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Voici l'infolettre du mois d'octobre 2017 du CALACS de la Rive-Sud
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Mot de l'équipe
 

Wow! Déjà l’infolettre du mois de décembre… C’est incroyable comment le temps passe vite. Il faut l’avouer, avec le raz-de-marée lié aux agressions sexuelles dans les médias et à l’affluence des nouvelles demandes dans nos services, l’équipe du CALACS n’a pas eu le temps de voir les jours passer.

 

Entre temps, nous vous souhaitons une bonne lecture !

 
Dans cette édition


  Party de Noël des membres

  Lancement du projet «Info-Justice»

♀  La cyber agression

  Les 12 jours d’action contre la violence faite aux femmes

À votre agenda

Party de Noël réservé aux membres et femmes en suivi
Jeudi 7 décembre, 17h, Au CALACS de la Rive-Sud.

Vacances du temps des fêtes
Le CALACS sera fermé du 22 décembre au 7 janvier inclusivement


**********
Pour nous joindre ou vous inscrire aux activités :
Téléphone : 418 835-8342
Sans frais : 1 866 835-8342
 Courriel : info@calacsrivesud.org

 

Faites un don

Party de Noël des membres et lancement de la programmation

 

Cette année, la soirée de Noël pour nos membres et les femmes en suivi aura lieu le jeudi 7 décembre de 17h00 à 21h00. Au programme, il y aura un buffet, des jeux, BEAUCOUP de cadeaux et une avalanche de plaisir ! Nous vous demandons de vous inscrire d’ici le 4 décembre prochain, afin que nous demandions à nos lutins-chats de bien vouloir préparer vos cadeaux et vos petits gâteaux. Également, lors de cette soirée, il y aura le lancement de notre programmation hiver-printemps 2018. Vous pourrez en primeur connaître les nouveautés et vous inscrire avant tout le monde.

LES PLACES SONT LIMITÉES ! FAITES VITE !
 


Lancement du projet «Info-Justice»

Depuis 2012, le CALACS Rive-Sud travaille a développé des outils d’intervention adaptée à la déficience intellectuelle. Cette année, une troisième phase voit le jour grâce au soutien financier du Ministère de la Justice du Québec. Dans les prochaines semaines, il sera possible de se procurer le guide «Info-Justice», qui a pour objectif d’aider et de guider les personnes avec une déficience intellectuelle dans le cadre d’un processus judiciaire. Le lancement officiel a eu lieu le 30 novembre au Cosmos de Lévis. C'est 25 personnes qui ont assisté à cette rencontre.
Si vous désirez en savoir plus ou commander le guide, contactez-nous !
Téléphone : 418-835-8342            Courriel : info@calacsrivesud.org

 

 

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.



La cyber agression: c'est quoi?


La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto,  pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2).

Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans
-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions
-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux
-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.
-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.
-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

Un vidéo réalisé par le CALACS francophe d'Ottawa: La cyberagression à caractère sexuel et la justice.
Pour en savoir plus sur la sextorsion, nous vous invitons à consulter le lien suivant:
http://ici.radio-canada.ca/special/sextorsion/


Les 12 journées d'action contre la violence sexuelle faite aux femmes

 

Les 12 jours d’action contre la violence envers les femmes a lieu du 25 novembre au 6 décembre. Pour souligner cette période de l’année, le CALACS de la Rive-Sud sera présent le 6 décembre à l’Université du Québec à Rimouski (Campus Lévis) pour sensibiliser les gens aux violences envers les femmes et pour commémorer la tuerie de la Polytechnique de 1989.Les 12 jours d’action contre la violence envers les femmes a lieu du 25 novembre au 6 décembre. Pour souligner cette période de l’année, le CALACS de la Rive-Sud sera présent le 6 décembre à l’Université du Québec à Rimouski (Campus Lévis) pour sensibiliser les gens aux violences envers les femmes et pour commémorer la tuerie de la Polytechnique de 1989.Les 12 jours d’action contre la violence envers les femmes a lieu du 25 novembre au 6 décembre. Pour souligner cette période de l’année, le CALACS de la Rive-Sud sera présent le 6 décembre à l’Université du Québec à Rimouski (Campus Lévis) pour sensibiliser les gens aux violences envers les femmes et pour commémorer la tuerie de la Polytechnique de 1989.Les 12 jours d’action contre la violence envers les femmes a lieu du 25 novembre au 6 décembre. Pour souligner cette période de l’année, le CALACS de la Rive-Sud sera présent le 6 décembre à l’Université du Québec à Rimouski (Campus Lévis) pour sensibiliser les gens aux violences envers les femmes et pour commémorer la tuerie de la Polytechnique de 1989.

Pour en savoir plus: http://www.ffq.qc.ca/2017/11/communique-de-presse-23-nov-comite-des/

 
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