Nous sommes entrés depuis à peine un mois dans l’année célébrant le 150e anniversaire de notre pays qu’il faut affronter l’événement tragique et violent qui s’est déroulé dans la ville de Québec.
Nos pensées et nos prières vont aux familles et à tous ceux qui souffrent pendant cette période difficile.
Bien qu’il nous reste encore beaucoup de choses à découvrir sur ce qui a motivé l’auteur de ce massacre, l’un de ses mobiles était définitivement la haine. Beaucoup ont montré du doigt les politiques et les discours à l’étranger comme causes de ce dérapage, mais nous devons accepter l’évidence; les racines de cette tragédie sont belles et bien canadiennes. C’est un rappel brutal de l’importance croissante de notre travail à la FCRR qui consiste à lutter contre le racisme et la discrimination sous toutes leurs formes, et à inciter la population à agir.
Je ne puis aider, mais je sens malgré tout un vent d’optimisme dans l’immense soutien apporté au droit de chacun de prier en paix. Tâchons d’utiliser cela comme pierre d’assise pour aller plus loin. Alors que nous soulignons le mois de l’histoire des Noirs en février, profitons de l’occasion pour apprendre et grandir ensemble en continuant de nous battre pour l’inclusion et la cohésion.
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