Copy
Voici l'infolettre du mois de janvier 2018 du CALACS de la Rive-Sud
View this email in your browser

Mot de l'équipe

Avec la venue du temps des Fêtes, l’équipe du CALACS vous a préparé un très beau cadeau, notre programmation Hiver printemps 2018. Elle est maintenant disponible sur notre site web et si vous désirez notre version papier, n’hésitez pas à nous la demander. De plus, nous profitons de cette occasion pour vous souhaiter un joyeux Noël et une bonne et heureuse année 2018. Nous vous souhaitons tout ce qui n’a pas de prix : la santé et le bonheur.

Prenez note également que le CALACS sera fermé du 22 décembre 2017 au 7 janvier 2018 inclusivement. Cependant, les messages téléphoniques seront pris pendant ce congé et une intervenante pourra rappeler les femmes en situation d’urgence. L’équipe sera de retour, les batteries rechargées, car de belles activités s’annoncent pour 2018!

 
Dans cette édition

♀  Présentation de Noémie
♀  Expo-Encan Femme
♀  Annonce importante de la SQ
♀  12jours d'actions contre la violence faite aux femmes
♀  Formation annuelle aux partenaires
À votre agenda
 
Groupe de soutien pour les femmes
Ce groupe de 12 rencontres de 2h30 permet de parler de son vécu et de faire diminuer les conséquences des agressions à caractère sexuel. C’est l’occasion de comprendre et d’échanger dans le respect.
Début le mardi 16 janvier à 18h
 
♀ Groupe de soutien pour les adolescentes
Ce groupe de 10 rencontres de 2h30 permet de parler de son vécu et de faire diminuer les conséquences des agressions à caractère sexuel. C’est l’occasion de comprendre et d’échanger dans le respect.
Début le mercredi 24 janvier à 18h
 
♀ Dîner causerie
Rencontre permettant d’échanger sur différents sujets libres préoccupants en lien avec les agressions à caractère sexuel. Apportez votre lunch !
Mercredi 17 janvier à 12h
 
 ♀ Atelier « Faire face au processus judiciaire »
Cet atelier, donné par une avocate, s’adresse aux femmes se questionnant sur le processus judiciaire (ayant entamé des démarches ou non).
Lundi 29 janvier à 18h.

 
**********
Pour nous joindre ou vous inscrire aux activités :
Téléphone : 418 835-8342
Sans frais : 1 866 835-8342
 Courriel : info@calacsrivesud.org

 

Faites un don

Présentation de Noémie

Nous avons le plaisir de vous annoncer officiellement que Noémie Breton-Guay, qui était stagiaire au CALACS l’année dernière, a été embauchée cet automne à titre d’intervenante sociale. En plus d’effectuer quelques suivis individuels, elle a comme principal mandat d’effectuer l’animation des sensibilisations. Nous lui souhaitons un bon retour parmi nous et nous espérons que vous aurez l’occasion de la rencontrer.


Expo-Encan Femme

Emmanuelle Gendron, une artiste de la région de Québec, a eu l’idée fabuleuse d’organiser une activité pour soutenir la cause des victimes d’agressions sexuelles et d’amasser des fonds pour le CALACS Rive-Sud. Cet événement haut en couleur rassemblera divers artistes du Québec. L’événement se fera en deux temps. En premier lieu, il y aura un encan silencieux où les gens pourront se procurer des œuvres et un spectacle musical terminera la soirée. L’activité se tiendra le samedi  3 février à partir de 18h30 à la Nef, 190 rue St-Joseph Est à Québec.

Pour les gens intéressés, vous pouvez dès maintenant vous procurer des billets à sur le site web du point de vente : https://lepointdevente.com/billets/calacs. Prenez note que les billets sont en prévente au coût de 20$, mais qu’ils seront vendus 25$ à la porte. Nous espérons vous y voir en grand nombre.

 

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.

La cyber agression, c’est une forme d’agression sexuelle méconnue et récente. Depuis l’avènement des médias sociaux, cette problématique vient toucher jeunes et moins jeunes. Que l’on parle de sexto, pornographie juvénile, cyberprédation, sextorsions ou hameçonnage via Internet, les conséquences pour les victimes demeurent les mêmes que chez les victimes de n’importe quelles autres formes d’agressions. Si cette problématique nous préoccupe particulièrement au CALACS, c’est que nous voyons une augmentation de nouvelles demandes en lien avec la cyber agression et qu’il est pour nous primordial de faire de la prévention chez les jeunes (c’est-à-dire le programme de sensibilisation GUES dans les classes de secondaire 2). Afin de vous informer, voici quelques faits et statistiques :

-L’âge de consentement légal pour des relations sexuelles est de 12 ans

-Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.Annonce importante de la Sûreté du Québec

Il est désormais possible pour une victime d’agression sexuelle de demander une révision de son dossier lorsque celui-ci est clos sans mise en accusation. Après l’évaluation de la demande, une analyse du dossier sera effectuée par un comité composé de la SQ, ainsi que de partenaires, dont le RQCALACS. Pour soumettre une demande de révision, vous devez en faire la demande par courriel à l’adresse : mav@surete.qc.ca

Dans votre demande, vous devrez indiquer les renseignements d’identification nécessaires :

  • Le numéro du dossier en question, si ce dernier est connu;
  •  Votre nom complet;
  •  Votre date de naissance;
  • Un numéro de téléphone pour vous joindre.

 
À noter que seuls les dossiers d’agression sexuelle clos seront analysés. Les dossiers clos par les services de police municipaux (ex. Lévis ou Québec), ne font pas partie de cette entente. Pour toutes questions ou pour recevoir de l’aide dans vos démarches, n’hésitez pas à communiquer avec nous.

Il est possible de porter plainte en lien avec des cybers agressions

-Seulement environ 5% des profils sur les réseaux sociaux qui sont faux

-95% des cybers prédateurs utilisent le lien de confiance auprès de leur victime pour obtenir ce qu’ils veulent. Ils utilisent la confiance et la séduction, et non pas les menteries et la tromperie.

-Un cyber prédateur peut être très patient… il est capable d’attendre sa victime sur de longues périodes puisqu’il travaille avec le lien de confiance. Il parle également avec plusieurs filles/femmes afin d’avoir un certain roulement dans ses victimes.

-Les personnes les plus à risque sont les adolescentEs, puisqu’ils sont plus vulnérables aux flatteries, plus faciles à créer un lien de confiance et ont le sentiment d’être invincibles.

Comment faire pour soutenir une victime ? L’écoute, la croire, ne pas la juger et la rassurer sont des attitudes aidantes. Juger la personne, la ridiculiser, la faire sentir coupable sont des attitudes nuisibles qui engendreront davantage les conséquences et qui amèneront les victimes à se taire et ne pas dénoncer la situation.


Les 12 journées d'action contre la violence sexuelle faite aux femmes

 

Cette campagne annuelle est l’occasion de réfléchir collectivement au phénomène de la violence faite aux femmes, de publiciser des solutions concrètes pour enrayer ce problème social et de faire connaître les services existants. Rappelons que ces 12 jours d’actions se tiennent entre le 25 novembre, Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes décrétée par l’ONU et le 6 décembre, Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes. Instituée en 1991 par le Parlement du Canada, cette journée souligne le triste anniversaire de la tuerie de 14 jeunes femmes en 1989, à l’école polytechnique de Montréal, celles-ci ayant été tuées uniquement parce qu’elles étaient des femmes. Plusieurs événements ont eu lieu durant ces 12 jours. De son côté, le CALACS a contribué à cette campagne en allant tenir un kiosque de  sensibilisation à l’UQAR.

Finalement, si vous voulez aussi contribuer en posant un petit geste simple, vous pouvez porter un ruban blanc lors de ces journées. En fait, c’est devenu un symbole international porté par les hommes et les femmes qui désirent signifier leur désapprobation de la violence à l’égard des femmes.


Pour en savoir plus: http://www.ffq.qc.ca/2017/11/communique-de-presse-23-nov-comite-des/

 

Formation annuelle aux partenaires
 

Suite à l’engouement engendré par notre formation sur la problématique des agressions à caractère sexuel cet automne, nous la referons le 22 et 23 janvier prochain dans les locaux du CALACS. Cette formation est offerte au coût de au coût de 60$ par personne pour 2 journées de formation, incluant le cahier de formation. Cette formation complète abordera de nombreux thèmes pour approfondir les connaissances sur la problématique et les conséquences vécues chez les victimes, de développer les habiletés d’accueil et de référence et de sensibiliser sur les notions de consentement et la loi, le parcours d’une victimes dans le processus judiciaire, la trousse médico-légale, etc. Si vous êtes intéressés, faites vite, car les places se remplissent rapidement.
Inscription par téléphone: 418-835-8342 ou par courriel: info@calacsrivesud.org

Faites un don
Copyright © *2018* *CALACS de la Rive-Sud*, All rights reserved.
*|JANVIER|*

Pour nous contacter:
info@calacsrivesud.org

Vous voulez modifier votre inscription à notre infolettre?
Vous pouvez modifier vos coordonnées ou vous désinscrire de la liste d'envois.






This email was sent to <<Email Address>>
why did I get this?    unsubscribe from this list    update subscription preferences
CALACS de la Rive-Sud · C.P. 13 Succursale Lévis · Lévis, Québec G6V 6N6 · Canada

Email Marketing Powered by Mailchimp