affaires voulant que la responsabilité sociale des entreprises représente un  coût externalisé à la fonction première de ces dernières. Les participants ont souligné le besoin d’efforts coordonnés, en partenariat avec des compagnies multinationales bien établies, visant à sensibiliser les entreprises, particulièrement les PME, et à mettre en valeur leur potentiel de respecter leurs engagements en matière de développement durable grâce au Pacte mondiale des Nations Unies.
 
Les entreprises africaines ont besoin de prendre leur place en première ligne des discussions portant sur le développement durable en Afrique, et cela devient de plus en plus évident. Partout en Afrique, les défis particuliers à chaque pays dans le milieu des affaires ne sont pas souvent compris par les investisseurs occidentaux, ce qui entraine des malentendus négatifs. Des initiatives vouées au développement durable comme le Pacte mondial encourage la bonne conscience sociale, ce qui permet de mettre en place une plateforme solide pour les investisseurs et d’améliorer la viabilité des entreprises à long terme au Ghana et partout en Afrique.

GOPAC est devenu un participant officiel du Pacte mondial des Nations Unies en janvier. L’initiative, qui compte plus de 10 000 participants de 145 pays, est une plate-forme de leadership pour l’élaboration, la mise en œuvre et la communication de politiques et de pratiques d’ensemble. En adhérant à l’initiative, les participants s’engagent à souscrire à dix principes universellement acceptés dans le domaine des droits de l’homme, du travail, de l’environnement et de la lutte contre la corruption.
 

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Date limite : 15 mars

Comité de vérification

Le Comité de vérification de GOPAC a tenu le 11 février dernier sa première réunion de l’année. Le Comité a été créé à l’automne 2013 dans le cadre de l’engagement de GOPAC à assurer la reddition de comptes et la saine gouvernance au sein même de l’Organisation. Nous croyons que chaque organisation devrait prêcher par l’exemple.
Tous les membres du Comité étaient présents à la réunion. La présidente du Comité de vérification, Fernanda Borges, de GOPAC Timor-Leste, a accueilli Akaash Maharaj, directeur des opérations de GOPAC, et Emilie Lemieux, chef de bureau du Secrétariat mondial. Les membres se sont réunis dans le but d’examiner le rapport de vérification financière externe de GOPAC. Le rapport et une lettre de recommandation du Comité seront envoyés au Comité exécutif de GOPAC pour approbation finale.
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