20 $ par participant avant le 20 novembre 2015, 16h
30 $ par participant après le 20 novembre 2015, 16h
Inscription au plus tard le mercredi 2 décembre 2015, 16h.
C'est un rendez-vous!
SUBVENTION DES ARUS – 2e TRANCHE
Le Regroupement loisirs et sports Saguenay–Lac-Saint-Jean (RLS) a procédé à la compilation et l’évaluation des rapports de 2e tranche dans le cadre du programme de financement des associations régionales sportives 2014-2015. Un total de 5 450 $ a été attribué par le comité de sélection (composé des membres du C.A.) parmi les 23 sports ayant remis leur rapport.
Nous vous remercions d’avoir contribué au développement du sport en investissant temps et énergie.
GARDER OU PERDRE LE RYTHME : UN ENJEU
EXISTENTIEL POUR LES SERVICES PUBLICS DE LOISIR
VOLUME 13, NUMÉRO 3 - 2015
Le service de loisir qui garde le rythme maintient une offre au diapason des citoyens et le fait de façon efficiente, c’est-à-dire à un coût acceptable selon les normes en cours. Dans le domaine privé, cela signifierait de rester concurrentiel. Faut-il ajouter que le service de loisir vit aussi au rythme des choix politiques et démocratiques, là où il se différencie de l’entreprise privée.
Parce que le loisir public poursuit des objectifs de bien public (santé, intégration sociale, etc.), le service de loisir n’est pas qu’un pourvoyeur, il est un intervenant. Il ne peut pas rester à la remorque du rythme des autres, il a un rôle à jouer : influencer et même donner le rythme dans la composition de l’offre de service. Le service de loisir municipal est responsable de son propre devenir. Faute de garder le rythme avec la population, le service de loisir peut devenir obsolète, caduc, et ses bailleurs de fonds risquent de s’en désintéresser. Alors, comment le service de loisir peut-il garder le rythme?
Première question : qui détermine le rythme à suivre? Les citoyens, les élus, les partenaires ou une quelconque mode qui affecte tous ces acteurs? Quelle capacité a chacun de donner le rythme? Enfin, quel devoir ou obligation a-t-il de le faire ?
Seconde question : pour garder le rythme, quels sont les dossiers et les méthodes de travail qui demandent des changements ? Voilà les deux champs de questionnement qu’aborde ce bulletin.