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La lettre du Centre d'études en
sciences sociales du religieux (CéSor)

Novembre 2016

Le CéSor en publications

Pensamiento colonial. Descubrimiento, conquista y « guerra de los dioses » en México. 

BUAP-UV, México, 2015.

Fernando Matamoros Ponce
Este libro, investigación no-clásica de historia, etnología y sociología, subraya, con entonaciones simbólicas del siglo XVI, el « sentido práctico » (P. Bourdieu) de la lengua como acción y poder. Frente a la expansión capitalista, analiza « procesos idílicos de acumulación primitiva del capital » (K. Marx) para actualizar interacciones de fuerza en la conquista de los imaginarios. También, rescata inspiraciones del pensamiento crítico para subrayar cómo acciones simbólicas movilizan sentidos en la cultura. Como sugiere M. Löwy en el prefacio, el entrecruzamiento socio-antropológico de « teología-política » e « historia a contrapelo » (W. Benjamin) indaga poderes simbólicos de identidades para actualizar utopías históricas de la resistencia.
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Como sabemos, Walter Benjamin pedía al historiador crítico escribir la historia « a contrapelo », en oposición a la historiografía oficial, siempre lista para celebrar emperadores, conquistadores  y « evangelizadores » en nombre de la marcha triunfal de la « civilización ». Es en este espíritu que nuestro autor se interesa en los grandes eventos de la historia colonial mexicana del siglo XVI […]. El acercamiento interdisciplinario de la sociología de las religiones a la historia y a la antropología nos hace descubrir el funcionamiento de esa ideología colonial con sus dimensiones místicas, mesiánica, política y utópica […]. Su punto de vista, que parte desde los colonizados, no impide su atención, interés, incluso su fascinación por los argumentos proféticos y milenaristas de los cuatro personajes emblemáticos de la Conquista : Cristóbal Colón, Hernán Cortés y los frailes Bernardino de Sahagún y Jerónimo de Mendieta.
 
Michael Löwy, CéSor-EHESS 
 

 

Les fondations pieuses Waqfs chez les Chrétiens et les Juifs du Moyen Âge à nos jours

Sous la direction de 
Sabine Mohasseb Saliba

Préface de Bernard Heyberger

Comment les chrétiens et les juifs firent-ils usage du waqf, cette institution juridique relative aux fondations pieuses du monde musulman, d’autant que des restrictions législatives entouraient certains bénéficiaires de leurs fondations ? Revenons à cet égard à la définition même de cette institution emblématique du monde musulman et qui fut également adoptée par les chrétiens et les juifs vivant en terre d’islam dès le Moyen Âge.

Si les waqfs ou ḥabūs désignent communément ces fondations charitables et familiales, le terme waqf signifie plus précisément l’acte juridique par lequel un individu constitue une fondation pieuse, à partir d’une propriété bâtie ou agricole, pour soutenir des établissements charitables – religieux ou publics –, et/ou pour garantir la sécurité à des membres de sa famille. Or les chrétiens et les juifs avaient le droit d’établir des waqfs familiaux ainsi que des waqfs charitables au profit des pauvres de leur communauté mais pas d’en établir au profit de leurs lieux de culte et de leur clergé. Cette restriction n’empêchera cependant pas la fondation de nombreux waqfs au profit des lieux de culte et du clergé. C’est ce que nous révèlent notamment les diverses contributions de cet ouvrage qui réunit les actes du premier colloque international portant sur les waqfs des chrétiens et des juifs. Des contributions qui s’interrogent de même sur l’assimilation progressive de l’institution par ces communautés, une question d’autant plus importante que d’anciennes traditions et institutions juives et chrétiennes, relatives aux fondations pieuses, continuèrent à être adoptées parallèlement au waqf. Couvrant tout le pourtour méditerranéen, ces contributions s’étendent du Moyen Âge à l’époque contemporaine, mettant ainsi à jour la genèse, la consolidation, puis le devenir de cette institution chez les dhimmīs.

Avec les contributions d’Aurore Adada, Méropi Anastassiadou, Faruk Bilici, Ana Maria Carballeira Debasa, Miriam Frenkel, Raymond Kévorkian, Issam Khalifé, Elias Kolovos, Mohamed Mérimi, Sabine Mohasseb Saliba, Johannes Pahlitzsch, Abdul-Karim Rafeq, Souad Slim, Musa Sroor, Hmida Toukabri. 

Focus

 

L’ex-voto : une approche historique et anthropologique

 
Une enquête en coopération entre le CéSor et le Groupe d’anthropologie historique de l’Occident médiéval, Centre de recherches historique, coordonnée par Pierre-Olivier Dittmar, Pierre Antoine Fabre et Marie-Anne Polo de Beaulieu (avec la participation pour le CéSor d’Isabelle Brian, Anne Lepoittevin, Marie Lezowski et Bernadette Roberjot).
 
Ces recherches s’inscrivent d’abord dans le prolongement d’une longue série d’enquêtes conduites par le Centre d’anthropologie religieuse européenne (aujourd’hui CéSor) sur les sanctuaires chrétiens. On pourrait dire qu’à la manière du photographe de Blow Up de Michelangelo Antonioni, le Care a progressivement découvert par approximations successives des objets (et les pratiques qui leur étaient ou leur sont liées) dans les lieux saints chrétiens, en commençant par l’approximation par excellence que représente le pèlerinage lui-même comme départ vers ces lieux puis retour à partir de l’expérience de leur fréquentation. Cette première enquête qui était elle-même ancrée dans les travaux d’Alphonse Dupront, fondateur du Care en 1975, a donné lieu à la publication de Rendre ses Vœux, en 2000 (sous la direction de Philippe Boutry, Pierre Antoine Fabre et Dominique Julia) puis à Pèlerinages et pèlerins à Rome, en 2003 (sous la direction de Philippe Boutry et D. Julia). Le photographe s’est ensuite inquiété des très nombreuses reliques qu’il avait repérées dans ces lieux saints et a consacré une dizaine d’années à leur exploration, d’abord dans une série de travaux historiques et historiographiques réunis dans Reliques Modernes en 2007 (sous la direction de Philippe Boutry, Pierre Antoine Fabre et Dominique Julia), puis dans une vaste enquête sur la diffusion des Corps saints des catacombes dans l’Europe et le monde catholique entre le XVIIe et le XIXe siècle, enquête qui vient tout juste de paraître (sous la direction de Stéphane Baciocchi et Christophe Duhamelle) et auquel le CéSor consacrera l’un de ses jeudis dans les prochains mois. Enfin, depuis deux ans, c’est un nouveau type d’objet qui a retenu l’attention, un objet lui aussi souvent quelque peu perdu dans les pénombres des sanctuaires : l’ex-voto. Les explorateurs de l’ancien Care ont ici rencontré des alliés précieux avec les membres du GAHOM, familiers de longue date des recherches sur les choses visuelles.
 
Comment peut-on définir en quelques mots les traits saillants de ces trois grands cycles de recherche (je ne rappelle évidemment pas ici les très nombreuses publications auxquelles ils ont donné lieu par ailleurs par les uns et par les autres, en forme de préparation, accompagnement ou prolongement des quatre grands livres cités) :
 
1. un tropisme spatial très fort, partant de l’hypothèse que les foyers d’intensité des cultes chrétiens sont d’abord des lieux, inscrits dans des espaces ;
2. un temps long que ces lieux viennent empiler et sédimenter, et qui contribue lui aussi à faire de la coopération avec le GAHOM une alliance décisive, entre spécialistes du monde médiéval et des époques modernes et contemporaines ;
3. un ensemble de pratiques, souvent issus d’une religion « populaire », mais en même temps – d’où les guillemets – toujours portés, contrôlés, exaltés ou réprimés par les institutions ecclésiales (paroissiales, régulières, etc.) : la « sainteté » dont procèdent aussi bien les pèlerinages, que les reliques et les offrandes votives étant la manifestation par excellence de cette polarité, locale et globale, spontanée et décrétée, etc ;
4. un ensemble d’objets, toujours inscrits dans les pratiques qui leur sont liées : cultuelles, mais aussi usuelles, fonctionnelles, bureaucratiques, patrimoniales, etc., et qui permettent d’élaborer une sorte d’archive pragmatique des cultures religieuses dans lesquelles ces objets ont prospéré, ou dans lesquelles ils se sont dévitalisés.
 
Comment se développe l’enquête sur les ex-voto ?
D’abord dans le cadre d’un séminaire partagé et soutenu par les Ateliers du Campus Condorcet, dont la prochaine séance aura lieu le 6 décembre salle Dupront (le programme complet sera publié sur les sites du CéSor et du GAHOM dans les prochaines semaines). L’atelier Condorcet est coordonné par Pierre Antoine Fabre et Isabelle Brian (Université de Paris I Panthéon Sorbonne).
Ce travail régulier sera complété par une rencontre à Francfort avec des collègues allemands engagés sur les mêmes travaux en janvier 2017, à l’invitation de Pierre Monnet, directeur de l’Institut français d’histoire en Allemagne. Avec ces mêmes collègues, dont Rudolf Haensch et Ulrike Ehmig, nous avons déposé un projet de rencontres triennal et trinational, allemand, français et italien, à la Villa Vigoni, près de Milan, pour lequel nous attendons des réponses en novembre prochain.
L’objectif de ces expansions progressives est de parvenir, pour la première fois dans l’histoire de l’anthropologie religieuse, à une approche globale d’une pratique de très longue durée et d’une très grande plasticité (les ex-voto de peinture des XVIIIe et XIXe siècles, s’ils sont passionnants dans l’histoire de leur gestation et parfois spectaculaires, n’étant qu’une pointe de l’iceberg) : celle qui consiste à adresser à des puissances surnaturelles l’expression d’une gratitude ou/et d’une attente pour des bienfaits reçus et/ou espérés ; la distance et la force d’englobement anthropologiques étant justement seules à même de ressaisir dans leur part commune et dans leur part singulière des phénomènes trop souvent éparpillés dans une littérature ou un collectionnisme locaux, et dont nous voudrions faire apparaître la centralité bien au-delà des traditions chrétiennes : cette transversalité est aujourd’hui, à tous égards, un enjeu essentiel, qui nous invite à revisiter, avec les outils des sciences sociales, en particulier du point de vue des pragmatiques linguistiques et des logiques d’action, l’immense domaine des « sciences des religions ».
 
Bien d’autres travaux, portés par l’ancien CARE puis par le nouveau CéSor, entreraient dans ce cadre épistémologique rapidement esquissé : je pense en particulier à l’ensemble des dossiers réunis sur la période révolutionnaire, qui présentent sans doute la singularité de prendre à revers les grands traits saillants que je viens de rappeler, en s’intéressant à des pratiques religieuses dans un temps de crise institutionnelle majeure, en retenant un temps court comme ligne de fracture sismique entres grandes plaques de longue durée, etc. Nous retrouverons aussi ces chantiers dans l’avenir, mais je voulais seulement ici mettre l’accent sur l’enquête en cours sur les ex voto en la situant dans une pratique historiographique plus générale.
 
Pierre Antoine Fabre

L'événement du mois

 

La gestation pour autrui : resituer la France
dans le monde 

Représentations, encadrements et pratiques

 
17-18 novembre 2016, Paris 
 

Premier  colloque scientifique international en France sur la GPA


Institut national d’études démographiques (INED), Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,
Muséum national d’Histoire naturelle, Université Paris 2 Panthéon-Assas, École de hautes études en sciences sociales (EHESS)
 
La Gestation pour autrui (GPA) est une pratique très ancienne mais aujourd’hui médicalisée et globalisée. Si elle représente un recours minoritaire lorsque l’on considère l’ensemble des nouvelles techniques reproductives disponibles et utilisées dans le monde (inséminations artificielles, fécondation in vitro, don de gamètes), elle est en revanche la pratique la plus controversée. Mobilisant le corps reproducteur des femmes pour le compte d’autrui, dissociant la maternité et participant à la pluralisation de la parentalité, elle suscite de vifs débats sur la scène publique et médiatique, y compris en France qui s’illustrent principalement à travers les arguments présentés comme antagoniques du libre choix, de la liberté reproductive d’une part, de la marchandisation des corps, de l’enfant à naître et de l’exploitation des femmes d’autre part. La pratique est d’autant plus discutée lorsqu’elle est transnationale et qu’elle fait l’objet d’une transaction financière entre des femmes pauvres, donc considérées comme vulnérables, de pays émergents ou en développement et des individus ou couples aisés, venant le plus souvent de pays riches ou développés. C’est le cas notamment de la situation en Inde ou de certains pays de l’Europe de l’Est, qui mobilise la presse et les médias nationaux et internationaux.
 
La réalité de la GPA semble cependant plus complexe. En effet, la GPA dans le monde est plurielle, diverse, ne serait-ce qu’en Europe. Altruiste ou commerciale, autorisée ou illégale, traditionnelle ou gestationnelle, anonyme ou familiale, sont autant de caractéristiques qui définissent la GPA dans le monde et parfois au sein d’un même pays. Il est important aujourd’hui de comprendre comment se pratique et s’organise la GPA dans le monde au prisme des contextes historique, politique, socioéconomique, culturel et religieux. Pourquoi la GPA est-elle possible dans certains pays et pas dans d’autres ? Sur quels principes ou valeurs se fonde le droit pour encadrer, autoriser ou interdire une telle pratique ? À quelles normes socioculturelles et genrées fait-elle écho ? Pourquoi fait-elle l’objet d’une transaction financière dans certains pays et pas dans d’autres ? Pourquoi la gestatrice et, plus souvent, la donneuse (lorsqu’il s’agit de GPA gestationnelle) sont-elles dans certains pays invisibles, silencieuses et dans d’autres au contraire valorisées et principales actrices décisionnelles de la pratique ? Par ailleurs, si la pratique suscite aujourd’hui un vif intérêt académique, politique et médiatique croissant, elle reste peu documentée avec  des  données  empiriques.  En  effet,  on  connaît  peu  de  choses sur l’expérience et les représentations des médecins, des agences, des parents d’intention, des gestatrices, des donneuses et des enfants issus de la GPA. Quelles sont leurs caractéristiques ? leurs histoires ? leurs motivations ? leurs attentes ? Comment se représentent-ils/elles leur engagement ? Quel est leur vécu de la pratique ? leur devenir ? Quels impacts a la GPA sur leur vie personnelle, médicale, sociale ? Quels sont les rôles et les interactions entre les différents protagonistes ?
  
C’est dans ce contexte controversé et peu documenté que nous avons décidé d’organiser un colloque dont l’objectif est d’analyser et de discuter la diversité des situations, encadrements, expériences relatives à la GPA dans le monde afin de mieux comprendre la pratique, son développement au niveau local et international et ses impacts ; et nourrir ainsi, de façon scientifique, les débats existants, y compris ceux soulevés en France ces dernières années. Dans ce colloque, les questions liées à la GPA seront explorées et discutées par des experts et scientifiques français et internationaux travaillant sur le sujet, à travers différentes disciplines (sciences juridiques, anthropologues, sociologues, démographes, médecins), dans différents contextes nationaux (États-Unis, Inde, Australie, Royaume-Uni, Mexique, Bulgarie, Belgique, etc.) et transnationaux, et selon différents niveaux d’analyse (institutionnel, intermédiaire et individuel).
 
Trois principaux axes seront développés :
  1. la GPA replacée dans son contexte normatif où    seront abordées les normes juridiques, religieuses,  sociologiques, et développées des approches      philosophiques et historiques ;
  2. les protagonistes de la GPA (médecins, agences, parents d’intention, gestatrices, donneuses et enfants) où seront analysés leurs expériences individuelles, représentations, rôles, stratégies et leurs interactions ;
  3. la situation en France, qui sera replacée dans le contexte juridique et sociologique européen.

Le colloque vise à apporter de nouvelles connaissances scientifiques sur une pratique qui est finalement peu connue et essentiellement mobilisée par les médias, et à montrer que cette pratique est révélatrice des transformations de la société globale, avec ses nouveaux enjeux médicaux, socioculturels et juridiques. Il vise également à créer un nouveau réseau scientifique interdisciplinaire et international de façon à mieux comprendre ces enjeux, en envisageant notamment de mettre en place des études comparatives et des réflexions communes.

En savoir plus

Les débats du CéSor

 

Jeudi 17 novembre 2016, 17h30 - 19h30

consacrés à l’ouvrage : 

L’État et les religions en France. Une sociologie historique de la laïcité 

Philippe Portier, GSRL-EPHE

en présence de l’auteur 

    

Discutants : 

Rita Hermon-Belot, CéSor-EHESS

Jean Baubérot, GSRL-EPHE

Lieu :  
EHESS, 96, Bd Raspail 75006 Paris salle M. et D. Lombard  (RDC)



Réservation indispensable : 

Eventbrite - Les débats du CéSor consacrés à l’ouvrage de Philippe Portier

Thèse soutenue

 

Rêves, malheurs et « libérations ». 
Les dynamiques du croire chez les Guambianos  de Colombie

Juan Diego Demera

Thèse de Doctorat en Sociologie. EHESS-Paris
 
Les dynamiques du croire chez les Guambianos des Andes colombiennes nous placent face à de multiples références et reconstructions tant symboliques, que sociales et religieuses, de longue date. De cette manière, l’étude des composants dualistes de ce peuple va de pair avec l’émergence de diverses stratégies de réactualisation et de recomposition des  formes et des contenus rituels. Dans ce mouvement systématique, les redéfinitions des oppositions mythologiques fondamentales, des relations avec le territoire, ou des rapports entre les différents systèmes de croyances, le chamanisme, la sorcellerie, le catholicisme, le protestantisme ou le pentecôtisme, ont fait partie d’un parcours encore inachevé.    
Au centre de ces transformations permanentes, le débat sur la « tradition » et la « modernité » des systèmes de croyances fait partie des débats des protagonistes indigènes, car tant les chamanes que certains pasteurs pentecôtistes locaux se disent eux-mêmes les « garants de la tradition » alors qu’ils désignent « les autres » comme des « sorciers », des « lettrés » ou des « réformateurs». À partir de ces idées et pratiques, les divers composants rituels, les dispositions sociales, les créations et reconstructions symboliques prennent forme, se mélangent ou s’opposent, tout en donnant diverses réponses aux défis du croire indigène, à la mobilité ethnique et aux rapports entre l’homme et la nature.
 
Mots clés :
Guambianos, Misak, Chamanisme, Sorcellerie, territoire, tradition, modernité, protestantisme, pentecôtisme.
 
Jury :
Véronique Boyer, Directrice de recherche au CNRS
Erwan Dianteill, Professeur à l'Université Paris Descartes
Danièle Hervieu-Léger, Directrice de recherche à l'EHESS (ER), directrice de la thèse
Gille Rivière, Maître de conférences à l'EHESS (ER), co-directeur de la thèse
Valérie Robin, Professeure à l'Université Paris-Descartes, Montserrat Ventura i Oller, Professeure à l'Université Autonome de Barcelone 

Arrivé au CéSor

 

Mattia Gallo

Il remplace désormais Benedicte Bruun à la revue Archives de Sciences Sociales des Religions située dans les locaux du CéSor. Il aura notamment en charge la gestion du bulletin bibliographique de la revue.
(mattia.gallo@ehess.fr, 01 53 10 54 77) 



CéSor | 10, rue Monsieur le Prince 75006 Paris

EHESS - CNRS UMR 8216 






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CéSor · 14, cours des Humanités · Aubervilliers cedex 93322 · France

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