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L'avènement du native advertising
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65% du trafic du site de Be.com est adblocké. Cela signifie que 65% des utilisateurs installent un programme pour ne plus voir les encarts publicitaires du site s'afficher sur leur page web.
Cette situation met en péril le business modèle de Be comme des autres médias, la pub étant la principale source de revenus.
Pour faire face à ce problème, Be a décidé de supprimer totalement les espaces publicitaires sur son site et de les remplacer par du native advertising.
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En quoi cela consiste : le site intègre désormais les "pubs" directement au sein des contenus, que ce soit sur le site ou sur leurs présences sociales. Une révolution qui suit son cours depuis quelques années, et qui challenge l'organisation des médias :
“Chez Auto-Moto, rédaction et régie sont regroupées sur le même open-space. Cela permet un partage d’information permanent. On est en train de mettre en place cette organisation dans toutes les équipes : il n’y a pas de groupe média qui ait été aussi loin dans le cassage des silos.” |
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Les bots activistes
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C'est le Washington Post qui rapporte cette actu pour le moins déroutante : l'arrivée sur les réseaux sociaux et plateformes de messagerie des premiers bots... activistes.
Miracle (ou cauchemar ?) de l'automatisation, ces petits bouts de code ont pour mission de vous sensibiliser et de faciliter votre vie d'activiste. Les bots activistes vous donnent par exemple un accès direct aux informations d'un politique à interpeller, et mieux : ils interviennent aussi dans des discussions politiques entre citoyens sur les réseaux sociaux !
Si les bots manquent encore d'intelligence sociale et d'empathie, ils pourraient bien être demain de puissants relais de l'activisme connecté.
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Le buzz comme modèle de communication
Alors que Donald Trump est devenu le 45e président des États-Unis, pouvons-nous interpréter sa victoire comme celle du buzz ?
Modèle communicationnel parfaitement adapté au Web, basé sur l'instantanéité, évidemment "snackable", le buzz ne se soucie pas de la véracité de l'information, il est la résultante virale d'une émotion véhiculée par le biais du rich media : gifs, images, vidéos... Tout cela n'aura pas manqué dans la campagne comme en témoigne la page spéciale élection de Giphy, à découvrir sans tarder.
En attendant un "match" avec un candidat des primaires en France sur Tinder (pas une blague), nous ne pouvons que constater que le contenu snackable et fort en émotion gagne la bataille sur les médias sociaux. À se demander si le Web de 2016 n'est pas plus adapté pour véhiculer les émotions que les idées ?
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Les 50 nuances de gris des interfaces Web
En moins de 5 ans, le ratio de contraste des interfaces de Google, Apple et de nombreux sites a fortement baissé, et avec elle, la lisibilité des pages. L'accessibilité ou le design ? Le débat est ouvert 😉
Faites-vous votre propre opinion avec cet avant / après d'une interface de Google :
Interface de Google circa 2002
Même interface de Google circa 2012
Lire la tribune de Kevin Marks sur Medium
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#WeAreTwitter, ou le rêve d'un Twitter coopératif
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D'un point de vue économique, Twitter est mal en point : le nombre d'utilisateurs ne grossit pas de manière significative. Les revenus publicitaires sont en faible augmentation, et le cours de bourse est logiquement à la baisse.
Mais les utilisateurs de Twitter n'ont que faire de ces informations de marché : ils aiment leur oiseau bleu ! Alors, après les rachats avortés de Twitter par Disney et Salesforce, certains fidèles se sont tout naturellement réunis sous la bannière #WeAreTwitter. Leur idée fixe : un rachat "en copropriété" de Twitter par ses utilisateurs.
Lire l'article sur Usine Digitale
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