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GOPAC lance la campagne #PrévenirPoursuivreParalyser 

GOPAC a officiellement lancé #PrévenirPoursuivreParalyser, une campagne mondiale visant à inciter les citoyens partout dans le monde à appuyer la mise en place d’un outil international permettant de poursuivre en justice les responsables de la corruption à haut niveau.

Il est temps pour nous de prévenir la corruption à haut niveau, de poursuivre les responsables en justice et de paralyser leurs actions.

La campagne mondiale comprend un site Web où les citoyens peuvent se faire entendre grâce à une campagne d’envoi de lettres réclamant la création d’une législation de compétence universelle à l’échelle nationale pour faciliter la poursuite en justice des responsables de corruption à haut niveau. Le site comprend également une pétition qui sera transmise aux Nations Unies et à d’autres institutions internationales pour faire avancer l’élaboration d’un mécanisme international de poursuite en justice et de condamnation des auteurs de crimes de corruption à haut niveau.

Nous vous pressons, membres et sympathisants, de visiter le site Web de la campagne, de signer la pétition et de faire connaître cette importante initiative à tous vos contacts, à vos électeurs, à vos amis et à votre famille.
Cette campagne est un premier pas de notre Plan d’action visant à lutter contre la corruption à haut niveau. Il nous reste beaucoup à faire, mais grâce à votre soutien, nous pourrons confirmer notre engagement concernant la poursuite en justice des responsables de la corruption à haut niveau.

L’enjeu était l’une des principales conclusions de la cinquième Conférence mondiale des parlementaires contre la corruption de GOPAC, qui a eu lieu en janvier 2013. Il a été étudié plus en profondeur dans un document de travail diffusé par GOPAC à la mi-novembre 2013, puis lors du Forum des parlementaires, un événement tenu parallèlement à la cinquième Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption, qui a eu lieu à la fin de novembre 2013.



Les sections de GOPAC célèbrent la Journée internationale de lutte contre la corruption

Voici quelques-unes des activités organisées par nos membres à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre la corruption. Si vous souhaitez faire connaître votre histoire, veuillez communiquer avec le Secrétariat mondial.
 
GOPAC Argentine a sollicité la participation de la société civile pour souligner la Journée internationale de lutte contre la corruption, en collaboration avec la Ville de Buenos Aires et l’Associación del Personal de Organismos de Control. Pour l’événement, on a accueilli les citoyens près d’une murale couverte de petites tuiles noires portant le slogan « Renversez la corruption grâce à la transparence Â». Les citoyens ont été invités à remplacer les tuiles noires par des tuiles transparentes, révélant lentement le logo et le slogan commémorant la Journée internationale de lutte contre la corruption. 
Le groupe des Parlementaires de l’Asie du Sud-Est contre la corruption (SEAPAC) a participé à une conférence de presse sur la Journée internationale de lutte contre la corruption avec la Chambre des représentants de la République d’Indonésie. L’événement a donné l’occasion à SEAPAC de lancer la campagne #PrévenirPoursuivreParalyser dans cette région et d’inciter la communauté mondiale à poursuivre en justice les responsables de la corruption à haut niveau. Parmi les participants à la conférence figuraient le président adjoint Fadli Zon et le président du Comité de la collaboration interparlementaire, Nurhayati Ali Assegaf, qui est également président du Groupe de travail mondial de GOPAC sur la participation de la société.
La présidente de GOPAC Serbie, Olgica Batic, a participé à une conférence lors de la Journée internationale de lutte contre la corruption tenue un peu avant l’adoption d’une nouvelle loi concernant l’Agence de lutte contre la corruption. Mme Batic a souligné qu’un parlement, un gouvernement et un système judiciaire forts sont les piliers de la lutte contre la corruption. Elle a parlé de GOPAC et a transmis l’information sur le travail et l’objectif de notre section en Serbie. 
Comment avez-vous célébré la Journée internationale de lutte contre la corruption?

Partagez vos idées : Question du mois de GOPAC

La corruption dans le financement politique

Le coprésident de GOPAC Royaume-Uni, Anas Sarwar, a représenté GOPAC au Forum de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) : « Financer la démocratie et éviter la capture d’action publique Â». L’événement a eu lieu les 3 et 4 décembre derniers à Paris, en France. Le mot d’ouverture a été prononcé par le secrétaire général de l’OCDE, Angel Gurria, qui a souhaité la bienvenue aux fonctionnaires du domaine de l’exécution et de la réglementation du financement politique, et aux intervenants, dont des politiciens et des représentants de partis politiques. Le Forum a permis de mieux faire comprendre l’influence de l’argent sur les politiques publiques et les options possibles pour prévenir le piratage de l’élaboration des politiques par des intérêts privés ciblés.

M. Sarwar a fait un exposé devant un groupe d’experts sur les échappatoires législatives et les défis qu’elles posent pour la transparence et la reddition de comptes. Ellen Weintraub, commissaire de la Federal Election Commission des États-Unis, Kim Jeong-Gon, directeur
général de la Commission électorale nationale de la Corée du Sud et du Secrétariat de l’Association des organismes électoraux mondiaux, et Robert Mack, directeur des relations gouvernementales de Coca-Cola, faisaient aussi partie du groupe. Björn Janson, adjoint du secrétaire général du Secrétariat du groupe des États contre la corruption, animait la discussion.

M. Sarwar a parlé de l’environnement public au Royaume-Uni en ce qui a trait à la confiance de la population et de certaines mesures en place au Royaume-Uni pour lutter contre la corruption. Il a souligné le fait que même si le Royaume-Uni profite des droits d’un chef de file mondial, il est encore plus important pour ce pays d’être à la hauteur des responsabilités qu’apporte ce statut. Il a ajouté que les priorités devaient être de représenter les électeurs de manière honnête et transparente et de s’assurer que la politique nationale ne se faisait pas au détriment des autres pays.

GOPAC Océanie s’attaque aux transactions illicites

GOPAC Océanie a décidé de signer une déclaration commune réclamant un changement de l’architecture fiscale et financière internationale, ce qui aiderait à lutter contre les transactions illicites et à améliorer le développement, l’équité et les droits de la personne pour tous. La déclaration a été préparée par un groupe de participants à la Financial Transparency Coalition et à la Latindadd Conference qui a eu lieu à Lima, au Pérou, les 14 et 15 octobre 2014.

La déclaration traite du coût des flux financiers pour les citoyens partout dans le monde, particulièrement pour les femmes et les filles.
Les auteurs affirment que la perte de revenus fiscaux causée par la fraude et l’évasion fiscales internationales réduit de manière considérable les fonds disponibles pour financer les politiques visant à maintenir les droits des femmes et des filles et à défendre l’égalité des sexes. 

Nous félicitons GOPAC Océanie d’avoir dénoncé l’un des nombreux écueils de la lutte contre la corruption et nous invitons d’autres sections à leur emboîter le pas. Si votre section souhaite lire et signer la déclaration, cliquez ici (en anglais seulement).
 

Célébrons le 10e principe de lutte contre la corruption du Pacte mondial des Nations Unies

Le Pacte mondial des Nations Unies, dont GOPAC est observateur, a rassemblé plus de 200 champions de la lutte contre la corruption provenant d’entreprises, de gouvernements, de la société civile, d’organismes membres de l’ONU et d’autres intervenants pour souligner le 10e anniversaire de la mise en Å“uvre de leur 10e principe, qui traite du problème de la corruption. L’événement a eu lieu à New York, le 10 décembre.

GOPAC était représenté à l’événement par la conseillère en programmes Priya Sood. Cette rencontre a comporté des séances en ateliers qui ont permis aux participants d’étudier les efforts de lutte contre la corruption dans le secteur financier, l’importance des mesures collectives, le rôle des investisseurs dans l’encouragement à la saine 
gouvernance, et les stratégies de lutte contre la corruption dans les marchés émergents. Une « foire de l’action Â» interactive pendant le diner a donné la possibilité aux entreprises et aux autres intervenants d’en apprendre plus sur les activités anticorruption des uns et des autres. 

Le Pacte mondial des Nations Unies s’articule autour de dix principes universellement acceptés dans le domaine des droits de la personne, du travail, de l’environnement et de la lutte contre la corruption. En août, un appel à l’action (en anglais seulement) a été lancé pour demander aux gouvernements de s’attaquer à la corruption et de favoriser la saine gouvernance. GOPAC est signataire de ce pacte et invite ses sections et d’autres intervenants à le faire. 

ARPAC participe à un atelier sur la surveillance parlementaire

En novembre, Azmi Al Shuaibi, membre du conseil du conseil des directeurs d’ARPAC, Majida Al Tamimi, membre d’ARPAC Irak, et Marie-Jose Bedran, gestionnaire de programme au secrétariat d’ARPAC, ont participé à un atelier sur la surveillance parlementaire efficace du budget. L’événement était organisé par la Banque mondiale en collaboration avec la Westminster Foundation for Democracy et l’Institut arabe de formation parlementaire et d’études législatives.

L’atelier a donné aux parlements iraquiens et libanais l'occasion de communiquer leurs expériences en matière de budget et de mécanismes de mise en Å“uvre et de surveillance de ce dernier. 

Lors d’une séance, Azmi Al Shuaibi a parlé des efforts des parlementaires pour lutter contre la corruption et de la
transparence du budget pour la population. Lors d’une deuxième séance, il a traité de la participation des citoyens aux audiences de la Cour supérieure de contrôle et au travail parlementaire. Il a souligné l’importance du rôle du Parlement, qui doit presser le gouvernement à préparer un plan national de lutte contre la corruption. Il a également mis en lumière l’importance de respecter le principe du droit à l’information des citoyens par l’adoption et la mise en Å“uvre de lois pertinentes, qui pave la voie à la participation de la communauté et de la reddition de comptes des citoyens aux côtés du Parlement. 

GOPAC Argentine élit un comité exécutif

Les membres de GOPAC Argentine se sont réunis à Buenos Aires, en Argentine, le 25 novembre pour officialiser la création de leur section et élire un comité exécutif. Paula Bertol a été élue présidente et dirigera la section avec la vice-présidente, Graciela Ocaña. Elles seront aidées de Manuel Garrido au poste de secrétaire et de Laura Sesma à celui de trésorière. GOPAC Argentine compte 26 membres actifs, y compris des législateurs nationaux et provinciaux qui sont présentement des députés, de même que d'anciens législateurs.
L’événement a également accueilli des représentants de différentes organisations qui effectuent de la surveillance parlementaire. Les spécialistes Jorge Oscar et Oszlak Vanossi étaient également présents et ont fait un exposé sur la transparence et la reddition de comptes dans le secteur législatif. 

Lutte contre la corruption et la transparence dans le secteur minier

Pour les gouvernements partout dans le monde, l’investissement dans le secteur minier est promesse de changements : la possibilité d’augmenter la somme accordée aux infrastructures aux programmes sociaux, et une occasion de jeter les bases d’une croissance économique à grande échelle. Malgré l’afflux soudain de recettes provenant de l’exploitation des ressources, la corruption force souvent bon nombre de pays à se démener pour convertir cette nouvelle richesse en croissance économique et en prospérité.

En novembre, l’Empire Club of Canada a invité GOPAC et l’Association minière du Canada et l’organisation Publiez ce que vous payez – Canada pour discuter du rôle du Canada dans cette lutte. Claire Woodside, de Publiez ce que vous payez – Canada, et 
Pierre Gratton, de l’Association minière du Canada, ont participé à une conversation dynamique portant sur la transparence dans le secteur minier sur une législation au Canada qui pourrait faciliter la reddition de comptes et s’avérer être un outil efficace dans la lutte contre la corruption. Le directeur des opérations de GOPAC, Akaash Maharaj, a animé la conversation avec une série de questions provocatrices et réfléchies. 

L’événement a été commandité par Exportation et développement Canada (EDC). EDC est l’agence de financement du commerce extérieur et est actif dans le financement et la promotion de l’éthique des affaires dans l’industrie minière.

Cliquez ici (en anglais seulement) pour visionner la vidéo de l’événement.

APNAC-Gambie tient un atelier de sensibilisation à la Loi sur la lutte contre la corruption

La section nationale de GOPAC en Gambie, APNAC-Gambie, avec l’aide de l’Assemblée nationale de la Gambie, a organisé un atelier en octobre pour sensibiliser la population et l’aider à comprendre la Loi sur la lutte contre la corruption de 2012.
L’événement était présidé par Momodou A. Sise, greffier adjoint à l’Assemblée nationale, et a accueilli Abdoulie Bojang, président de l’Assemblée nationale, et Cherno Jallow, président d’APNAC-Gambie, à titre de conférenciers. 
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