Copy
Initiative africaine pour la paix et le développement par le dialogue interreligieux et interculturel
View this email in your browser
Avec son bulletin d'information, le CIPINA s'adresse à tous ses amis, sympathisants et partenaires, soucieux de transmettre un message positif sur l'Afrique. Notre objectif est de diffuser une information régulière et pertinente, de renforcer les liens entre les différents acteurs de notre réseau et de vous permettre d’avoir une meilleure vision du développement de l'Afrique
Edition spéciale : La Paix par un autre chemin


Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le
dialogue interreligieux et culturel


Lancement officiel de la pétition pour la Paix universelle
 
Le 06 juillet 2016, jour du Ramadan, a été lancée, à Cotonou, la Pétition pour la paix par un autre chemin. Elle a enregistré à ce jour, toutes nationalités confondues, quelques milliers de signatures dont celles de personnalités de premier plan. Depuis lors, la pétition ne cesse de faire du progrès, grâce aux initiatives conjuguées de diverses origines que ne cessent de coordonner l’écrivain et metteur en scène Ousmane Aledji en lien avec le Centre Panafricain de Prospective Sociale (CPPS), initiateur du projet, et le Directeur du Centre d’Information et de Promotion de l’Image d’une Nouvelle Afrique (CIPINA), M. Tidiane Diouwara. Au titre des actions le 13 septembre dernier a été organisée dans la salle de conférences de l’Union Protestante et Méthodiste du Bénin à Cotonou, une conférence de presse marquant un tournant décisif dans l’évolution du projet au Bénin. Il a été en effet rendu compte de l’installation et de la formation des coordinations régionales du dialogue interreligieux et interculturel, du lancement des travaux d’un centre de santé interconfessionnel dans la commune de Sème Podji, mûri et conçu par les protestants méthodistes du Bénin eux-mêmes, pour sceller la paix et l’union retrouvées entre frères protestants. Cela fut également l’occasion pour le Centre Panafricain de Prospective Sociale d’afficher son engagement au service du Bénin «promoteur de la paix par un autre chemin» en déployant un étendard de la paix humblement offert à l’attention de la Communauté internationale.
 

Présentation officielle de la pétition à New York
 
Le 19 septembre 2016, alors qu’à Paris un hommage officiel était rendu aux victimes du terrorisme, une manifestation officielle de présentation du projet porté par le Bénin avec le concours de l’Union africaine, de l’UNESCO, de l’Agence des Nations Unies pour l’Alliance des Civilisations, du gouvernement japonais, de « Religions pour la paix»…a été organisée par la Mission Permanente de la République du Bénin à New York, en prélude à la célébration de la Journée internationale de la paix. La manifestation a eu lieu sous la présidence effective du Ministre béninois des Affaires étrangères, en présence de M. Patrice Talon, président du Bénin. La cérémonie a connu grand succès tant sur le plan médiatique que diplomatique.
 

Historique de la pétition 


Le Professeur Albert Tévoédjré
 
Voici un peu plus d’une année que sur impulsion du Professeur Albert Tévoédjré, universitaire africain, homme politique du Bénin, Président et fondateur du Centre panafricain de prospective sociale (CPPS), ancien Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, des  personnalités de renom venant d’horizons divers : de la culture, de l’engagement social et avec des expériences professionnelles variées, ont accepté de prendre en charge avec le Gouvernement du Bénin le soutien international à l’Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et interculturel. Ces personnalités, au regard de la tragique impasse des réponses militaires aux terreurs qui continuent d’endeuiller chaque jour la planète, ont accepté d’offrir leur expérience, leur réputation et leur lucide générosité dans le but de faire converger intelligences et consciences pour le salut public. Ils veulent que dans chaque pays africain, se distingue et brille un point focal fédérateur d’énergies créatrices pour faire de l’Initiative africaine, une chaîne nouvelle de sécurité humaine au-delà des opérations de défense sans lendemain de survie. D’autres figures du combat pour l’homme seront les bienvenues pour constituer le réseau audacieux et puissant des ingénieurs attendus d’un mécanisme porteur de paix plus crédible par des actions communes, conjointes, répondant aux besoins immédiats des populations.
 

Objectifs de la pétition
 
Par ce mouvement, ses responsables  souhaitent associer à cette initiative des citoyens du monde entier animés par le même désir de paix et par le vivre ensemble malgré nos différences. L’objectif visé est de collecter le plus grand nombre de signatures en Afrique et à l’échelle de la planète pour conduire au renforcement et à la coordination plus efficace des agences et structures internationales chargées du dialogue interreligieux et interculturel pour la paix et permettant. La pétition a également comme objectif d’appuyer de façon appropriée les Etats en vue d’établir un cadre de concertation du dialogue interreligieux et interculturel donnant davantage de moyens et d’opportunités pour la promotion de rencontres entre jeunes de divers horizons socioculturels et professionnels en renforçant les mécanismes du «vivre ensemble» . Ses autres objectifs sont :
  • de multiplier les points focaux à mettre en réseau au niveau de chaque pays ;
  • de donner priorité aux actions communes de développement érigées et gérées par des groupes interreligieux et interculturels ;
  • d’élaborer des projets conjoints d’innovation sociale fondés sur le dialogue interreligieux et interculturel et aboutissant dans chaque pays d’Afrique et du monde à la conquête d’un « minimum social commun d’authentique développement pour tous les citoyens » ;
  • de multiplier des centres de formation et instituts universitaires consacrés au dialogue interreligieux et interculturel spécialement dédié à des actions communes de développement solidaire ;
  • de contribuer à donner corps à la proposition d’une journée internationale consacrée au dialogue interreligieux et interculturel porteur de développement.
 

Ousmane Aledji à New York pour sensibiliser les décideurs 


M. Ousmane Alédji
 
Dans sa croisade contre la banalisation des conflits humains avec comme corollaire, le déplacement massif des populations, Ousmane Alédji a sensibilisé les Nations Unies au sujet de la campagne « Pétition pour la paix ». C’était à travers un discours prononcé lundi 19 septembre dernier à New York, en marge de la 71e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies. «Le drame de notre monde est que, fort de nos pouvoirs, de nos privilèges et de nos conforts, nous regardons avec indifférence sinon avec mépris, le nombre de gens qui n’ont plus rien à perdre se multiplier ». Ambassadeur pour la paix, le temps de la session des Nations Unis en cours à New York, Ousmane Alédji ne pouvait rêver d’une meilleure tribune pour donner de la voix. Convaincu que la paix est possible autrement que par les coups de canon, le promoteur du centre culturel Artisttik Africa, a partagé ses convictions avec les 193 Etats membres de l’ONU. « L’aboutissement de nos actions conjuguées sera, de réduire considérablement le grand nombre de gens qui meurent de faim ou qui boivent la boue, qui n’ont ni toits, ni écoles, ni hôpitaux, ni sécurité sociale…, le terreau où les extrémismes naissent et où les extrémistes de toutes natures sèment… Il y va de notre sécurité, de la sécurité de nos enfants et de l’avenir de la planète », a-t-il signifié. Dénommé : « La paix par un autre chemin », la pétition promue par Ousmane Alédji émane de l’Initiative africaine d’éducation à la paix et au développement par le dialogue interreligieux et culturel. Selon l’intéressé, l’impulsion est venue d’Albert Tévoédjrè, soutenue par le gouvernement béninois et bien d’autres grands noms africains de diverses sphères. « Ces personnalités, au regard de la tragique impasse des réponses militaires aux terreurs qui continuent d’endeuiller chaque jour la planète, acceptent d’offrir leur expérience, leur réputation et leur lucide générosité dans le but de faire converger intelligences et consciences pour le salut public », a-t-il expliqué. L’idée est de collecter le plus grand nombre de signatures en Afrique et à l’échelle planétaire pour conduire au renforcement et à une meilleure coordination des agences et structures internationales chargées du dialogue interreligieux et interculturel pour la paix. A en croire Ousmane Alédji, la multiplication des points focaux dans les pays, l’instauration d’une Journée internationale du dialogue interreligieux et interculturel, la multiplication des centres de formation et instituts universitaires consacrés au dialogue interreligieux et interculturel, sont entre autres objectifs de ladite pétition (La Nation Bénin).
 

 
Le Bénin affirme son leadership à New York


M. Aurélien Agbenonci
 
Des dizaines de dirigeants du monde ont adopté à New York une déclaration dans laquelle ils s'engagent à protéger les droits des réfugiés et des migrants, à sauver des vies et à partager la responsabilité du soutien et de l'accueil de ces réfugiés et migrants. C'était à l'occasion d'une réunion de haut niveau de l'Assemblée Générale de l'Onu. Ils ont également scruté parallèlement à cette rencontre l'initiative africaine pour prôner le dialogue religieux comme mécanismes de prévention et de règlement des conflits. Les dirigeants du monde ont retenu au total onze engagements contenus dans une déclaration à travers laquelle ils s’engagent a protéger les droits des réfugiés et des migrants dans le monde. Les crises et conflits ayant été identifiés comme étant l’une des principales causes des déplacements massifs, l’Union Africaine conjointement avec le Bénin a proposé, à cette occasion, l’appropriation d’un concept de Paix a travers un dialogue interreligieux pour mieux contenir la situation. Selon Aurélien Agbenonci, ministre béninois des Affaires étrangères. « Le concept de Paix par un autre chemin préconise la multiplication de projets de coopération interconfessionnelle, il préconise cette multiplication de projets pour la création d’opportunités pour l’épanouissement collectif et surtout d’offrir un ancrage à la jeunesse, la protéger contre les errements et les dérives de la radicalisation » L’une des missions du concept de la Paix par un autre chemin est surtout d’éduquer la jeunesse notamment africaines sur les vraies valeurs religieuses afin de lui permettre de cultiver la tolérance et l’acceptation de tous dans le respect mutuel. Une mauvaise lecture des écritures saintes, des préjugés sans fondement adoptes par certains contre d’autres sont quelques facteurs qui menacent la paix ont évoqué a cette occasion politiques et leaders religieux ». L’objectif est d’attendre un grand nombre de signatures afin de soumettre l’idée à l’Assemblée Générale pour adoption sous la forme d’un acte légal des Nations Unies. (Irene Herman Houngbo. , BBC Afrique, New York).
 

 
Mobilisation internationale pour l’initiative
 
Le lundi 19 septembre dernier a constitué une date à inscrire dans l’histoire du Bénin. En marge de l’Assemblée Générale des Nations Unies qui s’est ouverte à cette date, l’initiative africaine pour la paix et le développement par le dialogue interreligieux et interculturel, lancée par le Centre panafricain de prospective sociale (CPPS) dont le professeur Albert Tévoédjrè est le président d’honneur, a fait l’objet d’une grande attention internationale. Elle a été officiellement portée par le gouvernement du Bénin qui a exposé à la face du monde la spécificité de ce projet qui prône la recherche de la paix par un autre chemin que le dialogue et les armes. Dans une interview accordée à plusieurs médias africains et internationaux, le professeur Tévoédjrè a présenté les détails de l’initiative, des actions fortes de paix déjà engagées et dont les fruits sont palpables, par exemple la réconciliation visible de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin.
 

Des salles de classes pour éduquer à la Paix


Mme Antoinette Montaigne

Mme Antoinette Montaigne, consultante sur les questions du vivre-ensemble, ancienne  ministre de la Réconciliation nationale en Centrafrique a salué l’initiative portée par le Bénin. Elle a notamment déclaré : « Avec la crise dans mon pays, j’ai pris conscience de la montée dangereuse de tous types de préjugés et de l’intolérance. En tant que ministre de la Réconciliation, je me suis rendue compte qu’il en faut peu pour que les sociétés basculent. Je souhaite que l’Afrique centrale, zone perturbée par tous types de conflits, puisse s’inscrire dans la démarche du vivre ensemble ». Elle a lancé une Académie de la paix en Centrafrique qui ambitionne d’aller dans d’autres pays pour parler de l’éducation à la paix. Elle a déclarée être ravie de travailler notamment avec le Réseau de l’initiative africaine de l’éducation à la paix lancé par le Centre Panafricain pour la Prospective Sociale (CPPS) de l’institut Albert Tévoédjrè. Des classes de paix seront organisées en Centrafrique afin que « les élèves soient la pépinière de la paix demain en Centrafrique et en Afrique ».
 

Dialogue et Paix : Le long combat d’Albert Tévoédjré et du Bénin


Le Président Patrice Talon (Bénin)

A la tribune dans le cadre de la pose de première pierre d’un centre de santé interconfessionnel devant servir de symbole à la réconciliation des fidèles de l’Eglise protestante méthodiste du Bénin, le professeur Albert Tévoédjré a évoqué une nouvelle dynamique dans la conception du dialogue et de la paix .Pour lui, le dialogue doit se matérialiser par des actes concourant à l’amélioration de la vie des Hommes. «La foi sans les œuvres n’a pas de sens.  Si nous disons dialogue, dialogue, dialogue et que nous n’allons faire rien, on bavarde. Alors disons, la paix, c’est la foi dans le dialogue  qui produit quelque chose de concret pour changer la vie des hommes » a-t-il déclaré à Kpoguidi, un village de  Sèmè-Kpodji dans le Sud-Est du Bénin. Pour cet ancien envoyé spécial de l’Onu en Côte d’Ivoire, cette nouvelle forme de conception de la paix et du dialogue est un exemple que le Bénin donne au reste du monde. « Voilà le nouveau chemin que le Bénin offre au monde entier. Dire désormais qu’il n’y a plus de programme de la paix qui ne doit pas comporter non seulement le dialogue, non seulement les droits humains proclamés, mais l’action, l’agir ensemble pour changer la vie des gens » a-t-il lancé. Il faut dire que la réconciliation des frères en Christ de l’Epmb après des années de discorde a été possible grâce à la médiation du Président Patrice Talon et du professeur Albert Tévoédjrê (Olivier Ribouis).
 

Une démarche novatrice par la Nouvelle Afrique


Cette initiative a le mérite de faire bouger les lignes et elle permettra de redessiner l'échiquier des grandes influences, pour ne pas dire des grandes puissances, de ce monde. Notre initiative, essentiellement africaine, en partenariat avec les autres régions du monde, va dans le sens d'une redistribution des responsabilités, avec comme locomotive l'Afrique d'aujourd'hui, la NOUVELLE AFRIQUE. Occuper le terrain doit être notre leitmotiv des dirigeants africains et dialoguer avec l'AUTRE notre mission à tous. Le vivre ensemble se construira à travers la tolérance et l'ouverture. Notre initiative propose de nouvelles pistes de réflexion et elle est portée par et des hommes et femmes (toutes origines et religions confondues) de conviction et de grande qualité. Aucun effort ne sera ménagé pour porter haut les couleurs de la Paix universelle. Un grand bravo à la délégation qui s’est déplacée à New York pour présenter notre projet. 
Tidiane Diouwara (Directeur du CIPINA, Ambassadeur de la Paix,
www.cipina.org)
 

Implication de plusieurs partenaires internationaux 
 
Notre initiative compte de nombreux partenaires internationaux, parmi lesquels le gouvernement japonais. Aussi inattendu puisse t-il paraître, le soutien du Japon représente une véritable valeur ajoutée à l’initiative eu égard à l’histoire de ce pays qui a toujours défendu les valeurs de paix. D’ailleurs, le Japon a été parmi les premiers états à percevoir l’importance de ce projet et à lui apporter un soutien conséquent. Mis à part le Bénin, plusieurs autres pays africains et internationaux, en plus d’organisations internationales telles que l’UA, l’OIF, ’l’Unesco, Religions Pour La Paix, Église Catholique Succession d'Utrecht du Canada et une pléthore d’organisations de la société civile, soutiennent l’initiative.
 

Personnalités politiques qui ont signé et soutiennent la pétition


Mme Michaelle Jean
Secrétaire Générale de l’OIF


M. Olusegun Ọbásanjo
homme d'État nigérian


M. Nicéphore Dieudonné Soglo
homme d'État béninois


M. Koichiro Matsuura
Directeur général de l’UNESCO de 1999 à 2009


M. John Cardinal Onaiyekan, évêque
puis archevêque d'Abuja depuis 1992


M. António Guterres, Haut Commissaire
des Nations Unies pour les réfugiés entre
Juin 2005 et Décembre 2015


M. Jean Ziegler, homme politique
altermondialiste et sociologue suisse


M. Saâdeddine El Othmani
psychiatre et homme politique marocain


Mme Henriette Diabate
femme politique de Côte d'Ivoire


Mme Katherine Marshall, senior fellow
at the Berkley Center for Religion, Peace,
and World Affairs


M. Eloi Laourou, Ambassadeur du Bénin
en Suisse


M. Laurent Jimaja, homme politique suisse


Mme Pascale Fressot
Présidente de l'Alliance Internationale
pour les Objectifs de Développement
Durable (AIODM/AIODD)


Mme Reckya Madougou, ancienne
ministre du Bénin, experte internationale
en finance inclusive et projets de
développement


M. Olivier Stirn
Membre de l’Académie des sciences d’Outre-Mer


M. Mussie Hailu
Peace activist


M. Ivanir dos Santos
Homme de Paix brésilien


M. Diango Cissoko
homme d'état malien


Mme. Valerie Stessin, première femme
à être ordonnée comme un rabbin conservateur
en Israël
 

Soutien de personnalités musulmanes

Mme Leili Anvar, journaliste, maître de conférences
M. Ghaleb Bencheikh, président de "Religions pour la paix"
M. Khaled Bentounès, guide spirituel de la confrérie soufie Alawiyya
M. Dalil Boubakeur, recteur de la grande Mosquée de Paris
M. Mustapha Cherif, professeur des Universités
M. Azzedine Gaci, recteur de la Mosquée de Villeurbanne
M. Anouar Kbibech, président du conseil français du culte musulman
Mme Barisa Khiari, sénatrice de Paris
M. Mohamed Nokkari, co-sécrétaire « ensemble autour de Marie », Liban
M. Tarek Oubrou, Imam de Bordeaux
 
 

Soutien de personnalités chrétiennes

Monseigneur Jean Marc Aveline, évêque auxiliaire de Marseille
Cardinal Philippe Barbarin, archevêque de Lyon
Monseigneur Michel Dubost, évêque d'Évry, Président du Conseil pour les relations interreligieuses
Mme Véronique Fayet, Présidente du Secours catholique
Monseigneur Gemayel, évêque de l’Eparchie maronite de France
M. Nagy el Khoury, co-sécrétaire « ensemble autour de Marie » Liban
M. Étienne Pinte, ancien maire de Versailles et président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE)
Mme Dominique Quinio, directrice du journal La Croix de 2005 à 2015
Monseigneur Michel Santier, évêque de Créteil

 

Comment signer la pétition

En vous rendant sur la page d’accueil de notre site www.cipina.org
Une fois, sur la page, veuillez cliquer sur "signer la pétition". Toutes les indications y sont données pour la signature. Nous vous remercions d’avance de votre signature et vous prions de transmettre au sein de vos réseaux.
 

Le BIC (Bulletin d'Information du CIPINA)

est reçu par plus de 200 000 abonnés sur

les 5 continents 




 
Copyright © 2016 association CIPINA, All rights reserved.


unsubscribe from this list    update subscription preferences 

Email Marketing Powered by Mailchimp
Share
Forward
Facebook
Facebook
Website
Website
Twitter
Twitter
Instagram
Instagram
Pinterest
Pinterest
YouTube
YouTube