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Bonjour,

Comment vas-tu ?

Moi, ça va mais j'ai revécu la semaine dernière une expérience que je croyais "loin derrière moi".

En même temps, cette "mésaventure" tombe pile au moment où je voulais te raconter pourquoi les obstacles et les difficultés sont essentiels à l'éveil et à la transformation intérieure...

... gracieuse synchronicité ! :)


Une journée qui voulait "mal commencer" ?

Mardi matin, j’ouvre ma boite e-mails et je tombe sur le message de ma rédac chef :

"Daniel (c’est moi), pour l’article sur la bergerie, l’angle est la formation des agents dont on souhaite mettre en avant leurs nouvelles missions. Merci de reprendre l’article dans ce sens"

Outre une syntaxe approximative, vous noterez l'amabilité de la requête (je supporte mal la tournure "merci de" :) !)

Le plus "amusant" est que mon article abordait ces points.

Mais j’avais pris la liberté d'abandonner la narration "descendante" de la direction s’adressant aux salariés, préférant un style plus humain, à savoir : l'interview...


Management pathogène : suivez le guide...

Comme toujours, en amont, la consigne initiale était floue et contradictoire.

Et bien sûr, l'absence de consigne claire permet à ces personnes de dégainer leur célèbre « ça ne va pas, merci de recommencer ».

Un peu plus tard dans l'avancée du dossier, je ne serais pas étonné d'affronter sa fameuse botte secrète (plus si secrète) « ça n’allait pas du tout, j’ai du tout refaire ».

... Elle en est presque drôle :)


Ce profil te rappelle quelqu'un ?

Si j’étais psychologue je me risquerais à suggérer l’hypothèse d’une PNM !

D'ailleurs, dans mon article du blog sur le dernier ouvrage de Benjamin Fabre "comment triompher en entreprise", j’aborde son chapitre consacré aux boss pervers narcissiques.

 
Si tu veux le lire et découvrir d'autres astuces de "sur-vie" au travail, clique sur le lien : Comment triompher au bureau :) un livre pour vivre mieux au travail


Mais revenons à notre cas...

Ce qui est pervers avec les PNM, c'est leur faculté à s'introduire dans l'étoffe délicate de ton cerveau, te mettant dans une situation de malaise et de culpabilité typiques.


Te voilà alors obsédé dès le réveil 

- par son interrogatoire: "qui vous a demandé de faire ça ?"

- par son jugement : "ça ne va pas"

- par son verdict : "refaites-le"


Et comme toi, tu es quelqu'un de "normal", tu te poses tout un tas de questions.

À commencer par la fameuse "qui m'a AUTORISÉ à faire ainsi ?" te précipitant dans un abîme de doutes, d'inquiétude et d'interrogations existentielles sur ton rôle sur cette terre...

Surtout dans une organisation obsédée par la hiérarchie et l'exercice du pouvoir.


Mon premier secret : le deuil psychologique le plus rapide de l'histoire

Je t’avoue qu'en lisant mon message mardi matin, j’ai dû accuser le coup.

D'ailleurs, il est possible que l’empreinte de mes ongles marque encore les accoudoirs du fauteuil de mon bureau.

Mais mon parcours et l'expérience acquise avec les années m'ont bien aidé !

Du coup, je crois avoir effectué le cycle de deuil psychologique le plus rapide de l’histoire de l'humanité : 

1. choc : 1 seconde

2. douleur : 30 secondes

3. déni : 60 secondes

4. colère + plainte + commérage à la machine à café : 26 minutes

5. marchandage interne + fuites variées + bouderie : 1 heure et 15 minutes

7. prise de conscience + acceptation + conversion : 90 secondes

6. reconstruction + empowerment : en cours :)


Bientôt sur le blog, je te dirai en détail comment faire face à un boss ou un collègue pervers narcissique...


... Mais en attendant, je t'envoie dans quelques jours la suite de l’histoire.


Je te raconterai quelle bascule mentale m'a aidé à me détacher de cette emprise psychologique ;

et comment de telles histoires sont inséparables de ton processus d'éveil et d'émancipation. 


Je te souhaite une bonne journée.

À bientôt !
> Daniel de zouzen.fr
 
 

zouzen.fr

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