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Massicotte a conçu ce nouvel album avec l’aide de fidèles musiciens dont Fred Levac (Pandaléon) et Jonathan Lafrance (Joseph Edgar, BPR, The Muscadettes). Conservant la signature déjantée qui l'a toujours caractérisé, il demeure authentique, expressif, dynamique, lucide, parfois loufoque, parfois tristounet. Les rythmes de ses compositions sont plus denses et sa guitare elle, plus tranchante. Quant à ses textes ils s’insèrent dans l’actualité du quotidien au 21e siècle avec beaucoup d’ironie.
Les médias n'ont d'ailleurs pas manqué de souligné les qualités de l'auteur-compositeur-interprète.
«Il amuse au premier abord, mais vise étonnamment juste» - Le Devoir
«Il invite à des réflexions tout à fait légitimes, et il le fait avec désinvolture, sans tomber dans le mélodrame ou se prendre trop au sérieux» - Ici Musique
«Imaginez une version hop-la-vie de Tire le coyote. Bref, à écouter» - Le Journal de Montréal
«Dynamique et déjanté, il nous fait plonger dans son univers avec le plus grand plaisir», La Semaine
«Il évoque avec brio le fil rouge de cet album qu’est le quotidien de la vie» - Le Canal Auditif
«Un univers à la fois naïf et pince-sans-rire, le tout enrobé d'une musique folk-western très efficace» - Journal Métro
«Ça va parler à beaucoup de gens, je pense que ça vaut la peine de voir Massicotte en spectacle pour avoir la pleine mesure de son énergie» - Gravel le matin, Ici Première
Révélé en 2011 avec l'album Cowboy de ville, qui lui a valu des critiques élogieuses, Massicotte a récidivé deux ans plus tard avec le mini-album J'ai jamais su danser, réalisé par Navet Confit. Comptant à ce jour plus de 500 représentations scéniques, il reprendra bientôt la route avec son tout nouveau spectacle.
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