Bulletin d'information du CIPINA

Depuis sa création en 2012, le CIPINA travaille sans relâche à la promotion d’une image positive de l’Afrique. A côté de ses traditionnelles activités que vous pouvez voir sur le site de l’association www.cipina.org, le CIPINA a décidé de lancer un Festival de musiques afro-latines dès cet été à Lausanne. Dénommé LAFF (Lausanne Afro Fusions Festival), ce nouveau bébé aura pour vocation de fusionner les styles musicaux en partant de la richesse des sonorités africaines. Evénement socio-culturel annuel que nous souhaitons incontournable et international, il aura pour cadre le centre ville de Lausanne et proposera, grâce à une programmation de musiques du monde de haut vol, 3 jours de concerts gratuits avec des musiciens exceptionnels issus de la région lausannoise. Le Festival fera place également à une vaste palette d’activités culturelles telles que des stands d’artisanat, de nourriture, des expositions, et plus tard, des spectacles d’humour africain et des défilés de mode africaine. Le LAFF, dont la vocation est de devenir le 1^er Festival Afro de Suisse, a pour objectifs de promouvoir les artistes africains en Suisse et de prôner le vivre ensemble. Pour plus d’informations sur le LAFF ainsi que le programme complet, voir le site suivant : http://www.lausaff.org/

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a observé en 2015 le plus grand bond réalisé dans l’espérance de vie depuis les années 60. Notamment en Afrique, où entre 2000 et 2015, l’espérance de vie à la naissance s’est accrue de près de dix années. Les avancées médicales et la lutte menée contre les maladies infectieuses dans les pays en développement, plus particulièrement sur le continent africain, ont permis de réaliser ce pas de géant, alors que les enfants nés en 2015 peuvent maintenant y espérer vivre jusqu’à 60 ans. Au cours des années 80 et 90, les épidémies de sida, qui avaient durement frappé l’Afrique et l’Europe de l’Est, avaient freiné, voire fait reculer l’espérance de vie dans plusieurs pays en développement. En Afrique, l’accès élargi aux médicaments antirétroviraux et l’intensification de la lutte menée contre le paludisme ont permis de faire des gains majeurs en terme d’espérance de vie. « Le monde a progressé à grands pas pour réduire les souffrances inutiles et le nombre des décès prématurés dus aux maladies que l’on peut éviter et traiter », a déclaré jeudi Margaret Chan, directrice de l’OMS. (Le devoir)

Le quotidien américain “Time” a publié en avril dernier son classement annuel des 100 personnalités les plus influentes au monde. Précisons que seuls 03 africains figurent cette année dans ce classement contre 10 en 2015. Ces personnes sont entre autre l’érythréen Mussie Zerai qui figure dans la catégorie des «pionniers», le congolais Denis Mukwege dans la catégorie des «icônes» et la gambienne Jaha Dukureh dans les «leaders». Précisons que le congolais Denis Mukwege a été choisi pour sa participation dans la réinsertion des femmes victimes de viols; ce qui lui a valu le film documentaire “L’homme qui répare les femmes”. En ce qui concerne l’érythréen Mussie Zerai, c’est son engagement depuis plus d’une décennie dans les actions humanitaires en faveur des migrants et des réfugiés. Enfin, quant à la gambienne Jaha Dukureh, elle se bat tous les jours pour abolir l’excision à travers le monde

La société Choco Togo a été créée en 2013 ; elle est installée à Kpalimé. Elle a été fondée par six jeunes togolais qui ont bénéficié d'une formation en Sicile, chez des artisans italiens réputés. Le modèle commercial se base sur la production et la fabrication de chocolat biologique issu du commerce équitable. La jeune entreprise a reçu le prix du jeune entrepreneur de l'année lors du troisième Forum des jeunes entrepreneurs qui s'est déroulé à Lomé. Nathalie Kpanté, cofondatrice de l'entreprise, a confié à cette occasion qu'elle et ses collègues comptaient " révolutionner l'industrie agroalimentaire au Togo en apportant cette valeur ajoutée tout en offrant un chocolat naturel et bio aux Togolais. "Le Togo ne produit que 10 000 tonnes de chocolat par an. C'est une infime quantité comparée au Ghana et à la Côte d'Ivoire, les deux pays voisins qui représentent à eux seuls, près de 60 % de la production mondiale de cacao. Cela n'effraie pas les jeunes entrepreneurs de Choco Togo. Kodjovi Mgbayom, du Conseil interprofessionnel des filières café cacao du Togo, a déclaré :" Le cacao togolais à un arôme particulier, dû au terroir et au fait que tout est fait à la main. Le séchage se fait au soleil. Il n'y a pas de fumées de machines ici ". Cela permet donc d'envisager une production de qualité (AFRIZAP)

A Dakar, la fin de la 49e conférence des chefs d’Etat de la CEDEAO tenue le 4 juin dernier a été marquée par la fin de la présidence de Macky Sall, président en exercice depuis un an. Le nom de son successeur a été dévoilé ce samedi 4 juin dans la soirée. Il s'agit d'Ellen Johnson Sirleaf, la présidente du Liberia. C'est donc une femme qui devient présidente en exercice de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest : la présidente du Liberia prend les commandes pour un mandat d'un an. Ellen Johnson Sirleaf est la première femme à être nommée présidente de cette conférence. Elle a reçu le petit marteau symbolique des mains de Macky Sall et a ouvert son allocution en expliquant que ce choix, ce vote de ses pairs, « est un message pour toutes les femmes du continent ». (RFI)

M. Ibrahim Thiaw est le Directeur exécutif adjoint du Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE) et Secrétaire général adjoint de l'Organisation des Nations-Unies. Il a servi dans cette position depuis sa nomination par le Secrétaire général des Nations-Unies Ban Ki-moon en Août 2013. M. Thiaw joue un rôle crucial en fournissant leadership et élaboration de la vision stratégique et la direction de l'organisation. Avant de rejoindre le PNUE en 2007, M. Thiaw a travaillé en tant que directeur régional pour l’Afrique de l’Ouest et plus tard en tant que directeur général par intérim de l’UICN. Avec 33 ans d’expérience dans le domaine du développement durable, de la gouvernance de l’environnement et de la gestion des ressources naturelles aux niveaux national, régional et international, M. Thiaw a brillamment réussi la mise en œuvre à grande échelle, de programmes et de projets environnementaux mondiaux. Convaincus que M. Thiaw a toutes les compétences requises pour hisser très haut les couleurs africaines et partant, celles de son pays, la Mauritanie, nous lui apportons tout notre soutien et lui souhaitons bonne chance (PNUE)

Le Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes est un organe composé d’experts indépendants qui surveille la mise en œuvre de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes. Le Comité est composé de 23 experts internationaux sur les droits des femmes venant du monde entier. Les États parties à la Convention (les États parties) sont tenus de présenter au Comité, à intervalles réguliers, des rapports sur la mise en œuvre des droits consacrés par la Convention. Lors de ses sessions, le Comité examine chaque rapport et fait part de ses préoccupations et de ses recommandations à l’État partie sous la forme d’« observations finales ». Le CIPINA adresse à la nouvelle élue, Mme Aicha Vall Vergès, ses félicitations et lui souhaite bonne chance dans sa mission

Dans les couloirs de l’Assemblée Annuelle de la BAD qui se tenait à Lusaka le 10 juin dernier, la silhouette de Zéneb Touré, la Chargée Principale de l’engagement de la Banque Africaine de Développement avec la société civile ne passait pas inaperçue. Au four et au moulin pour donner le meilleur d’elle-même, Zéneb a bien pris ses marques dans le Headquarters du Centre de Conférence Mulungushi de Lusaka. Nouveauté du décor. Celui de la participation massive des Organisations de la Société Civile qui prennent de la voilure. Entre deux réunions, sans signe de spleen, Zéneb Touré a été interviewée par nos confrères de Allafrica. Elle a notamment affirmé que la participation des Organisations de la Société Civile (OSC) aux Assemblées Annuelles (AA) de la Banque Africaine de Développement (BAD) est institutionnalisée depuis l’adoption du Cadre d’engagement de la Banque avec les OSC en 2012. En effet, la Banque a fait du Forum des OSC, une activité à part entière du programme global des AA, au même titre que les autres événements institutionnels de la Banque. A travers le Forum des Organisations de la Société Civile, la Banque réaffirme son engagement à soutenir et à collaborer avec la société civile dans le but de développer le continent, et d’identifier les outils appropriés pour un engagement efficace. (Allafrica.com)

Le dimanche 19 juin dernier s’est tenue à Paris une réunion de quelques organisations d'Africains d’Europe pour échanger sur la mise en place, au mois d’août prochain à Yamoussoukro, de l’Union Africaine des ONG de Développement (UAOD). Le Président du Comité d’Organisation du congrès de l’UAOD, Dr Moussa Abdoul Kader Diaby, après une brève présentation de l’UAOD, a fait un état de toutes les activités entreprises jusqu’à ce jour en vue de la tenue du congrès de Yamoussoukro. En ce qui concerne les activités menées au niveau de la diaspora, il a rappelé que des courriers ont été envoyés à toutes les ambassades, les organisations de développement et à diverses institutions d’aide au développement, qu’elles soient africaines ou européennes. le comité d’organisation a annoncé la dernière réunion en Europe, avant le congrès, pour le 30 juillet 2016. Cette réunion sera plus élargie car elle verra la participation de toutes les ambassades africaines, les grandes institutions européennes et africaines telles que l’Union Européenne, la Banque Africaine de Développement (BAD) entre autres. Ce sera aussi l’occasion pour les organisations qui ne pourraient pas participer au congrès de Yamoussoukro, d’adhérer à la charte de l’UAOD en la signant sur place à Paris. (Service Communication de l’UAOD)

L’Union africaine (UA) a annoncé le 17 juin dernier qu’elle allait lancer le passeport du continent africain lors du prochain sommet de l’organisation panafricaine prévu en juillet prochain à Kigali au Rwanda. Les premiers bénéficiaires en seront les chefs d’Etat et de gouvernement, les ministres des Affaires étrangères et les représentants permanents des Etats membres de l’UA à son siège d’Addis-Abeba en Ethiopie. Ces passeports uniques leur seront remis lors du 27e Sommet de l’UA prévu du 10 au 18 juillet dans la capitale rwandaise, précise l’organisation panafricaine dans un communiqué, en ajoutant que leur délivrance devrait ouvrir la voie à l’adoption et à la ratification par les Etats membres de tous les protocoles et lois relatifs à ce futur passeport africain. Cette initiative, lancée en 2014, entre dans le cadre de l’Agenda 2063 de l’UA, vise à faciliter la circulation des personnes, des biens et des services au sein de l’Union en vue de dynamiser le commerce panafricain, l’intégration du continent et son développement économique, ajoute l’UA dans son communiqué. Nkosazana Dlamini Zuma, présidente de la Commission de l’UA, a qualifié cette initiative de « pas résolu vers l’objectif de créer une Afrique forte, prospère et intégrée, entraînée par ses propres citoyens et capable d’occuper la place qui lui revient sur la scène mondiale ». (lentrepreneuriat.com)

Le géant de l'alimentation Nestlé va former 300.000 jeunes Africains en quête d'emploi sur le continent, où le "chômage élevé des jeunes" pose de "graves défis sociaux et économiques", a annoncé ce mardi 21 juin à Abidjan le groupe de Vevey. "Nous allons créer plus de 3.000 offres de stage et d'apprentissage dans les pays africains d'ici fin 2018. Pendant la même période, nous fournirons une formation qualifiante à plus de 300.000 jeunes", a déclaré Paul Bulcke, administrateur délégué du groupe. Quelque 1,2 milliard de personnes vivent en Afrique, dont 70% sont âgés de 30 ans ou moins. M. Bulcke s'exprimait à l'ouverture d'un forum organisé par Nestlé à Abidjan, en présence de l'ex-secrétaire général de l'ONU, le Ghanéen Kofi Annan, venu représenter sa fondation, et du Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Duncan. Ces formations qualifiantes, qui incluront des conseils relatifs à l'entretien d'embauche et la rédaction de CV, seront organisées sur des sites Nestlé, dans des salons pour l'emploi et dans des écoles et universités. La croissance en Afrique, "bien qu'étant restée forte durant une décennie (en moyenne de 5%) n'a pas entraîné un développement des capacités productives, ni une transformation structurelle de l'économie, deux éléments facteurs pour créer des emplois productifs et jeter les bases de la réduction de la pauvreté", a déploré le Premier ministre ivoirien lors de la cérémonie d'ouverture. Or "le secteur privé peut favoriser l'augmentation de la productivité dans la chaîne de valeur, par la prise en compte des besoins sociaux et des problématiques environnementales, en contribuant au partage équitable de la richesse créée à tous les niveaux des filières de production", a fait valoir M. Duncan. (AFP/RP)

Créer une plateforme de discussions et d’échanges directs entre professionnels du secteur automobile et le grand public, c’est bien l’objectif du salon de l’automobile de l’Afrique de l’Ouest dont la première édition aura lieu du 27 au 30 octobre prochain dans la capitale économique ivoirienne. Selon Marc Anglade, président du Groupement Interprofessionnel Automobiles, Matériels et Équipements (GIPAME), initiateur du salon, ce sera l’occasion pour les concessionnaires et tous les acteurs de l’automobile de faire valoir leur savoir-faire et de mettre à la disposition des acheteurs leur professionnalisme de sorte qu’ils puissent bénéficier de leur expertise. Ce seront donc des expositions de véhicules, motos, camions… qui seront enregistrées lors de ce salon. En outre, des conférences, tables rondes et rencontres B to B seront également au programme. Les projections, en terme de visiteurs, avoisinent les chiffres de 50.000 participants. (regionale.info)

Le jeudi 2 juin dernier à Abidjan, s’est tenue une conférence de presse dans les locaux de la Banque africaine de développement (BAD) sise au Plateau, pour le lancement du club africain des entrepreneurs, une association ivoirienne ayant vocation à contribuer à l'émergence d'une classe entrepreneuriale panafricaine, comme constaté sur place par KOACI.COM. Né sous l'impulsion du groupe Investisseurs & Partenaires, et ce afin de favoriser les échanges de bonnes pratiques, d'expérience et d'opportunités d'affaires, le club africain des entrepreneurs a présenté ses membres à la presse et aux nombreux invités, jeudi dans les locaux de la BAD au Plateau. Le bureau exécutif composé de six personnes est hétéroclite et international et, l’ivoirienne Dr Elisabeth Kacou, présidente directrice générale de Pharmivoire Nouvelle assure la présidence du club. " Le club africain des entrepreneurs se veut avant tout un outil pour renforcer les capacités de management des entrepreneurs. C'est en densifiant son tissu de PME que l'Afrique parviendra à une croissance véritablement inclusive et créative d'emplois. En Côte d'ivoire, les PME représentent 98% du PIB" explique le Dr Elizabeth Kacou. Dans sa configuration, le club réunit une soixantaine d'entrepreneurs talentueux et engagés issus d'une quinzaine de pays, en Afrique et dans l'océan indien. Et profondément attaché à ses engagements, grâce à ses deux principaux partenaires : Investisseurs & Partenaires et Proparco qui renouvellent leur engagement après leur participation au projet Les Grands Moyens, il se veut une nouvelle force de lobbying en soutien à la cause entrepreneuriale et aux petites et moyennes entreprises en Afrique. L'association a vocation à s'ouvrir plus largement à moyen terme aux TPME et PME du continent. L'adhésion permet aux membres d'accéder à une offre de services et d'activités se basant sur quarte piliers : Business Développent, Formation, Plaidoyer, et Vie du réseau

Le Burkina Faso compte injecter dans les cinq prochaines années une centaine de mégawatts d’énergie solaire dans son réseau électrique, soit la moitié de ce qu’il produit actuellement (environ 200 MW). La centrale dans le village de Zagtouli, près de la capitale Ouagadougou, nécessitera la pose de 129.600 panneaux solaires étalés sur une superficie totale de 60 hectares et sera ainsi la plus grande jamais construite dans le Sahel lors de sa mise en service dans 14 mois, selon les autorités burkinabè. La centrale solaire de Zagtouli ouvre la voie au développement des énergies renouvelables au Burkina Faso qui est un des engagements pris lors de la COP 21 à Paris (…), a déclaré le ministre de l’Energie, des Mines et des Carrières, Alpha Oumar Dissa. La société CEGELEC, filiale du groupe français Vinci, est en charge de la construction de cette centrale solaire d’un coût de 47,5 millions d’euros, dont 25 millions d’euros de dons de l’Union européenne et un prêt de 22,5 millions d’euros de l’Agence française de développement (AFD).L’entreprise allemande Solarworld fournira les plaques solaires, a indiqué le chef de la coopération de l’Union européenne à Ouagadougou, Thierry Barbe. (ouaga24.com)

L'Union Internationale pour la Conservation de la Nature et l'Institut de la Francophonie pour le développement durable, avec la collaboration du gouvernement du Royaume du Maroc, organisent la 2e Édition du Colloque international sur le droit de l'environnement en Afrique. Le thème central de ce colloque est « Le Programme de développement à l'horizon 2030 : quels enjeux et perspectives pour l'Afrique ? ». Les échanges seront axés sur les implications juridiques et institutionnelles de l'Accord de Paris 2015 pour l'Afrique ainsi que l'amélioration des lois, des institutions et des politiques publiques pour mettre en œuvre les Objectifs de développement durable. Les experts juristes de l'environnement, les acteurs de la préservation de l'environnement, des institutions étatiques, de la recherche, des universités, des institutions africaines et internationales, des ONG, des collectivités locales, du secteur privé y sont invités. http://www.francophonie.org/

Créé en 1967, le Montreux Jazz Festival est rapidement devenu un événement culturel à l'aura internationale, avec environ 250'000 visiteurs chaque année. Si le jazz constitue la source historique du Festival, les autres styles de musique y ont rapidement trouvé leur place, avec comme point d'ancrage la curiosité, le mélange des genres, et les expériences inédites si chères à Montreux. Unique de par ses choix de programmation ambitieux, le Montreux Jazz Festival offre deux semaines durant un écrin privilégié aux musiciens, un temps suspendu dans un cadre intimiste, propice aux anecdotes. Pour cette édition 2016, Angélique Kidjo sera le 10 juillet à Montreux à l’occasion des 50 ans du Montreux Jazz Festival. Un spectacle unique d'hommage à la femme africaine sera créé avec une nouvelle génération de chanteuses africaines très talentueuses, comme Asa Official, Dobet Gnahoré, LURA et le Trio Teriba venu spécialement du Bénin. Sans oublier, Manu Katché, Richard Bona, Cheikh Lô…Du grand spectacle en perspective. http://www.montreuxjazz.com/

Depuis 1976, date de sa première édition qui, sous l’appellation "First Folk Festival", réunissait 1800 personnes dans la salle communale de Nyon, le Paléo Festival est aujourd’hui un événement musical européen incontournable. Depuis sa création, le Festival a connu une croissance régulière et maîtrisée, amenant professionnalisation et développements.Chaque année, ce sont plus de 250 concerts et spectacles qui sont offerts aux quelque 230'000 spectateurs qui arpentent les 84 hectares du terrain de l’Asse (parkings compris), dans les hauteurs de Nyon. A ce jour, près de 6 millions de personnes ont contribué à ce succès populaire qui ne faiblit pas. Depuis quinze ans, le Festival affiche complet avant même d’ouvrir ses portes et bénéficie d’une notoriété sans cesse grandissante. En 2015, plus de 530 représentants des médias ont couvert une édition marquée par des concerts inoubliables et des installations scénographiques ou architecturales qui ont réjoui petits et grands. A noter la date du 21 juillet, concert de Tiken Jah Fakoly. http://yeah.paleo.ch/

Le Festival valaisan a connu les 18 juin et 19 juin derniers, une très belle ambiance avec des concerts de grande qualité, un espace intégration (La Teranga) très dynamique, dirigé par le très sympathique Mahamadou Sognane, du soleil et l'Afrique au coeur de l'événement, avec le Sénégal, le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, le Maroc, l'Erythrée, le Togo et le Ghana. Le stand du CIPINA très sollicité par de nombreux Africains et Suisses désireux d'en savoir plus sur l'Afrique. Une visite remarquée du grand chanteur sénégalais Didier Awadi qui a électrisé le public par ses textes et mélodies. Bravo à l'équipe d'organisation du Festival, notamment à Mads Olesen, Mahamadou Sognane, Edouard Burkhalter et Catherine Touaïbi. http://www.5continents.ch/

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