Soit 88,4 milliards au niveau provincial, 9,8 milliards au niveau fédéral et 8,1 milliards au niveau municipal.

Ces montants faramineux sont liés au rattrapage que doit faire le Gouvernement du Québec et les autres palliers de gouvernement, pour avoir sous-investi dans leurs infrastructures depuis les années 1990.

Le secteur du génie civil et de la voirie, c'est près de 12 milliards de dollars d'investissements annuels moyens, 2670 employeurs et près de 38 000 salariés.

Dans un contexte de mondialisation des échanges commerciaux, le réseau routier doit absolument être solide et durable, et cela afin de renforcer le développement économique du Québec.

Repenser nos chaussées

Pourtant, ces nouvelles routes sont déjà menacées d'avoir une courte durée de vie, à cause de la déformation, qui mène à la détérioration et à la destruction de nos routes.

Sous nos routes, l'argile qui est très présent au Québec, devient une structure molle qui n'arrive pas à soutenir adéquatement les agrégats naturels (sable et gravier) et l'asphalte. L'hiver, le gel provoque un gonflement de l'argile, qui provoque à son tour le soulèvement de l'asphalte et la déformation des chaussées. L'apparition de fissures sur l'asphalte conduira de façon inexorable à l'infiltration d'eau jusqu'à l'argile. La détérioration des chaussées s'amplifiera avec les diverses périodes de gel et de dégel. Pire, le passage répété des véhicules sur la bosse va finir par arracher l'asphalte et créera des nids de poules.

Actuellement, on isole l'asphalte de l'argile avec des panneaux de polystyrène. Comme, on peut le constater sur nos routes nouvellement construites, avec une résistance de 0,17 MPA, ces panneaux utilisés en remblais léger, sont loin d'être l'idéal et contribuent à la détérioration accélérée des nouvelles chaussées.

Notre béton léger est la solution à cette déformation et à la détérioration accélérée des chaussées sur les routes du Québec

Notre béton léger permet au gel de ne pas atteindre l'argile, qui est à l'origine de la détérioration des infrastructures, par un gonflement provoqué par le gel, l'infiltration d'eau et les fissures. Notre produit empêche donc les mouvements dus au gel. Il respecte les normes du Ministère du transport (MTQ): propriétés mécaniques, thermiques et d'étanchéité. Et, il est accepté par la Ville de Montréal. Il est, donc, très étanche, isolant et résistant. Il peut ainsi grandement renforcer la surface et supporter le poids des agrégats naturels et du butime, sous la pression, du passage des véhicules. 

Nous pouvons atteindre une résistance de 2 MPA en 24 heures, de 3,9 MPA en 28 jours et de 4,6 MPA en 56 jours. La masse volumique est alors de 559 kg à sec et de 626 kg après immersion, au lieu de 2400 kg le m3. Les panneaux de polystyrène, actuellement utilisés comme remblais léger, possèdent une faibre résistance. Cela explique bien la détoriation rapide de nos routes.

En remplaçant les panneaux de polystyrène par notre béton léger, l'on pourrait prolonger la durée de vie de nos routes de plusieurs années et ainsi faire économiser des milliards aux contribuables québécois. 

Voici un cas type de déformation de route, qui conduit à court terme à sa destruction, à cause des multiples passages des véhicules. Sur une route ouverte en novembre 2008, en Outaouais (Québec), près de Thurso, une seconde déformation de la chaussée est survenue, au printemps de 2010, et ce à environ 4 km à l'est d'une autre déformation. Vous pourrez constater de multiples déformations sur la nouvelle autoroute 30, construite à partir de Salaberry-de-Valleyfield (Voir article du Journal le Saint-François). Un très bel exemple de déformation se trouve sur la montée de l'échangeur autoroutier, en sortant de Salaberry-de-Valleyfield, pour atteindre la nouvelle autoroute 30. Cette section a été terminée en décembre 2012 et pour les gens qui y passeront, vous aurez la même sensation que lorsque vous êtes sur une montagne russe.  Nous vous laissons imaginer les coûts de la réparation de cette section. Plusieurs centaines de milliers de dollars: arrachage du bitume, excavation pour identifier où se situe la faiblesse au sol et reconstruction avec les mêmes matériaux à problème.

D'après les résultats d'un projet de recherche de l'Université Laval, sur l'affaiblissement des chaussées durant le dégel sous les effets des charges lourdes, cette technique pourrait donc limiter la détérioration des chaussées suite à l'infiltration d'eau à travers les nids de poules et même par les fissures.
 

GROUPE QUALITAS INC.

Essais de résistance sur un enrobé d'asphalte

 

Notre béton léger est aussi une solution contre les bris d'aqueducs

Il existe une différence entre un bris et une fuite de conduite d’eau. Un bris correspond à une rupture de conduite. Souvent dans le cas d’un bris, l’eau se fraie un chemin jusqu’à la chaussée et gicle de façon spectaculaire. Les bris, qui entraînent généralement une interruption de l’alimentation d’eau, exigent des réparations urgentes et très coûteuses.

Un bon béton, très isolant, comme notre béton léger, peut prévenir définitivement les bris sur les réseaux d'aqueducs des villes et municipalités du Québec. C'est un excellent investissement à long terme qui satisfera les contribuables et les compagnies d'assurance.



Nos agrégats de béton léger élimineront définitivement le gel qui provoque les bris d'aqueduc. Ils agiront à titre préventif en isolant les réseaux d'aqueduc du gel, et sera ainsi un excellent investissement à long terme pour tous les payeurs de taxes. À Montréal, selon une étude des HEC, le coût du réseau d'aqueduc s'évaluait, en 2014, à 17 330,41 $ par km. Pour les autres villes, voici les données ou simplement allez sur cette carte interactive, pour avoir l'ensemble des données pour toutes les villes et municipalités du Québec:

• Laval : 12 349,15 $ par km
• Longueuil: 5 579,36 $ par km
• Québec: 8 415,78 $ par km
• Trois-Rivières: 9 185,77 $ par km
• Sherbrooke: 4 467,80 $ par km
• Gatineau: 13 049,30 $ par km
• Saguenay: 5 033,89 $ par km
• Salaberry-de-Valleyfield: 13 752,74 $ par km

Un bris d'aqueduc en plein hiver coûte trois fois plus cher à réparer. Actuellement, les villes et municipalités utilisent des agrégats naturels (gravier ou sable) ou du béton remblais fabriqué avec de la pierre concassée 0-3/4. Notre béton léger procure un pouvoir d'isolation nettement supérieur à ces produits.
 

Un produit novateur

Notre entreprise, Béton Léger du Canada, fabrique des agrégats synthétiques d'une très grande efficacité d'isolation thermique et sonore, supérieure aux agrégats traditionnelles.
 
Il repose sur le remplacement des agrégats traditionnels (sable et gravier) par des billes de neopor expansées et traitées à base de graphite de granite.