4ième CONFÉRENCE MONDIALE GOPAC – VILLE DE MEXICO
La 4 ièmeConférence mondiale de GOPAC a eu lieu dans la Ville de Mexico du 11 au 13 mars 2011. La rencontre était organisée en collaboration avec le Sénat du Mexique, dont l’hôte était le Sénateur Ricardo García Cervantes, récemment élu Vice-président de GOPAC et Président du Chapitre régional de l’Amérique latine, et le Chapitre national du Mexique. La rencontre réunissait plus de 200 parlementaires de 42 pays pour partager des idées et acquérir de l’expertise dans la lutte mondiale contre la corruption et la façon de les appliquer au niveau d’un pays.
Prière de suivre le lien suivant pour consulter la Déclaration et les Résolutions de la Conférence
Au nombre des ateliers on retrouvait des rencontres du Groupe de travail mondial (GTM) de GOPAC. Les sujets de discussion de ces groupes de travail avaient été retenus lors de la 2 ièmeConférence mondiale d’Arusha, en Tanzanie, en 2006, en plus du Développement des chapitres mondiaux, l’Engagement des membres de GOPAC et de la société civile, ainsi que les questions de financement et de programmation.
GROUPES DE TRAVAIL MONDIAUX (GTM)
Le modèle de programmation de GOPAC se fonde sur le concept des Groupes de travail mondiaux pour promouvoir les questions identifiées par les membres, en invitant un groupe de représentation régionale à être champion de chaque sujet dans leur région et au niveau mondial. Le travail du Groupe est appuyé par le Conseil et le Secrétariat de GOPAC, par l’entremise de manuels, d’ateliers et du développement des capacités des parlementaires dans le monde. Par l’entremise de ces groupes de travail, GOPAC peut appuyer l’introduction de changements législatifs et de surveillance des parlements nationaux, pour contrôler la corruption, promouvoir la bonne gouvernance et rendre l’exécutif imputable envers le public.
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GTM de la lutte contre le blanchiment d’argent (GTM-LBA)
Dirigé par Roy Cullen (Canada), ce GTM – LBA doit engager et motiver les chapitres régionaux et nationaux, ainsi que les parlements par l’entremise d’ateliers et d’autres méthodes, afin de promouvoir des règlements internationaux plus robustes sur les transactions financières, et inciter le rapatriement de fonds illicites investis ailleurs. Ce GTM veille à promouvoir le travail d’organisations clés dans ce domaine, y compris la Banque mondiale, le FMI, le GAFI, et l’Association internationale de conformité (ICA).
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Convention des Nations-Unies contre la corruption (GTM-CNUCC)
Dirigé par Dr. Naser Al Sane (Kuwait), le Groupe de travail mondial de GOPAC sur la Convention de Nations-Unies contre la corruption reconnaît l’importance de promouvoir la coopération internationale dans la lutte contre la corruption. Ce Groupe de travail réunit les membres et les chapitres de GOPAC, afin de réaliser la mise en application efficace de la CNUCC, et observe le Programme de surveillance d’appui aux parlementaires de GOPAC. En vertu d’un projet conjoint du Programme de développement des Nations-Unies (PDNU) et de GOPAC on a réalisé la Boîte à outils GOPAC-PDNU pour les parlementaires, au chapitre de la prévention de la CNUCC.
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Éthique et code de conduite des parlementaires (GTM-ECP)
Dirigé par Ghassan Moukheiber (Liban), ce GTM cherche à modifier la perception étendue que les parlementaires sont partie de la corruption plutôt que la solution. GOPAC a créé ce Groupe de travail mondial, qui a consulté les parlementaires et d’autres, pour développer une ébauche de Code d’éthique destiné aux parlementaires. Une partie de ce travail a été utilisée pour créer le Manuel sur l’éthique et la conduite des parlementaires, publié récemment en collaboration avec la Westminister Foundation for Democracy.
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Surveillance parlementaire (GTM–SP)
Dirigé par Cesar Jauregui (Mexique), le Groupe de surveillance parlementaire travail avec la Banque Mondiale et la Hansard Society, afin de renforcer les dispositions sur l’utilisation de ressources publiques, y compris les pouvoirs, les procédures et les pratiques de transparence dans l’examen des finances parlementaires et les ressources de revenus. GOPAC a développé un manuel de surveillance financière qui est en voie d’être adapté à divers systèmes de gouvernance.
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