Je cherche le mariage d'Edouard Piché et Margaret McAdam. Ils ont vécu à Chapau, au Pontiac. Edouard est décédé au Témiscamingue.
Entrée au Canada
Lors de mes recherches sur les Pellerin, j'ai trouvé le mariage en 1901 d'un Jean Ange Pellerin. Il était originaire de Corse, France.
Quelqu'un pourrait-il me dire si son arrivée au Canada est consignée quelque part. Si oui, où et comment la trouver?
Pour faire des commentaires, veuillez vous rendre à la page Forum des membres sur notre site Web et au forum Genealogy Discussion — Discussion de généalogie.
Date et l'heure : Mercredi, 19 février 2020 - 20:00 HNE
Présenté par : M. Bertrand Desjardins
Langue : français
M. Bertrand Desjardins, généalogiste émérite, PRDH-IGD, fera une démonstration en ligne de la base de données PRDH-IGD pour vous montrer toutes ses fonctionnalités et vous donner quelques conseils pour vous aider dans vos recherches.
Ce webinaire est prévu pour le premier lundi de chaque mois. Inscrivez-vous pour vous familiariser avec toutes les fonctionnalités de notre Société, notamment en utilisant les bases de données PRDH, BMS2000 et Fichier Origine, les Liens de ressources, et le Forum des membres.
Pour vous inscrire à ce webinaire, visitez notre page Prochains webinaires sur notre site web.
N'oubliez pas que notre page Webinaires enregistrés sur notre site Web contient des webinaires que vous pouvez consulter à tout moment.
Si vous souhaitez partager vos intérêts généalogiques ou votre expertise dans un webinaire, veuillez nous le faire savoir. Nous sommes à la recherche de conférenciers pour notre série de webinaires 2020.
La région de Lanaudière s'étend du fleuve Saint-Laurent, juste au nord de Montréal, vers les Laurentides. La région est généralement rurale avec un paysage de terres agricoles, de collines et de lacs, tandis que les zones urbaines sont concentrées dans le sud de la région, comme Repentigny, Terrebonne et Berthierville.
L'origine de la région vient du fait qu'une partie importante de son territoire faisait partie de la seigneurie de Lanaudière sous le régime français. La Seigneurie de Lanaudière était une seigneurie de Québec concédée à Charles-François Tarieu de Lanaudière le 1er mars 1750 par le gouverneur Jonquière.
Repentigny a été fondée en 1670 par Jean-Baptiste Le Gardeur, fils du seigneur Pierre Le Gardeur. Au cours des 250 premières années de la ville, Repentigny était habitée par quelques centaines de paysans, ou habitants, et était une communauté agricole. En 1677, le premier recensement de la population n'indique que 30 habitants.
Terrebonne est divisé en trois secteurs, soit Lachenaie, La Plaine et Terrebonne. Avant 2001, ces secteurs étaient des villes distinctes. La ville de Lachenaie, qui a été fondée en 1670 par le seigneur Charles Aubert de Lachenaye, est la plus ancienne des trois villes qui ont été fusionnées.
Berthierville, également appelée Berthier-en-haut, et légalement appelée Berthier avant 1942, a plus de 340 ans. Le 29 octobre 1672, l'intendant Jean Talon concéda à M. Randin une partie de la seigneurie qu'il vendit l'année suivante à M. Alexandre Berthier qui lui donna son nom. Cette seigneurie est achetée le 25 avril 1718 par Pierre de Lestage, un marchand de Montréal. Elle passe ensuite à ses neveux qui, le 7 mars 1765, la vendent à James Cuthbert, d'origine écossaise. À la mort de James Cuthbert en 1798, son fils James hérite de la seigneurie, qui passe à son fils Edward Octavian, dernier seigneur de Berthier, à sa mort en 1849.
Vous trouverez ci-dessous les ressources ajoutées au cours des dernières semaines à la page Liens de ressources de notre site Web. Si vous connaissez des sites Web pour la région de Lanaudière qui pourraient aider à la recherche sur l'histoire des familles, veuillez nous en faire part.
Baptêmes, Mariages, Décès
Base de données Originis
De la base de données Originis, un index des baptêmes et des enterrements pour la région de 1909 à 1909 a été ajouté. ll n'y a que quelques transcriptions, mais elles peuvent vous aider dans vos recherches !
St-Félix-de-Valois
Un index des baptêmes et des sépultures de 1875 à 1900 a été ajouté à notre site Web, grâce à Lise Chevalier qui a produit cet extrait en ligne avec la permission de la Société de généalogie de Lanaudière.
Mariages Protestants de la région de Lanaudière
Le site Gen Web de Lanaudière répertorie la plupart des mariages protestants qui ont eu lieu dans la région.
Acadiens de l’ancienne Acadie dont les enfants se sont mariés dans la région Lanaudière
Le site Gen Web de Lanaudière contient également une liste de plus de 125 Acadiens dont les enfants se sont mariés dans la région.
Les cimetières
Vous avez de la difficulté à trouver de l'information sur la mort de vos
ancêtres ? Les transcriptions de pierres tombales sont une source d'information généalogique très précieuse, car elles comprennent souvent les dates de naissance et de décès ainsi que les noms des conjoints, des enfants et des autres membres de la famille.
Find A Grave
La base de données Find A Grave comprend des transcriptions de cimetières pour 50 endroits dans la région de Lanaudière.
Vous trouverez ci-dessous une transcription du cimetière Saint-Charles-Borromée à Lachenaie.
Transcriptions de recensement pour la région
La transcription du rapport de population de 1825 pour le canton de Rawdon, comté de Leinster, a récemment été ajoutée à notre site web. Bien qu'il ne s'agisse pas du recensement original, la transcription offre un moyen facile de rechercher vos ancêtres à Rawdon.
Sociétés généalogiques et historiques
Le site web de la Société d'histoire et de patrimoine de Lavaltrie a récemment été ajouté à notre page de Liens de ressources. Ce site Web comprend également des informations généalogiques sur certaines personnes et familles.
Divers
De nombreux bâtiments et sites historiques de Lanaudière racontent l'histoire de notre patrimoine, des sites religieux aux maisons patrimoniales. Les nombreux moulins témoignent également de la prospérité économique de notre passé. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples qui peuvent vous aider dans vos recherches ancestrales :
Maison et jardins Antoine-Lacombe - Saint-Charles-Borromée
L'ancêtre de la famille Lacombe, originaire de Bordeaux, en France, s'appelait Étienne de la Comble. Antoine Lacombe, un cultivateur de blé et d'avoine né à Saint-Paul de Joliette en 1803, s'est installé à Saint-Charles-Borromée en 1834. En 1847, il fait construire cette maison de pierre par M. Amable Archambault, le maître maçon de Saint-Charles-Borromée. Une vingtaine de propriétaires se sont succédé et, en 1987, la municipalité de Saint-Charles-Borromée a loué la maison pour finalement en devenir propriétaire en 1989.
La chapelle Cuthbert à Berthierville
Construite en 1786 par James Cuthbert, cette chapelle est la plus ancienne église anglicane du Québec. Classée monument historique, elle offre en été des visites guidées et des expositions.
Maison Bélisle – Terrebonne
La Maison Bélisle est la plus ancienne maison conservée du Vieux-Terrebonne. Construite en 1759, elle est le meilleur témoin de la grande histoire de Terrebonne. Elle est nommée en l'honneur de la dernière famille à l'avoir habitée, celle du forgeron Donat Bélisle.
L'Île-des-Moulins
Pendant deux siècles, l'Île-des-Moulins a été au centre du développement de l'une des plus grandes seigneuries de l'histoire du Québec. Aujourd'hui, cinq bâtiments historiques restaurés témoignent de la vitalité économique de la seigneurie de Terrebonne et des réalisations de ses seigneurs et propriétaires. Les moulins de Terrebonne, en activité de 1721 à 1940, se dressent toujours fièrement sur le magnifique site de l'Île-des-Moulins.
Lieu historique national de Sir-Wilfrid-Laurier
C'est à Saint-Lin-Laurentides, sur un terrain appartenant à son père, que Sir Wilfrid Laurier, premier ministre canadien-français du Canada en 1896, fait ses premiers pas. Vous pouvez découvrir les moments forts de sa vie et de sa carrière et explorer une demeure historique, fidèle à celles de l'époque. La visite de ce site fascinant vous encourage à en apprendre davantage sur la vie quotidienne et les coutumes d'une famille du début du XIXe siècle.
Les journaux numérisés
Des liens vers sept journaux numérisés ont été ajoutés à notre site Web pour la région de Lanaudière.
Berthierville: Le Berthelais 1956-1967
Berthierville: Le Courrier de Berthierville 1930-1948
Joliette: L'Action Populaire 1913-1970
Joliette: L'Horizon 1970-1974
Joliette: La Gazette de Joliette 1863-1899
Terrebonne: L'Echo de Terrebonne 1917-1920
Terrebonne: Le Courrier de Terrebonne 1959-1968
Dans notre prochain bulletin, nous nous concentrerons sur la région administrative 15 - Laurentides !
Si vous avez trouvé un lien de ressource intéressant qui ne se trouve pas sur notre site Web, veuillez nous en informer et nous l'ajouterons.
Le saviez-vous ?
Registres de l'état civil du Québec des origines à 1917
Saviez-vous que la Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), possède des registres d'état civil des naissances, des mariages et des décès jusqu'en 1917 ?
Dès la fondation de la Nouvelle-France, le gouvernement de la colonie s'est assuré de l'identité des sujets canadiens du roi en faisant enregistrer les naissances (baptêmes) ainsi que les mariages et les décès (sépultures). Suivant la pratique courante en France, les prêtrescatholiques tenaient deux copies de chacun desregistres d'état civil : lacopie religieuse, conservée à la paroisse, et la copie de l'État, déposée chaque année au tribunal desservant le territoire.
Après la Conquête et surtout au XIXe siècle, le droit de tenir des registres d'état civil a été graduellement étendu aux représentants d'une vingtaine de confessions protestantes ainsi qu'aux Juifs. Le Code civil du Bas-Canada de 1866 consignait l'extension de ce droit à tout «fonctionnaire autorisé par la loi».
Les principales confessions représentées dans les registres d'état civil à la fin du XIXe siècle sont les suivantes : catholique, anglicane, presbytérienne, méthodiste, baptiste, évangélique, juive et luthérienne. L'immigration ne fera qu'accroître ce pluralisme religieux tout au long du XXe siècle.
Ces archives sont des sources inestimables pour la recherche généalogique et historique. Le Directeur de l'état civil du Québec les verse à BAnQ après 100 ans, permettant ainsi à l'institution de les numériser et de les diffuser dans la Collection numérique, au rythme de leur arrivée.
Vous pouvez rechercher un enregistrement par paroisse, par district ou par région du Québec, bien que toutes les paroisses, districts ou régions ne soient pas répertoriés.
Vous trouverez ci-dessous un exemple de liste des registres paroissiaux disponibles pour le district de Terrebonne.
Saviez-vous que si vous regardez sous les R d'une paroisse, d'un district ou d'une région, vous pouvez trouver des registres intéressants tels que les registres pour l'enregistrement obligatoire des enfants non baptisés ?
Si vous ne trouvez pas d'acte de naissance/mariage/décès de vos ancêtres dans les bases de données BMS2000 ou PRDH-IGD, essayez les registres d'état civil du Québec sur le site de la BAnQ. Pour accéder au lien, sur notre site web, sous le menu principal Ressources, cliquez sur Liens des ressources. Ensuite, faites défiler vers le bas de la page et cliquez sur liens de ressources Générales. Vous trouverez le lien de la BAnQ sous la rubrique Baptêmes, Mariages, Décès.
Dans les nouvelles
Projet de loi bioéthique : le Sénat (en France) s’oppose aux tests ADN généalogiques
Par Le Parisien avec AFP
Le 28 janvier 2020 à 21h08
150 000 Français ont déjà fait appel à des tests ADN en 2019. LP/Jean Nicholas Guillo
Les sénateurs ont voté contre le recours aux tests ADN, à visée généalogique. Interdits en France, ils restent toutefois facilement disponibles sur Internet.
Les tests génétiques resteront interdits en France. Le Sénat à majorité de droite s'est finalement opposé mardi à l'autorisation des tests génétiques généalogiques, introduite en commission au projet de loi bioéthique. Les sénateurs ont voté par 232 voix pour et 94 contre deux amendements de suppression de cette disposition défendus notamment par le gouvernement.
Le recours aux tests génétiques en accès libre est aujourd'hui interdit en France. Ils sont cependant facilement disponibles sur Internet. La commission spéciale chargée d'examiner le projet de loi bioéthique avait proposé d'autoriser, par dérogation, les tests génétiques exclusivement à visée généalogique, et sous conditions.
« Une multitude de risques »
La ministre de la Santé Agnès Buzyn s'est déclarée « profondément défavorable » à cette autorisation, affirmant que ces tests « exposent à une multitude de risques, en particulier l'imprécision des résultats ».
« Ils sont parfois utilisés à des fins commerciales. Dans ce cadre, nous ne sommes pas certains qu'ils respectent la confidentialité des données, ni la vie privée des personnes testées et de leur entourage », a-t-elle souligné. En outre, ils « peuvent être détournés pour des recherches de paternité ».
Le co-rapporteur Olivier Henno, membre de l'Union centriste, a toutefois fait valoir que leur interdiction « est de l'ordre du virtuel ». « Un million de Français ont fait appel à ces tests, dont 150 000 cette année », a-t-il indiqué.
La totalité du groupe LR a voté pour la suppression de l'autorisation, à l'exception de Catherine Procaccia. L'ensemble du groupe PS a voté contre la suppression de l'autorisation, sauf Laurence Rossignol et Jean-Michel Houllegatte qui ont voté pour.
Le massacre de Lachine, un événement oublié à force d’être réévalué
Publié le 31 janvier 2020
Aujourd'hui l'histoire
Avec Jacques Beauchamp
ici.radio-canada.ca
Il fut un temps où tous les petits Québécois apprenaient que, dans la nuit du 4 au 5 août 1689, 1500 Iroquois avaient tué plus de 200 villageois français lors d'un raid surprise. Avec le temps, le regard sur ce drame a changé, et des anthropologues ont plutôt parlé de 24 victimes et de 45 prisonniers. Aujourd'hui, des historiens sont tentés de reconduire les récits de témoins directs, comme Gédéon de Catalogne ou le gouverneur Frontenac. L'un d'entre eux, Éric Bédard, parle à Jacques Beauchamp des dangers de vouloir, d'une part, chercher des héros dans l'histoire de la Nouvelle-France et, d'autre part, chercher une version politiquement correcte des faits.
Tout au long du 17e siècle, les tensions sont vives entre les Français vivant dans la vallée du Saint-Laurent et les Iroquois. L’alliance de la coalition laurentienne, qui prévoit la collaboration des Algonquins, des Micmacs, des Innus, des Anichinabés et des Malécites avec les Français, fait effectivement des ennemis des Iroquois, lesquels ont des prétentions hégémoniques sur le territoire.
Les attaques iroquoises contre les postes de Ville-Marie et de Trois-Rivières sont fréquentes. Certaines années, elles sont même incessantes. Les colons n’osent plus aller au champ sans fusil. Ville-Marie se dote d’une brigade canine pour déjouer les embuscades. À la fin des années 1650, on envisage même de fermer la colonie.
À partir du début des années 1680, le gouverneur Frontenac est convaincu qu’il faut entreprendre une expédition offensive, qu’il faut aller attaquer les Iroquois au milieu du continent. D’abord pour assurer notre présence avec nos alliés […], et puis un peu pour mater ces Iroquois, qui veulent absolument tout contrôler. Iroquois qui ont évidemment le soutien des Anglais.
En juin 1667, le marquis de Denonville, successeur de Frontenac au poste de gouverneur, met en place un stratagème : il convie les chefs iroquois à des négociations de paix au fort Frontenac (à l’emplacement actuel de Kingston, en Ontario). Une fois arrivés sur place, les dignitaires sont arrêtés, enchaînés puis envoyés à Marseille, sur les galères. Une version mentionne 45 chefs faits prisonniers, dont un seul serait revenu vivant. Une autre fait état de 36 arrestations, dont 13 retours.
Quoi qu’il en soit, pour les Iroquois, dont l’habitude est de prendre des prisonniers et de les intégrer à leurs communautés, une telle manœuvre est proprement scandaleuse. Elle est probablement la cause directe des événements du 5 août 1689.
L’attaque de tous les mythes
Cette nuit-là, à Lachine, il pleut à boire debout. Les 320 résidents n’ont aucune chance d’entendre l’armée iroquoise de 1200 à 1500 hommes, déjà rompus à l’art de l’assaut silencieux. Ils n’ont aucune protection militaire non plus.
C’est là que les versions se contredisent. Selon Éric Bédard, dans la construction du récit de la nation canadienne-française, on a insisté sur l’héroïsme des colons et de leurs descendants, de même que sur le caractère barbare et sanguinaire des Iroquois. Puis, dans la recherche d’un contrepied qui tienne compte de l’engrenage ayant produit la tragédie, on a aussi, peut-être, minimisé la portée de cette attaque.
Une chose est sûre : en 1689, Lachine a passé un si mauvais moment que la colonie entière en a été secouée.
Événements à venir
Si vous êtes au courant d'un événement à venir qui pourrait aider à la recherche québécoise, contactez-nous et nous l'ajouterons ici.
Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir tous les événements à venir pour les membres de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FQSG) :
Date et l'heure : Mercredi, 19 février 2020 - 20:00 HNE
Date et l'heure : Lundi, 2 mars, 2020 - 19:00 HNE
Si vous souhaitez partager vos intérêts généalogiques ou votre expertise dans un webinaire, veuillez nous le faire savoir. Nous sommes à la recherche de conférenciers pour notre série de webinaires 2020.
L'ancêtre de la famille Lacombe, originaire de Bordeaux, en France, s'appelait Étienne de la Comble. Antoine Lacombe, un cultivateur de blé et d'avoine né à Saint-Paul de Joliette en 1803, s'est installé à Saint-Charles-Borromée en 1834. En 1847, il fait construire cette maison de pierre par M. Amable Archambault, le maître maçon de Saint-Charles-Borromée. Une vingtaine de propriétaires se sont succédé et, en 1987, la municipalité de Saint-Charles-Borromée a loué la maison pour finalement en devenir propriétaire en 1989.
Construite en 1786 par James Cuthbert, cette chapelle est la plus ancienne église anglicane du Québec. Classée monument historique, elle offre en été des visites guidées et des expositions.
La Maison Bélisle est la plus ancienne maison conservée du Vieux-Terrebonne. Construite en 1759, elle est le meilleur témoin de la grande histoire de Terrebonne. Elle est nommée en l'honneur de la dernière famille à l'avoir habitée, celle du forgeron Donat Bélisle.
Pendant deux siècles, l'Île-des-Moulins a été au centre du développement de l'une des plus grandes seigneuries de l'histoire du Québec. Aujourd'hui, cinq bâtiments historiques restaurés témoignent de la vitalité économique de la seigneurie de Terrebonne et des réalisations de ses seigneurs et propriétaires. Les moulins de Terrebonne, en activité de 1721 à 1940, se dressent toujours fièrement sur le magnifique site de l'Île-des-Moulins.
C'est à Saint-Lin-Laurentides, sur un terrain appartenant à son père, que Sir Wilfrid Laurier, premier ministre canadien-français du Canada en 1896, fait ses premiers pas. Vous pouvez découvrir les moments forts de sa vie et de sa carrière et explorer une demeure historique, fidèle à celles de l'époque. La visite de ce site fascinant vous encourage à en apprendre davantage sur la vie quotidienne et les coutumes d'une famille du début du XIXe siècle.
