L'infolettre revient après une pause estivale. Voici 3 articles intéressant sur le désir sexuel des femmes, le couple ouvert (collaboration avec Investipole) et désirer être désiré (article en anglais)
Ce dont on s’aperçoit dans les thérapies de couple avec un sexologue psychothérapeute est souvent une histoire bien différente. Les femmes n’ont pas moins de désir, mais elles se tannent de la sexualité qu’elles se permettent et qu’on leur offre. Cela est aussi vrai chez les couples hétérosexuels que lesbiens.
Nous avons tous des fantasmes avoués ou inavoués, et vous n’échappez pas à la règle. C’est un comportement tout à fait naturel. Néanmoins, nombreux sont ceux à renoncer à concrétiser leurs fantasmes sexuels, notamment par peur du jugement de l’autre ou par culpabilité, et à se contenter d’ébats routiniers incapables de calmer leurs appétits.
Truly having sexual desire comes from a space of fullness, not emptiness. Most people and our society talk about desire as though they are lacking something. That they need to take or be given something (e.g. the LDP gives sex to the HDP). Rarely do we hear people talk about desiring someone as giving to another.