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Bonjour à toutes et à tous,

Un petit oiseau toque à la fenêtre de la salle du yoga ces derniers jours, nous rappelant que le temps passe vite et que nous avons BEAUCOUP de choses à vous dire. :-) Ça doit être lié à l'énergie du printemps qui commence à circuler...

Afin de vous faciliter l'accès aux parties de cette newsletter qui vous intéressent le plus, voici carrément la table de matières pour que vous trouviez directement les informations.

Sortez vos agendas, bonne lecture et à très bientôt chez NATA !

Mars sera le mois du Japon chez NATA !

Qui n'a pas rêvé du Japon ? Pays sensible, où la conscience du moindre geste, l'appréciation de la nuance, et l'amour de la subtilité règnent.

Tiens, ça ne vous rappelle pas le yoga, ça ? :-)

En effet, même si on associe le yoga principalement avec l'Inde, son cheminement dans le monde n'a pas laissé le Japon indifférent. A partir des années 1920, le Shinshin-toitsu-do (trad: moyen d'unir corps et esprit), appelé le "yoga japonais", a été fondé par Nakamura Tempu, qui a vécu au Népal dans l'ashram d'un Indien Kaliapa de 1911-1913. Il a élaboré une approche à la méditation dite "dynamique" en ce que la prise, la tenue et la sortie des postures sont faites avec une attention méditative dans le but d'harmoniser le corps et l'esprit.

Harmoniser corps et esprit, c'est aussi la fondation de la cuisine macrobiotique que Senêt et moi avons étudié depuis longtemps. Comprendre l'énergie subtile dans les aliments, savoir la mettre en œuvre pour se rééquilibrer, voici les principes fondamentaux de cette cuisine basée sur l'étude du yin et du yang et qui seront à l'honneur pendant les trois ateliers de cuisine sur des thèmes japonais !
 
Découvrez la cuisine japonaise en 3 ateliers

Y'en a marre de la ville !


• Dépaysez-vous le temps d'un long weekend...
• Pratiquez le yoga et la méditation au quotidien...
• Découvrez des pratiques moins courantes (kriyas, mantras, nidra)...
• Reposez-vous ou explorez des sites d'exception pendant les pauses...
• Appréciez l'accueil d'une ferme datant du 17e siècle...
• Respirez le grand air de la campagne...  
Venez booster votre pratique, partager de bons moments et retrouver votre peps au milieu du printemps. Pamela Weber et Aloÿs Berdoll vous accueillent pour 4 jours de pratique et de détente au milieu de la campagne à 1h20 de Paris. Facile d'accès en voiture ou train.

Inscrivez-vous dès maintenant et
profitez des tarifs "early bird" !

 
Tarif réduit jusqu'au 1er mars
NATA vous présente...
Victorien Colin, professeur de yoga
NATA : Victorien, tu nous as rejoint cet été après ton retour de Berlin et nous sommes heureux de te présenter plus en détails aux amis de NATA. J’aime bien commencer ces conversations avec la même question : quelle a été ta toute première expérience avec le yoga ?

Victorien Colin : Depuis l’adolescence, j’ai été attiré plutôt par la méditation. J’avais une amie qui était bouddhiste et qui faisait la méditation zen japonaise. Elle m’a recommandé quelques livres et quand je suis arrivé à Paris en 2006, je me suis renseigné pour apprendre la méditation, mais j’ai été extrêmement déçu. Je trouvais ça trop rigide, complètement désincarnée... J’habitais à ce moment-là en banlieue parisienne, à Saint-Maurice. Juste en bas de chez moi, il y avait une femme qui donnait des cours de yoga chez elle. J'y suis allé pour une première fois, j’avais 25 ans et le yoga était beaucoup moins populaire que maintenant.

NATA : Tu avais une idée de ce que vous alliez faire ?

VC : Non, pas du tout. Mais cela m’a tout de suite plu. Je n’avais jamais fait de sport, donc c’était la première fois que je trouvais mon corps, la respiration. Quand j’ai déménagé dans Paris, je me suis rendu compte qu’il y avait mille sortes de yoga, mais moi, je connaissais « le yoga de Véronique ». Je ne pourrais même pas dire aujourd’hui de quel type de yoga il s’agissait ! Je ne me posais pas trop de questions : je voulais juste faire du yoga près de chez moi avec des gens que j’aimais bien.

NATA : Quel a été le déclic pour intensifier ta pratique, te transformer en prof à ton tour alors ?

VC : J’ai finalement quitté Paris pour Berlin. Je travaillais dans la mode et quoiqu’il y avait un côté créatif, je me suis rendu compte que, comparé à travailler dans un atelier 12 heures par jour avec le stress des deadlines et des défilés, sans parler des mouvements répétitifs, le yoga me paraissait tellement plus sain, plus libre, plus jouissif. Je suis parti à Berlin pour faire une année sabbatique et je me suis inscrit dans un studio du Yellow Yoga ou j’allais tous les jours car j’avais du temps. Rapidement ils m’ont engagé à l’accueil et petit à petit j’ai fait des remplacements spontanés et je me formais sur le tas.

NATA : Tu étais un peu comme un apprenti finalement.

VC : Oui, je passais le balai, je faisais l’accueil, je faisais les classes à 7h du matin (rires)…

NATA : Est-ce que tu es allé en Inde?

VC : Oui, deux fois. La première fois c’était en 2011, pour rendre visite à une autre amie bouddhiste qui habitait là-bas pendant six ans. Elle était en pèlerinage à Bodh Gaya [note : lieu où le Buddha est rentré en nirvana] et j’y ai passé un mois avec elle.

NATA : Qu’est-ce qui t’a frappé en Inde ?

VC : C’était très dur. Les rapports humains sont compliqués parce que l’on est toujours sur un mode défensif. Et puis, j’ai été déconcerté de voir le Bouddhisme pratiqué comme une religion, avec tout ce que cela implique de dogmes, de règles, alors que pour moi, le Bouddhisme était plus un chemin vers plus de clarté, vers l’éveil. Par exemple, une chose m’a vraiment choqué : pour le karma, c’est apparemment bon de libérer des animaux. Du coup, sur les bords des routes, il y avait pleins d’animaux tenus en cage par des Indiens non-bouddhistes, et les gens paient pour libérer ces animaux en rituel. Ces gens kidnappent des singes et des perroquets pour les mettre en cage…je trouvais ça très dur. Plus tard, j’ai fait un deuxième voyage en 2013 pour une formation de professeurs en Hatha yoga à Mysore, plus dans le sud de l’Inde. C’était une meilleure expérience.
NATA : Tu vivais où pendant ta formation en Inde ?

VC : Dans une des écoles d’Osho. On se levait à 6h du matin pour la méditation, suivi d’une pratique de Hatha yoga et du pranayama. L’après-midi on avait l’anatomie et la pédagogie. 

NATA : Tu étais au courant à l’époque de l’histoire d’Osho, des polémiques autour de son ashram ?

VC : Non, et heureusement. Mon professeur, l’australien Noah McKenna, ne faisait pas partie de l’organisation Osho ; il avait juste loué les lieux pour nous.

NATA : Ouf ! Tu avais du temps libre pour visiter Mysore ?

VC : Seulement le dimanche. On était à 500m de l’ashram de Pattabhi Jois, du coup il y avait beaucoup de yogis et surtout des ashtangis. [Note : Jois est connu pour avoir créé une école appelé Ashtanga Yoga.] J’ai suivi des cours d’ashtanga que je ne connaissais pas.

NATA : Est-ce que les gens parlaient déjà à cette époque des soucis avec Patthabi Jois ? Aujourd’hui il est pointé du doigt par le mouvement #MeToo pour ses agressions sexuelles et violences physiques sur les élèves.

VC : Je ne me souviens pas d’avoir entendu des choses. On savait que la pratique était très dure, très militaire. Mais parce que j’étais là-bas, c’était l’occasion de l’essayer. Mais je ne me sentais pas en phase avec cette pratique trop yang…

NATA : C’est ce qui t’a amené au Yin Yoga ?

VC : Pas directement. Après deux ou trois ans d’enseignement du yoga, après mes formations, je commençais à avoir des doutes si je voulais vraiment enseigner un yoga purement physique. Le yoga devenait vraiment de plus en plus populaire ; tout le monde faisait du vinyasa. Pour moi le yoga est tellement plus qu’une pratique fitness. Pendant cette période, un ami m’a entraîné dans un cours de yin yoga chez quelqu’un et c’était un nouveau déclic, un nouveau chemin qui s’ouvrait avec quelque chose qui me manquais. Un an plus tard j’ai fait une formation en Grèce avec Sarah Powers, une des créatrices du Yin Yoga. On y a fait très peu de yoga ; ce n’était que de la méditation. C’était surprenant car je m’attendais à plus de pratique, plus d’anatomie, mais cela a été un changement de vie car elle amène vraiment cet aspect méditatif et introspectif dans la pratique.

NATA : Si tu devais dire à quelqu’un qui n’a jamais pris un cours avec toi ce qu’il va trouver dans ton cours, que lui dirais-tu ?

VC : Mes cours de yoga doux visent à retrouver le bonheur d’être par son corps, je pense que nous avons perdu notre rapport au corps. Retrouver ce rapport, c’est retrouver la vie, avec sa fragilité et ses faiblesses. Cela n’empêche pas une vie apaisée. Une pratique douce peut être parfois difficile parce que l’on doit vraiment faire face à son existence. Il n’y a pas de distractions. On peut se sentir perdu parfois. C’est une pratique douce, j’insiste là-dessus, mais cela peut être intense. Le yoga et la méditation ont changé m’a vie et forcément cela se ressent dans mon enseignement.

Retrouvez Victorien chez NATA :

le mardi
yoga doux
19h - 20h15
KARINE HAMELIN REVIENT CHEZ NATA
POUR UN ATELIER DE COSMETIQUES NATURELLES
Vendredi 13 mars 2020
19h - 21h


Vous voulez prendre soin de vous avec des produits faits maison, 100% naturels ?
Nous vous proposons un atelier pour vous initier à la cosmétique maison et apprendre à faire vous-mêmes des produits naturels et bio :
 
• un shampooing
• une lotion tonique pour le visage
• une surprise !

 
Je m'inscris !
Traditionnellement, les postures du Hatha Yoga préparaient le corps, en particulier le système nerveux, à l’immobilité, en créant la force et l’énergie nécessaires au calme mental. Lors de cet atelier, après une pratique posturale et respiratoire (1h30), nous nous installerons dans une méditation, guidée selon la tradition Vipassana (1h). 
YOGA BY NIGHT
une pratique nocturne
avec Pamela Weber
samedi 21 mars
20h - 22h30

Pamela vous invite à renouer avec l'énergie de la nuit et marquer le changement de saisons avec cette pratique intégrale tout en bougies. Explorer l'énergie nocturne dans cette pratique complète de méditation, des mantras, du pranayama (respiration), asana (postures) et nidra (relaxation, sommeil du yoga).
YOGA BODY PASSE A 90 MINUTES !
 
Apparemment vous aimez travailler la condition de votre corps... 
 
:-) 

Suite à de nombreuses demandes, à partir du jeudi 5 mars, le cours Yoga Body de Derwinn passera de 60 à 90 minutes.
 
chaque jeudi
YOGA BODY
avec Derwinn
20h - 21h30
La Toscane vous appelle...
Stage de yoga • 16 au 23 mai inclus • Castagnetto Carducci

Quitter son quotidien, se détendre au climat doux de la Méditerranée, pratiquer le yoga et la méditation tous les jours...
 
Débutant(e) ou confirmé(e), ce stage vous offre l'occasion de plonger dans un enseignement global avec Pamela Weber, fondatrice de NATA.
 
Je me renseigne

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