Copy
Travelnautes
Newsletter #15
 
ITINÉRAIRE : 3 SEMAINES DE RÊVE
EN NOUVELLE ZÉLANDE
Kia ora <<Prénom>>,
Après avoir fait le tour de l'île Nord de la Nouvelle Zélande, nous repartons vers le sud à la découverte de trésor que nous n'avions pas encore vu mais surtout de l'île Sud ! Même si cela peut paraître incroyable, le meilleur reste à venir puisque nous allons vous conter les trois semaines de road trip entre les deux îles de Nouvelle Zélande.

Un itinéraire que nous avons fait sur-mesure pour Jean-Marc et Michèle, les parents de Pod, venus nous voir au bout du monde mais aussi venus pour découvrir ce beau pays. Nous vous proposons donc de nous suivre sur la route qui nous a amené de la City of Sails (la ville des voiles) aux terres sauvages de l’île du Sud.
Dans la dernière newsletter, nous vous racontions qu’après avoir fait le tour de l’île du Nord en un peu plus de deux mois, nous sommes remontés jusqu’à Auckland pour accueillir Jean-Marc et Michèle, fraichement arrivés au pays des Kiwis, après avoir passé un certain temps à la douane. Il faut dire qu’ici, ils ne rigolent pas avec la biosécurité. On a d’ailleurs une pensée émue pour le saucisson qui n’a pas passé la porte de la douane... Il y a beaucoup de règles à respecter avant de pouvoir entrer sur le territoire. Si vous vous posez des questions à ce sujet, nous vous recommandons de lire cet article. Au programme de la première partie du séjour : aller de Auckland, à Hobbiton, puis en pays maori à Rotorua, faire la plus belle randonnée du monde au Tongariro et descendre à Wellington, la capitale la plus cool du monde selon le Lonely Planet. De retour à Auckland, nous avons parcouru le centre-ville juste après avoir déposé les bagages dans nos chambres d'hôtes.
Pas de souci pour Jean-Marc et Michèle qui après 29 heures de vols n'ont pas peur d'arpenter la ville et de découvrir le port et ses impressionnants voiliers, le quartier des affaires avec ses grandes tours jusqu'à l'hôtel de ville. Autant vous dire que dans le bus du retour, on entendait les mouches voler ! Difficile de résister au sommeil quand le bus nous berce. Nous avons passé la soirée à déguster des spécialités françaises ramenées dans les valises et à profiter des retrouvailles. Le lendemain, direction le Mont Eden ou Maungawhau en maori, le plus haut volcan (éteint, rassurez-vous) d’Auckland avec 196 mètres d'altitude et qui offre une vue imprenable sur toute la ville. C’est toujours un plaisir pour nous d’y revenir et d’arpenter les rues du quartier avec ses maisons coloniales si typiques. L’après-midi est consacré à la sieste ! Ce n’est pas une tradition du pays, mais après autant d’heures de voyage et avec douze de décalage horaire, il est difficile pour Michèle et Jean-Marc de se défaire du jetlag.
Pour notre troisième jour à Auckland tous ensemble, nous décidons d’aller prendre l’air sur une petite île de la baie : Waheike. En à peine quarante minutes de bateau, nous arrivons sur une toute petite île charmante où les riches maisons coloniales côtoient les vignobles et les plages de sable blanc. Nous avons découvert un petit village avec beaucoup des artisans originaux et divers restaurants. Dans l’après-midi, nous avons pris la route et sommes allés jusqu’à Onetangi beach, une plage paradisiaque où nous avons profité du
beau temps pour nous baigner dans l’océan Pacifique.  Le soir même, pas le temps de rentrer à l’hôtel et de déchausser les chaussures de randonnées, Michèle et Jean-Marc nous ont invité au restaurant français Augustus à Ponsonby. Nous entrons dans l’ancienne poste et nous sommes émerveillés de découvert un endroit qui a gardé tout son charme historique. Le repas est un vrai délice, cuisine française aux touches néo-zélandaises, nous avons été conquis !
Le jour d’après, il est temps pour nous de revenir dans les environs de l’aéroport pour récupérer le van de Michèle et Jean-Marc et quel van ! Il est immense. Les débuts ne sont pas simples avec un camion de sept mètres qui se conduit à droite. Nous prenons alors la direction de Matamata et passons la nuit dans un camping qui offrent des bains chauds naturels. Très bon plan pour une première nuit dans nos vans respectifs.
Il n’y a pas grand-chose à voir à Matamata, la seule attraction est HOBBITON ! L’endroit rêvée des fans de la trilogie du Seigneur des Anneaux. Une visite de deux heures pendant lesquels nous avons pu arpenter les décors du film. L'ambiance est unique et nous avons pu profiter à la fin d’une bière et d’un cidre maison dans la célèbre auberge du Dragon Vert.
Désormais transformés en Hobbits, nous reprenons la route pour aller vers Rotorua, la ville maorie de Nouvelle Zélande, où la géothermie surprend dès l’arrivée dans la ville avec ses fumeroles qui sortent du sol. Encore une fois, nous avons profité du bain chaud offert dans notre camping avant de diner et de croiser d’autres Français. Ils avaient eu la chance d’avoir déjà fait la randonnée du Tongariro mais voulait y retourner car le temps n’était pas au beau fixe et ils nous ont surtout appris que le temps allait vite changer et qu’une semaine de pluie nous attendaient.
Le lendemain, nous laissons les parents de Pod profiter du parc Wai-O-Tapu où nous avions pu découvrir les lacs de soufre et d’arsenic puis nous remontons dans nos vans pour prendre la direction du Tongariro. Il n’y a pas une minute à perdre. Nous voulons arriver à temps pour trouver de la place dans un camping et surtout y être avant que la nuit soit tombée. On mange au restaurant, on se prépare pour la randonnée et on programme le réveil à 4h45 pour sauter dans le premier bus de 5h30 (en espérant être assez en forme pour ce qui nous attend).
Les Hamurana springs de Rotorua et la Champagne Pool de Wai-O-Tapu
Pas tout à fait préparés physiquement, nous commençons la randonnée du Tongariro Crossing Alpine. C’est parti pour 19,4 kilomètres de randonnée avec 1000 mètres de dénivelés positifs. Le circuit traverse un désert alpin, serpente entre des volcans, descend dans un cratère, contourne des lacs émeraudes, longe des sources brûlantes et s'achève dans une forêt vierge. La première partie est très facile, nous traversons des plaines de végétations basses puis nous arrivons aux Devil's Staircase, les marches du diable, évidemment appelés comme cela car elles sont très difficiles et nous avons eu besoin de faire plusieurs pauses pour en venir à bout. Arrivés dans un cratère, nous continuons le chemin avec des centaines voire des milliers d’autres randonneurs venus eux-aussi admirer la beauté des paysages arides du Tongariro.
Heureusement, ce jour-là, aucune activité volcanique nous a empêché de monter mais il se peut que le chemin soit fermé dans le cas où l’un des volcans se réveille. Nous traversons des paysages à couper le souffle avec des couleurs incroyables, je crois que les photos ne leur rendent pas honneur. Arrivés en haut d’une crête, nous découvrons les trois célèbres lacs turquoises qui détonnent dans un environnement aussi hostile. Nous en profitons pour nous mettre à l’abri du vent et déjeuner avant de repartir devant un lac acide avant de commencer la longue descente de trois heures. Nous avons au final mis dix heures à faire cette randonnée, un challenge qui était inconcevable pour certains d'entre nous mais que nous avons réussi !
Il est maintenant temps de faire une dernière étape et de descendre l’île du Nord pour aller jusqu’à Wellington, découvrir un peu la ville avant de prendre le ferry pour aller sur l’île du Sud. À bord de l’Interislander, nous sommes confortablement installés dans nos fauteuils pendant que nos vans voyages aux étages inférieurs.
Deux heures trente de traversées et une première découverte de l’ile du Sud : nous naviguons dans le fjord de Marlborough aux montagnes rondes et où s’accrochent à la rive des petites maisons coupées du monde auxquelles on ne peut y accéder que par bateau.
Et c’est reparti pour un nouveau périple ! Au programme : le parc national d’Abel Tasman, Christchurch, le lac Tekapo, le mont Cook, Wanaka et Queenstown. Une fois arrivée sur cette nouvelle terre ensemble, nous prenons la route pour Nelson et quelle route ! Nous découvrons, au fur et à mesure des virages, de magnifiques paysages de fjord se jetant dans la mer aux eaux turquoises. Plusieurs heures de route après notre départ, nous arrivons à Marahau, dernière ville (deux restaurants, une supérette) avant le parc national
d’Abel Tasman, nommé en honneur d’un explorateur qui devient en 1642 le premier Européen à voir la Nouvelle-Zélande. Le lendemain, les plus courageux (évidemment la team Dezeque) ont décidé de faire la moitié de la route en kayak, pendant que la moins téméraire (Eva) a pris un speed boat, pour ensuite arriver à la plage paradisiaque de Anchorage et faire les 12 kilomètres du retour à pied, en longeant la côte. Une jolie balade qui nous a permis de bien dormi le soir.
Pas de temps à perdre, le temps est compté en vacances ! On reprend les vans et on descend dans le Sud, en se trompant de route… Heureusement, nous tombons sur une station essence ! Notre vieux van est assez gourmand et demande d’être ravitaillé très régulièrement, et comme il est possible de faire plusieurs centaines de kilomètres sans avoir une station essence, on saute sur l’occasion. Cette journée aura été consacrée à la route pour nous rapprocher de la deuxième plus grande ville du pays, Christchurch.
Il y a peu de route en Nouvelle Zélande, donc quand on nous a dit que la route passant par Kaikoura était toujours fermée à cause d’un tremblement de terre, il n’y avait pas trente-six solutions. Il nous fallait passer par le centre, mais quels paysages ! On a roulé des centaines et des centaines de kilomètres dans des paysages vierges de toute activité humaine. Mais finalement, ce n’était pas autant effrayant qu’on aurait pu le croire puisqu’il y avait beaucoup de voitures passant la seule des deux routes menant à Christchurch.
Superbe coucher de soleil à Culverden où nous avons passé la nuit.
Arriver à Christchurch, nous découvrons une ville qui a subi un lourd tremblement de terre en 2011 et qui a presque été entièrement détruite. Quelques bâtiments coloniaux restent debout mais la plupart ont été démolis pour en reconstruire de nouveaux. Nous avons peu de photos de ce jour-là car il a plu toute la journée mais cela nous a donné envie de continuer la route !
Nous sommes alors repartis en direction du lac Tekapo. La route qui est au début très linéaire devient magnifique au fur et à mesure que nous montons dans les montagnes. Et là, quel spectacle ! Nous nous arrêtons au bord du lac et découvrons une eau turquoise, presque lumineuse qui nous hypnose. Nous décidons de nous arrêter dans le camping surchargé de la petite ville de moins de 500 habitants. La journée étant bien avancée, nous en avons profité pour nous baigner dans les bains chauds du spa de la ville et pour faire un sauna et un hammam. Il faut savoir que le lac Tekapo est extraordinaire de jour avec ses magnifiques paysages mais il est encore plus impressionnant de nuit puisque nous nous trouvons dans l’une
des quatre réserves de ciel noir au monde de l’UNESCO. Il nous a suffi de descendre et de s’allonger sur les galets de la plage pour admirer, contempler et s’extasier devant ce ciel incroyable. Jamais nous n’avions vu ça. Il y a tellement d’étoiles qu’il en est presque difficile de voir le ciel noir. Et nous sommes encerclés ! Il est même possible de voir distinctement des étoiles au niveau de l’horizon. L’autre point qui rend ce ciel aussi remarquable, c’est que la Nouvelle Zélande est parfaitement dans l’axe de la Voie Lactée. Le ciel dégagé et les faibles niveaux de pollution lumineuse locale ont permis la construction d’un observatoire en haut du Mount John.
Pour continuer dans l’émerveillement, nous avons le lendemain fait une petite randonnée en haut du fameux Mount John. D’un côté, nous voyons les Alpes néo-zélandaises et de l’autre le lac Tekapo et ses montagnes environnantes. Ce qui est particulièrement impressionnant est de voir qu’il n’y a aucune activité humaine aux alentours et, alors qu’on pourrait penser que cela peut être anxiogène, ça fait juste un bien fou !
À peine remis de cette découverte incroyable, nous prenons la route le lendemain pour aller à l’assaut du Mont Cook, Aoraki en maori. Avec ses 3 724 mètres, il est le point culminant de la Nouvelle-Zélande. Nous n’avions pas la prétention de tenter l’ascension mais juste de s’en approcher pour pouvoir l’admirer. La route est un véritable spectacle. Nous avons la chance de rouler sous un ciel totalement dégagé qui nous donne une vue incroyable sur les Alpes du Sud et le Mont Cook.
On vous laisse juger par vous-même !
Nous avons chaussé nos chaussures de randonnée et commencé la Hooker Valley track, un sentier simple avec de jolies vues sur les montagnes environnantes qui nous a mené au lac glacier au pied du Mont Cook. Nous y avons même trempé les pieds ! Difficile de rester longtemps dans l’eau mais nous avons relevé le défi.
La prochaine étape de notre voyage : Omarama ! Cette petite ville de 230 habitants est la capitale du planeur en Nouvelle Zélande. Nous n’avons pas tous la chance et l’envie de tenter l’expérience mais Jean-Marc à volé 60 minutes au-dessus des paysages dorés de la région dans un planeur sans aucun moteur mais avec l’aide de Beau, un pilote qui n’hésite pas à entonner la Marseillaise pendant qu’il fait des loopings. « Et vive la France ! » qu’il disait.
Avant d'aller à Queenstown, nous avons fait un petit stop à Wanaka avant où nous avons expérimenté une balade à cheval dans les montagnes. Arrivé à la fin des trois semaines, on en a profité pour se reposer un peu, profiter de la ville et de sa nature incroyable avant de laisser Jean-Marc et Michèle repartir en France…
COUPS DE COEUR DE JEAN-MARC & MICHÈLE
Nous avons eu tous les deux un coup de cœur pour le lac Tekapo, entouré de vastes montagnes aux herbes dorées. Là-bas, les couleurs du lac où la montagne se reflète, changent à chaque heure du jour, passant par toutes les nuances de bleu, du pastel au bleu turquoise intense, et au rose-orangé le soir.
Notre deuxième coup de cœur est au même endroit, la région du lac Tekapo est l’une des cinq régions au monde de nuit noire, aucune pollution lumineuse et le ciel, la nuit, est une féerie. Des étoiles par milliards qui descendent jusqu’à l’horizon, la Voie Lactée, route lumineuse en plein ciel, la Croix du Sud. Ce soir-là, lorsque nous sommes descendus au bord du lac, nous avons passé des heures les yeux au ciel, à nous émouvoir, et à nous sentir tout petits dans l’univers.
Un autre coup de cœur a été lors de l’Alpine Crossing du Tongariro, une randonnée de 10 heures dans le Mordor, autour de la montagne du Destin ! Nous sommes passés d’un paysage de landes à des paysages lunaires sans aucune végétation, mais avec des lacs turquoises et des couleurs de roches incroyables. La montagne du Destin est toujours en activité : fumerolles et odeur de soufre. La randonnée s’est terminée en traversant une forêt très dense et tropicale.
Nos coups de cœur sportifs : trois heures de kayak de mer avec Pierre-Olivier, pour observer les phoques, et pagayer dur dans une des baies du parc national d’Abel Tasman. Puis à Omarama, Jean-Marc a réalisé son rêve d’un vol en planeur et a découvert les gigantesques fermes cachées, loin des routes, et les immensités des lacs et montagnes vus du ciel. Enfin, tous ensemble, nous avons eu le bonheur de chevaucher tels les cavaliers du Rohan, dans les montagnes dorées de Cardrona. Un grand moment !
Plus de photos sur Travelgram
LESS IMPRESSIONS DE JEAN-MARC & MICHÈLE
Le 5 février au matin, à l'aéroport d’Auckland, après 29 heures de voyage et après 6 mois de séparation, émotion intense. Nous retrouvons Pierre-Olivier et Eva de l’autre côté de la Terre, au bout du monde : émotion, rires, larmes de joie, tout y est. Et puis le voyage commence…. Nous avons quitté l’hiver en Europe pour arriver en été en Nouvelle Zélande. En rejoignant notre Airbnb du 1er soir dans la banlieue d’Auckland, l’odeur parfumée de l’air nous a enivrés. Nous avons été fascinés par ce pays qui offre une extrême variété de paysages grandioses et d’espaces naturels immenses, sans limites : lacs, fjords, rivières, aux eaux cristallines et transparentes, montagnes alpines, volcans et leurs palettes de couleurs incroyables, fumerolles, géothermie, piscines aux eaux chaudes naturelles, glaciers, îles si nombreuses, mer de Tasmanie couleur émeraude, Océan Pacifique aux vagues puissantes. Les ciels sont d’une telle pureté et se confondent avec l’eau des lacs immenses, sans équivalent en Europe. Tous les éléments de la nature se retrouvent dans la culture maori, que nous avons pu découvrir avec grand intérêt. La Nouvelle Zélande protège également précieusement sa flore (fougère argentée, kauris…) et sa faune (kiwis, phoques, dauphins….). Avec le ferry, nous avons fait la traversée entre l’île du Nord et l’île du Sud, secoués par les vents, en passant à travers des fjords de toute beauté.
L'ANECDOTE DE JEAN-MARC & MICHÈLE
À notre arrivée dans la vallée de Cardrona, quel ne fut pas notre étonnement devant une longue barrière en bois, d’au moins 50 mètres de long, entièrement recouverte de soutien-gorges de toutes tailles accrochés à celle-ci !! Nous nous sommes arrêtés, curieux de comprendre une telle exposition, et pour finir, nous avons compris que chaque femme qui passe par là, accroche un soutien-gorge dans le cadre de la lutte contre le cancer du sein. Très beau geste d’humanité !
Quelques infos sur la Nouvelle Zélande
Monarchie parlementaire dont la reine est Élisabeth II
Devise nationale : God Defend New Zealand
4,7 millions d'habitants dont  67,6% d’européens néo-zélandais, 14,6% de Maoris, 9,2% d’asiatiques et 6,9% d’îliens du Pacifique
Nous sommes aussi sur Snapchat !
Suivez-nous au quotidien en ajoutant Travelnautes à votre liste d'amis.
 
Copyright © *2017* *Travelnautes*, tous droits réservés.
* Newsletter #15 *

Si vous souhaitez changer la façon dont vous recevez ces emails, vous pouvez
mettre à jour vos préférences ou vous désabonner de cette liste.
 






This email was sent to <<Email>>
why did I get this?    unsubscribe from this list    update subscription preferences
Travelnautes · 25 rue d'Hautpoul · Paris 75019 · France

Email Marketing Powered by Mailchimp