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Un membre de YEMENPAC remporte le Prix international de lutte contre la corruption de GOPAC
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GOPAC tient à féliciter chaleureusement un membre de YEMENPAC, l’honorable Ali Ashal, qui a remporté le tout premier Prix international de lutte contre la corruption de GOPAC. Depuis qu’il a joint les rangs de GOPAC en 2005, M. Ashal est un fidèle partisan de la lutte contre la corruption. Parmi les réalisations de M. Ashal au cours de ses 15 années à titre de parlementaire, figure la présentation du projet de loi sur le droit à l’accès à l’information au Parlement du Yémen, qui a été adopté en 2012 et qui a permis de relever les normes en matière de surveillance parlementaire dans le secteur des ressources naturelles.
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Puisque M. Ashal n’est pas en mesure d’accepter la récompense liée au prix, GOPAC et l’ International Anti‑Corruption Academy (IACA) (seulement en anglais) sont fiers d’offrir une bourse à l’honorable Willias Madzimure, président d’APNAC-Zimbabwe, afin qu’il puisse participer à la prochaine session d’été de l’IACA, du 2 au 11 juillet.
GOPAC aimerait remercier l’IACA d’avoir agi à titre de partenaire et pour avoir offert une bourse pour sa session d’été. Nous serons heureux de renforcer notre collaboration dans les années à venir.
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Le bilan récent de nos sections
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Deux nouvelles sections nationales ont récemment joint au réseau en constante évolution de GOPAC dans sa lutte contre la corruption. Le Réseau des parlementaires africains contre la corruption (APNAC) a créé une nouvelle section au Niger, présidée par l’hon. Assoumana Mallam Issa et l’Organisation des parlementaires de la région arabe contre la corruption (ARPAC) a récemment accueilli une nouvelle section de la Libye, présidée par Mme Majda El Fallah.
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Lors de sa plus récente réunion, le conseil de direction a élu M. Azmi Al Shuaibi (Palestine) au poste de président, et M. Youseif Zeinal (Bahreïn), au poste de vice-président. GOPAC souhaite remercier M. Saadi Mohammad Abdullah (Bahreïn) et M. Ghassan Moukheiber (Liban), le
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président et le vice-président sortants, pour les services qu’ils ont rendus à ARPAC et le dévouement dont ils ont fait preuve dans la lutte contre la corruption.
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En outre, APNAC-République démocratique du Congo (RDC) a émis une déclaration à la fin mai pour exprimer son appui à la décision de l’Assemblée nationale de la RDC d’envoyer les conclusions au tribunal à la suite d’une enquête parlementaire sur la durée des travaux de mise en place d’un réseau de câbles à fibres optiques au pays. Ce réseau était nécessaire afin d’améliorer les connexions téléphoniques et Internet pour les citoyens de la RDC. APNAC-RDC croit que les retards importants ont été causés en partie par une mauvaise gestion et le détournement des fonds.
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GOPAC Serbie accueille une conférence internationale sur la transparence et la reddition de comptes
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Les 21 et 22 mai derniers, GOPAC Serbie a accueilli la conférence internationale La transparence et la reddition de comptes pour une surveillance efficace : le rôle du Parlement en collaboration avec l’Assemblée nationale de la Serbie, la Direction du développement et de la coopération de la Suisse et du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). La conférence, qui a eu lieu à Belgrade, a réuni des membres actuels et possibles de GOPAC venant de l’Albanie, de l’Azerbaïdjan, de la Bosnie-Herzégovine, de la Macédoine, de la Moldavie, du Monténégro et de la Serbie. Des représentants du gouvernement serbe, de différents bureaux du PNUD, du Secrétariat mondial et du comité exécutif de GOPAC, d’organismes de lutte contre la corruption, d’organisations de la société civile, et des missions diplomatiques ont également participé à cette conférence.
Cette conférence a permis la tenue d’échanges importants entre les participants sur le rôle joué par les parlements nationaux dans la répression
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de la corruption et la promotion de la transparence et de la saine gouvernance. Des discussions d’experts ont mis l’accent sur l’importance du leadership parlementaire dans la sensibilisation de la population à la lutte contre la corruption, tout en parlant des données ouvertes et de l’accès à l’information pour les citoyens, de mécanismes novateurs anticorruption, des communications avec les électeurs par l’intermédiaire des médias sociaux et de la coopération entre le gouvernement et la société civile.
À la fin de la conférence, un mémoire de coopération (seulement en anglais) a été signé par les législateurs des sept pays participants afin d’officialiser leur engagement en faveur d’une meilleure collaboration interparlementaire régionale, qui comprend la création d’une section régionale de GOPAC pour l’Europe de l’Est et l’Asie centrale. En outre, les représentants de la Bosnie-Herzégovine, du Kosovo, de la Macédoine et de la Moldavie prévoient de mettre sur pied des sections nationales dans les mois à venir.
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Les Tonga créent une section nationale lors de l’atelier de l'ONUDC et du PNUD
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Les 12 et 13 mai, GOPAC Océanie, en collaboration avec l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), a organisé un atelier à Nukuʻalofa, aux Tonga, sur la ratification et la mise en œuvre de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC) et la surveillance parlementaire. L’atelier a accueilli des députés des Tonga de même que le président, le greffier et le sous-greffier de l’Assemblée législative du pays. Il a été en partie animé par John Hyde, président de GOPAC Océanie et membre du comité exécutif de GOPAC.
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À la suite de cet atelier, une nouvelle section de GOPAC a été mise sur pied aux Tonga, aux côtés des îles Cook, de Kiribati, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande au sein de la section régionale de GOPAC Océanie. Le 19 mai, les parlementaires des Tonga ont voté à l’unanimité pour la création d’un comité permanent législatif de lutte contre la corruption. Au cours des prochains mois, le gouvernement tongan devrait nommer un commissaire à la lutte contre la corruption et devenir signataire de la CNUCC.
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Le PDG de GOPAC fait un exposé lors de la sixième séance du Groupe d’examen de l’application de la CNUCC
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Le 4 juin dernier, le PDG de GOPAC, Akaash Maharaj, a prononcé une allocution lors d’une réunion préparatoire pour les organisations non gouvernementales en vue de la sixième séance du Groupe d’examen de l’application de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC). L’événement offre une tribune annuelle permettant aux organisations non gouvernementales de s’adresser au Groupe d’examen de l’application au sujet de leurs activités et de leur contribution relativement à leurs besoins en développement d’aide technique et au renforcement des capacités nécessaires pour la mise en œuvre efficace la CNUCC.
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M. Maharaj a pris part au troisième groupe d’experts pour une discussion sur les mesures spéciales de lutte contre la corruption, avec le juge Mark L. Wolf, juge principal de district (États-Unis) et représentant du Socio-Economic Right and Accountability Project (SERAP), et deux représentants de la Coalition pour la CNUCC. M. Maharaj a parlé de la poursuite à l’échelle internationale des responsables de corruption à haut niveau et a présenté la campagne #PrévenirPoursuivreParalyser de GOPAC qui vise à sensibiliser la population et à éliminer les crimes de corruption à haut niveau.
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Le président de GOPAC Océanie s’adresse à l’Assemblée parlementaire paritaire Afrique, Caraïbes, Pacifique – Union européenne
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Le 13 juin, le président de GOPAC Océanie et membre du comité exécutif de GOPAC, John Hyde, s’est adressé au Comité permanent des affaires politiques lors de la 29e séance de l’Assemblée parlementaire paritaire Afrique, Caraïbes, Pacifique – Union européenne (ACP-UE), qui a eu lieu à Suva, aux îles Fidji. L’Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE rassemble des parlementaires de pays d’Afrique, des Caraïbes et de la région du Pacifique et des membres du Parlement européen. Parmi les participants figuraient des membres de GOPAC de la toute nouvelle section des Tonga, de même que des membres des sections de la Jamaïque, du Bénin et du Mozambique.
M. Hyde a expliqué comment le projet de l’ONU de lutte contre la corruption dans la région du Pacifique, appuyé par
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GOAPC Océanie, joue un rôle important pour les parlementaires des îles du Pacifique dans la mise en œuvre de réformes durables et efficaces de lutte contre la corruption dans leur pays respectif. L’un des principaux objectifs de ce projet est d’aider les parlementaires à mieux comprendre le processus de ratification et d’application de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC). M. Hyde a exprimé son appui en faveur de la motion du Comité permanent qui a été présentée à la réunion et qui demande aux États membres de l’ACP-UE de « garantir l’éradication complète de toutes les formes d’exploitation humaine et de corruption » et de s’assurer de protéger les droits de la personne.
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GOPAC répond à l’appel de la société civile en faveur d’une transparence accrue dans les marchés d’approvisionnement financés par la Banque mondiale
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GOPAC, de même que 106 organisations de la société civile, a signé une lettre adressée à M. Jim Yong Kim (en anglais seulement), président du Groupe Banque mondiale, pour presser l’institution financière internationale de régulariser la transparence et la reddition de comptes en ce qui a trait aux marchés d’approvisionnement financés par la Banque mondiale, particulièrement en demandant la diffusion et la publication de l’information sur la propriété bénéficiaire de tous les soumissionnaires qui sont des personnes morales.
La transparence des processus d’approvisionnement est essentielle pour stimuler la concurrence et de la
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croissance économique, favoriser l’engagement citoyen, réduire la corruption et faire en sorte que les biens et services produits sont de grande qualité et répondent aux besoins réels des citoyens. En rendant publique l’information sur la propriété bénéficiaire de tous les soumissionnaires qui sont des personnes morales et qui sollicitent un marché d’approvisionnement financé par la Banque mondiale, cette dernière ferait un grand pas dans la lutte visant à éradiquer les entreprises anonymes, ce qui lui permettrait également d’atteindre ses principaux objectifs en matière de développement.
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