« Si l’on peut déplorer que les violences alimentent une inflation législative sans permettre un vrai débat parlementaire, je me félicite que les dispositions de la proposition de loi mettent en œuvre des recommandations de la délégation aux droits des femmes, notamment la nécessité absolue d’interdire toute médiation pénale en cas de violence, ou encore la remise en question de l’autorité parentale pour un conjoint violent qui, par définition, ne peut être un bon parent. »
Annick BILLON,
Présidente de la délégation aux droits des femmes.
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