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16e Conférence internationale contre la corruption
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Une fois de plus, GOPAC a eu le plaisir d’être invité à participer à la 16e Conférence internationale contre la corruption (International Anti-Corruption Conference – IACC), qui a eu lieu à Putrajaya, en Malaisie du 2 au 4 septembre. Dans le cadre de la conférence, GOPAC a participé à un groupe d’experts sous le thème Derrière les barreaux : traduire en justice les responsables de la corruption à haut niveau. Le président‑directeur général de GOPAC, Akaash Maharaj, était entouré de José Ugaz, président de Transparency International, et de Patrick Alley, directeur et cofondateur de Global Witness. John Hyde, président de GOPAC Océanie, était modérateur.
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La séance a réuni des figures importantes des gouvernements, du corps diplomatique et d’organisations citoyennes de partout dans le monde et a permis de donner une impulsion aux efforts de GOPAC relativement à la poursuite en justice des responsables de la corruption à haut niveau. Plus particulièrement, la séance nous a permis de renforcer notre collaboration avec des organisations internationales reconnues, ce qui propulse notre grand projet à la prochaine étape.
Vous pouvez voir toute la séance du groupe d’experts de la 16 e IACC sur YouTube (seulement en anglais).
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Discussion avec la société civile au sujet de la corruption à haut niveau lors du Sommet du C20
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Le 15 septembre, le président-directeur général de GOPAC, Akaash Maharaj, a pris part à un groupe d’experts sous le thème Aucune impunité pour la corruption à haut niveau lors du troisième sommet annuel du C20, qui a eu lieu à Istanbul, en Turquie. Le Sommet du C20 rassemble des centaines de représentants d’organisations de la société civile de partout dans le monde qui cherchent à engager les dirigeants du G20 en faveur des plus grands enjeux de notre époque. M. Maharaj était entouré d’autres conférenciers, notamment Casey Kelso, directeur du service de défense des droits à Transparency International (TI) et le modérateur E. Oya Özarslan, président de l’antenne de TI en Turquie.
La discussion a permis aux membres de la société civile d’en savoir plus sur les impacts dévastateurs de la corruption à haut niveau, sur des cas précis comptant parmi les plus néfastes au chapitre de l’impunité, et les instruments légaux devant être élaborés pour traduire les kleptocrates en justice.
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M. Maharaj a réaffirmé l’engagement de GOPAC à faire de la corruption à haut niveau un crime en vertu du droit international et a expliqué que la lutte contre un tel fléau est l’une des plus grandes, voire la plus grande, priorité dont la communauté internationale devrait se soucier très rapidement. « Des personnes de tous les milieux en ont assez de la kleptocratie. S’il y a un temps où nous pouvons remporter ce combat, c’est bien maintenant », a déclaré M. Maharaj.
Nous vous invitons à visionner toute la discussion sur YouTube (seulement en anglais) et à lire le communiqué du C20 (seulement en anglais) appuyé par les participants au Sommet du C20 de cette année. Ce communiqué présente une recommandation présentée par GOPAC selon laquelle il faut « mettre en place des mécanismes indépendants spéciaux de lutte contre la corruption visant à enquêter sur la corruption à haut niveau et à traduire les responsables en justice ».
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Le président de GOPAC Océanie encourage le renforcement des outils liés à l’éthique et au code de conduite
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Le 14 septembre, le président de GOPAC Océanie, John Hyde, a participé à titre d’expert à une conférence organisée par l’initiative du Groupe de travail sur la transparence législative d’Open Government Partnership, qui a eu lieu au Parlement de la Géorgie, à Tbilissi. M. Hyde a fait un exposé lors de la séance intitulée Établir les normes internationales d’éthique parlementaire, aux côtés de conférenciers du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), du National Democratic Institute et de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.
M. Hyde a souligné la nécessité pour les parlementaires de tous les pays de poursuivre la mise en œuvre et le renforcement de mécanismes liés à l’éthique et à la bonne conduite parlementaires afin de gagner et de maintenir la confiance des électeurs. Il a parlé des efforts déployés par les
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membres de GOPAC pour solidifier l’éthique et le code de conduite au sein de leurs parlements nationaux, de la victoire de la République de Vanuatu, qui a accusé des députés de conduite contraire à l’éthique après l’adoption d’une loi sur l’éthique et le code de conduite, et de l’importance de l’engagement de la société civile pour aider les parlementaires à élaborer des mécanismes dans ce domaine.
« Si la communauté peut voir que les parlementaires respectent le plus haut code de conduite éthique dans leur travail, la population sera plus encline à prendre part à la collectivité et au développement économique et à les soutenir pour bâtir la nation », a affirmé M. Hyde.
Vous pouvez visionner la séance de M. Hyde (seulement en anglais) sur YouTube.
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Le président de GOPAC participe à un débat mondial sur l’argent en politique
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Le 5 septembre, le président de GOPAC, Ricardo GarcÃa Cervantes, a animé une séance lors de la première conférence mondiale sur l’argent et la politique, qui était organisée conjointement par l’International Institute for Democracy, et le service de supervision des processus électoraux et de tribunal électoral du système judiciaire du Mexique, à Mexico. La conférence internationale visait à trouver des solutions aux défis que présentent les systèmes politiques d’aujourd’hui, particulièrement le rôle de l’argent en
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politique, ainsi qu’à discuter des pratiques exemplaires en matière de financement politique et à les faire connaître. En plus de cinq débats de haut niveau, la conférence proposait douze ateliers axés sur quatre thèmes : protéger la politique démocratique de l’influence de l’argent, assurer l’égalité des chances pour la compétition politique, assurer la reddition de comptes financière des acteurs politiques aux citoyens, et renforcer efficacement les réglementations en matière de financement politique.
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