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AS-TU OUVERT LA PAROLE AUJOURD’HUI?
 
« Oui, je vous le dis, c’est la vérité, le Père vous donnera tout ce que vous lui demanderez en mon nom. Jusqu’à maintenant, vous n’avez rien demandé en mon nom. »  Jn 16, 23-24
 
Qu’ai-je demandé au Père en son nom?

Que ta volonté soit faite!
 
En ce temps particulier où nous sommes tous isolés, nous vivons ce que Jésus a vécu le soir de son agonie. À Gethsémani, Jésus se retira à l’écart. Il était seul, triste et angoissé. Qu’a-t-il fait? Il a accueilli la volonté de son Père. Pas facile, même pour Jésus. Il est demeuré en présence de son Père jusqu’à ce que celui-ci l’envahisse de son Esprit de force.
 
En ce temps de réclusion, je vous propose de méditer cette parole que Jésus nous a enseignée et qu’il a dite à son père le Vendredi saint : « Père non pas ma volonté, mais la tienne. » Ce que le monde entier vit en ce moment, personne ne l’a désiré. Mais puisque Dieu, dans sa Sagesse, nous appelle à le vivre, faisons de ce temps un temps profitable pour se rapprocher de Lui.
 
Vivons ces évènements comme un temps de grâce qui nous est offert et portons du fruit là où nous sommes, car tout concoure au bien de ceux qui aiment Dieu (Rm 8,28). 

Christine Simard
Présidente du SCCRC
 
Le Service canadien de communion du renouveau charismatique (SCCRC) a son nouveau logo! En voici la description.
 
La croix
La croix par laquelle nous sommes sauvés domine la terre et de son côté coule un fleuve d’eau vive.
 
Le cercle bleu
L’Eau vive coule sur toute la terre et nous envoi en mission pour servir.
 
La flamme
Le feu de l’Esprit, c’est chacun de nous qui sommes tournés vers la croix de notre Sauveur, du plus petit au plus grand, on se soutient, en toutes circonstances, pour relever la tête vers le Christ en sacrifice de louanges. Le feu qui purifie, crée l’unité des enfants de Dieu dans la diversité.
 
La couleur bleue de la croix
Représente Marie qui est corédemptrice
 
Le rouge du SCCRC et la feuille d’érable
Le sang du Christ qui nous appelle à servir là où nous sommes.

« Je désire exprimer une fois de plus ma proximité aux malades du coronavirus et aux opérateurs de santé qui les soignent ainsi qu’aux autorités civiles et à tous ceux qui sont engagés pour aider les patients et arrêter la contagion. »



« Le carême est une période propice pour faire de la place à la Parole de Dieu. C’est le moment d’éteindre la télévision et d’ouvrir la Bible. C’est le moment de se détacher du portable et se connecter à l’Évangile. »




« Si nous voulons être disciples du Christ, et nous dire chrétiens, voici le chemin : Aimés de Dieu, nous sommes appelés à aimer; à pardonner; à donner l’amour sans attendre que les autres commencent; à ne rechercher aucun bénéfice dans le bien que nous faisons. »
DIEU VS LE CORONAVIRUS

Je suis toujours un peu surpris, chaque fois qu’on entend parler de misère dans le monde, de tremblement de terre, de catastrophe quelconque ou de maladie contagieuse épidémique, comme c’est le cas aujourd’hui avec le coronavirus (COVID-19), de voir les gens s’interroger sur le pourquoi ça arrive. Est-ce que c’est un signe de Dieu?
 
Dernièrement, encore, avec la crise causée par la COVID-19, une personne proche de moi m’a demandé si cette épidémie avait été voulue par Dieu pour nous lancer un message. Une deuxième personne me demandait si cette maladie était voulue par Dieu pour diminuer la population mondiale. Alors, je me suis dit que ça vaudrait la peine d’écrire sur le sujet.
 
Tout d’abord, rappelons-nous le récit de la Genèse où Dieu créa l’univers dans lequel nous vivons, la terre. Il est bien dit dans ce récit que Dieu créa un univers où il faisait bon vivre et où régnait l’harmonie entre Dieu et les deux Êtres humains nouvellement créés, jusqu’au jour où le mal (le malin de par sa jalousie envers les humains de leur proximité avec Dieu) est venu y semer son ivraie, qui est la source de tout le mal dans le monde, qui a commencé par l’ouverture d’une brèche dans la relation entre Dieu et les humains, qu’on appelle le péché originel.
 
Vous allez me dire : « Oui, mais quel rapport avec la maladie? » C’est qu’une fois installé dans le monde, le mal se répand tel du chiendent, de la mauvaise herbe, et il fait du ravage. Du coup, nous pouvons affirmer que la maladie découle du mal introduit dans notre monde (maladie synonyme de mal).
 
Aussi, si nous affirmons haut et fort, comme Jésus l’a lui-même affirmé au cours de sa vie terrestre, que Dieu n’est qu’Amour et rien d’autre, comment pourrait-il vouloir ou provoquer le mal dans le monde? Si Dieu est véritablement amoureux du genre humain, alors comment pourrait-il répandre le mal sur terre? Jésus nous dirait : « Si donc vous, qui êtes mauvais, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, combien plus votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent! » (Mt 7, 11)
 
J’entends les gens me dire : « Oui, mais Dieu peut bien laisser le mal se répandre sur terre pour permettre aux gens de se détourner de leurs conduites mauvaises pour se tourner davantage vers lui. Il l’a fait bien dans l’Ancien Testament, non? » Si c’est cela, alors, je vous dis que Dieu n’est pas mieux que les humains en étant lui-même méchant…
 
Par conséquent, si Dieu est véritablement Amour, il ne peut pas être à la fois Amour et méchanceté, ce qui lui conférerait les mêmes attributs que ceux du malin. D’autant plus qu’affirmer cela revient à pécher contre l’Esprit, et Jésus a dit du péché contre l’Esprit qu’il est le seul péché qui soit impardonnable. Personne ne veut cela, n’est-ce pas?
 
Or, dans la Genèse, parce que Adam et Ève ont désobéi à la volonté de Dieu, ils devront désormais subir les conséquences de leurs actes. Un peu comme un enfant désobéissant qui n’en fait qu’à sa tête malgré les fortes recommandations contraires de ses parents. Une mère à son jeune fils : « Patrice mon chéri, ne touche pas au rond de la cuisinière. Tu pourrais te brûler. » L’enfant n’en fait qu’à sa tête, le fait quand même, malgré toute la bonne volonté de sa mère de le protéger du danger, du mal qu’il pourrait subir. Et le voilà qui pleure! Il n’a pas écouté maman et il s’est brûlé le bout des doigts. Par conséquent, il devra endurer la douleur pour un certain temps, du moins jusqu’à ce que la brûlure guérisse.
 
Or, ce qui arrive dans la relation entre Dieu et le peuple d’Israël de l’Ancien Testament est similaire. Dieu fait alliance avec eux, leur donne des consignes pour être et demeurer heureux sous sa protection et le peuple désobéi, n’en fait qu’à sa tête. Et, il arrive ce qui devait arriver. Le peuple est déporté, exilé. Il subit les conséquences de ses actes. Puis, le peuple pleure, se plaint à Dieu. Et, Dieu, dans son infinie bonté et son infini amour pour son peuple, se laisse toucher et les ramène par la force de son bras en Israël. Plus tard, la même chose se produira avec les chrétiens désobéissants que nous sommes.
 
Or, on peut conclure que ce n’est pas Dieu qui sème le mal dans le monde, mais plutôt le mal qui amène à la désobéissance à Dieu, qui conduit à l’égocentrisme, à l’orgueil, à la recherche d’un pouvoir sur l’autre, à la jalousie et même jusqu’à la maladie contagieuse épidémique.
 
Notre condition humaine, depuis l’entrée du mal dans le monde, se résume à travailler à la sueur de notre front, à vivre la douleur, et la douleur de la maladie et de la mort. Notre vie a une finitude. Mais, fort heureusement, grâce à notre Seigneur Jésus Christ, notre vie ne se termine pas avec la mort de notre corps physique!
 
En résumé, Dieu, dans son désir de créer l’être humain, l’a voulu dans un environnement parfait dans lequel il serait présent pour le protéger et le garder de tout danger possible et inimaginable. Mais, la désobéissance humaine a ouvert une brèche dans le paradis terrestre, laissant ainsi s’infiltrer le mal, qui s’est répandu dans notre monde sous toutes ses formes, allant jusqu’à la maladie qui nous assaille aujourd’hui sous la forme du coronavirus.
 
Cependant, il existe une arme contre ce qu’on appelle le mal, la souffrance et la maladie. Cette arme, c’est la prière et la foi… Une amie française me demandait dernièrement : « Est-ce que le coronavirus est un signe de Dieu pour nous appeler à nous convertir? » Notre conversion a toujours été et sera toujours le désir de Dieu, qu’il y ait ou non une maladie contagieuse épidémique ou d’autres maux qui puissent nous assaillir. Dieu nous désire toujours tournés vers Lui.


Guy Bossé, prêtre
Aumônier - SCCRC
L'EFFUSION DE L'ESPRIT SAINT
(3e partie)
Une nouvelle Pentecôte

Les Actes des Apôtres nous décrivent, au chapitre 2, la grande Pentecôte fondatrice de l’Église. Mais ils évoquent ensuite une série de « petites Pentecôtes », c’est-à-dire de nouvelles effusions de l’Esprit sur telle ou telle communauté d’Église, en une circonstance décisive de sa vie et de son témoignage. Cette grande « Pentecôte » annoncée par Jésus est l’acte fondateur de l’Église. Même si cette effusion de l’Esprit revêt une importance exceptionnelle, elle n’est que la première d’une longue série d’expériences spirituelles personnelles ou collectives. (cf. Jn 20, 22; Ac 10, 44; 19, 6). Et c’est sous le Souffle de l’Esprit que naissent et se fortifient les communautés.
 
Le signe évident de la Pentecôte dans les Actes des Apôtres, c’est la louange dans l’unanimité : « Tous louaient… »  Si nous lisons l’Histoire de l’Église, on y découvre le doigt de l’Esprit à l’œuvre, chaque fois qu’un tournant a été pris ou doit être pris dans la vie de l’Église. C’est normal puisque l’Esprit continue d’accompagner, de construire l’Église du Christ. À notre époque, pensons au grand Concile Vatican II, au Renouveau charismatique, à toute la mouvance pentecôtiste… Dans une Conférence internationale, alors qu’il s’adressait à des leaders du Renouveau charismatique, Jean-Paul II les invitait à « développer une culture de Pentecôte ». À l’époque où nous vivons, il est urgent de demander une nouvelle Pentecôte pour l’Église universelle, pour nos Églises diocésaines et pour nos communautés chrétiennes.
 
Les effets de la Pentecôte
Les personnes qui vivent une effusion de l’Esprit sont comblées. L’Esprit nous donne alors :
  • d’accueillir Jésus, le seul don, comme Seigneur et Sauveur de nos vies;
  • de découvrir un Père qui nous aime personnellement;
  • d’avoir une vie de prière plus intense, plus fervente pouvant prononcer le Nom de Jésus avec l’amour du Père; tout ce qui parle de Jésus prend une saveur saisissante;
  • la faim et le goût de puiser aux Écritures; la Parole de Dieu devient une nourriture quotidienne nécessaire et on en reçoit une compréhension savoureuse;
  • le goût et la passion de la communauté, le Corps du Christ; on éprouve alors un grand amour pour l’Église et un grand désir de la rendre plus belle en s’engageant dans sa communauté;
  • une nouvelle effusion d’amour de telle sorte qu’on voit les autres avec des yeux différents et on arrive à les aimer avec le Cœur de Jésus;
  • une force nouvelle pour témoigner de notre foi et pour proclamer la Bonne Nouvelle de Jésus, si ce n’est par la parole du moins dans nos gestes et attitudes au quotidien.
Pour arriver à recevoir et à vivre de ces fruits de l’Esprit, il faut une conversion. Comment changer de vie et abandonner ces idoles qui prennent souvent la première place : le plaisir, les biens matériels, le pouvoir, les attachements désordonnés, le bien paraître, le besoin exagéré d’être reconnu, adoré, etc. Aujourd’hui, le Seigneur éclaire notre cœur sur la conversion que nous devons opérer en nous pour nous rendre disponibles à l’Esprit Saint. Ce qui est consolant, c’est que seule la puissance de l’Esprit peut opérer cette transformation en nous. Il suffit de lui donner le OK, la permission d’agir et de s’emparer de nous. Sommes-nous prêts à faire le saut, à tout lui abandonner?

 
À suivre dans le prochain bulletin…


 
Soeur Monique Anctil
BÉNÉDICTIONS

Je me présente, Robert Gosselin nouvellement ordonné diacre pour le diocèse de Montréal. À la fin de cette soirée d’ordination, nous sommes invités à bénir les gens en leur imposant les mains. Avec recueillement, chaque personne reçoit cette grâce de Dieu, comme un cadeau d’ordination.
 
La semaine suivante, je vais comme c’est mon habitude, avec l’organisme Café-Trottoir distribuer soupe, café, et sandwiches aux itinérants du centre-ville, plus précisément au métro Berri-UQAM. Je voulais faire profiter les itinérants de la grâce de la bénédiction d’ordination. Ce fut pour moi une révélation extraordinaire de voir la réaction de ces gens pauvres parmi les plus pauvres de notre société. Je suis surpris de les voir pleurer et souvent l’accolade suit cette bénédiction. Dans leur regard, je vois s’ouvrir leur cœur qui a soif d’amour.
 
Je crois que ce fut une découverte de ma mission diaconale, je ne pensais jamais vivre cela et de voir cette réaction devant cette grâce de Dieu. Devant ce geste d’un cœur à cœur, certains me racontent leur vie avec toute leur souffrance.
 
Quand j’ai commencé à bénir, je me fermais les yeux, puis à un moment donné, j’ai regardé ces personnes dans les yeux. Oh, ces regards profonds de la souffrance qu’ils vivent, mais qui laissent toute la place à Dieu! Si je peux leur faire goûter la grâce de Dieu qui leur permet peut-être d’ouvrir leur cœur dans un processus de guérison intérieure, alors cela en vaut la peine. C’est comme ça que mon ministère a commencé.

« Cette grâce du ministère diaconale est plus grande que moi »

Mes pauvres petites mains sont là pour être au service de ce Dieu d’amour qui passe à travers mon humanité pour se révéler au monde. Je vois Dieu se manifester dans les gens et c’est vraiment impressionnant et beau que mon cœur ait toujours le désir de demander aux gens s’ils veulent se faire bénir.
 
L’autre jour, j’étais à la pharmacie et j’ai aidé une personne âgée parce qu’elle avait de la difficulté à lire les indications sur un médicament. Nous avons commencé à discuter sur la vie. Dans mon cœur, ça me disait de lui donner une médaille miraculeuse. J’en ai toujours sur moi et c’est alors qu’il s’est mis à me parler de sa grande dévotion à Marie. Je lui ai demandé s’il voulait se faire bénir puisque je suis diacre. Il accepte avec joie et au beau milieu d’une allée en pharmacie, j’ai béni cet homme. Il m’a regardé avec ses grands yeux, il m’a dit qu’il allait se souvenir longtemps de ça. Je suis parti le cœur heureux d’avoir donné cette bénédiction d’un Dieu qui veut se manifester à travers nous.

Lors d’une rencontre avec ma belle-famille, j’ai proposé au beau-frère de ma belle-sœur s’il voulait se faire bénir, il savait que j’étais diacre. Il accepte avec joie. Je lui impose les mains sur la tête, je lui dis que Dieu l’aime, que je l’apprécie beaucoup et je le bénis. C’est à ce moment qu’il s’est mis à pleurer à chaudes larmes. Tous les gens présents se sont tournés et ils me regardaient un peu étonnés de sa réaction. Je leur ai dit, ce n’est pas mes mains, mais c’est Dieu qui fait ça, pas moi.
 
À une autre occasion, j’étais au centre d’accueil où ma mère réside. Ma mère et moi finissions de dîner et nous étions en train de discuter avec deux personnes âgées. La serveuse nous a demandé de quitter la salle à manger puisqu’ils fermaient les portes. Je demande aux dames si elles voulaient se faire bénir. Elles ont accepté avec joie, et la serveuse m’a demandé avec empressement si elle aussi pouvait se faire bénir. Je vais la voir, je lui impose les mains, je la bénis. Et là, elle a eu une sensation de bien-être dans tout son corps. Ses yeux sont devenus lumineux et elle sentait une joie l’envahir. Wow, Dieu fait vraiment des merveilles! Cette mission est plus grande que moi.
 
Si bénir veut dire dire du bien de quelqu’un, quand je bénis, c’est Dieu qui fait sentir aux personnes ce bien, cette grâce que Dieu veut tant nous donner en abondance.
 
Je demande au Seigneur de vous bénir, parce que Dieu nous aime tous d’une manière particulière et Il veut nous toucher, nous faire sentir sa présence. Si on sent intérieurement une joie, un sentiment d’amour, une tendresse toute particulière, c’est que cela vient de Dieu. On appelle cela une grâce de Dieu.
 
Dieu t’aime, merci de tant donner au Seigneur par votre vie de prière et je vous bénis : au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, amen.
 
 
Robert Gosselin
Diacre permanent
LE CARÊME EN CE TEMPS DE CONFINEMENT

Première fois de ma vie que je vis un Carême comme ça! Habituellement, on nous demandait de vivre le carême en union avec Jésus et les souffrances qu’Il acceptait de vivre pour nous. Quand tu es jeune : pas de bonbons, être plus tranquille, plus sage. Quand tu es plus vieux : coupe la cigarette, le vin, les gâteries. Un temps de sacrifice, quoi! pour être en union avec Lui.

Je suis à la retraite depuis cinq ans et depuis ce moment, j’ai la chance d’aller à la messe cinq fois par semaine. Je vis une belle paix qui m’habite en union avec la présence du Christ dans l’Eucharistie. J’ai le temps de méditer, de prier et d’intercéder pour les gens autour de moi qui en ont besoin.

Le soir du 18 mars dernier, à l’église où nous avons la messe et notre soirée de prière, le curé nous apprend que pour éviter la contagion, il n’y aura désormais plus de messe et il nous expose le Saint-Sacrement… toute une belle soirée d’adoration! Mais le plus triste, il nous annonce aussi qu’il n’y aura aucune célébration pascale, pas de fête de Pâques!

On se retrouve seuls pour vivre notre foi. On lit des livres sur la prière, la parole de Dieu, notre Prions en Église ou on se met en union avec les messes célébrées à travers le monde. Je regarde sur Internet la vie des saints, des gens comme nous qui ont été touchés par la grâce de l’Esprit-Saint : Saint-Séraphim de Sarov, Sainte-Marthe, St-François-de-Sales, etc.  On écoute de la musique religieuse, mais il y a ce vide de la Présence eucharistique.

Qu’attend Dieu de nous en ce temps où nous sommes seuls et laissés à nous-mêmes pour vivre notre vie spirituelle?

Le Seigneur me fait voir que les plus belles créations humaines ont été inspirées dans la solitude, dans des moments où les gens se retiraient pour être seuls et laissaient monter en eux ce qui était au fond de leur cœur : musique, peinture, écrits, inventions, vie intérieure, etc.  Laissons-nous inspirer par l’Esprit-Saint!
N’est-ce pas un temps pour vivre un rapprochement personnel avec le Christ? Être comme un disciple qui est invité à l’accompagner en retrait pour passer un temps de prière avec Lui?

Il y a un tas de choses qui nous sont offertes, mais prenons-nous vraiment un temps personnel pour parler avec Dieu et l’écouter…? 

Bonne rencontre avec Lui, bon temps de carême et Joyeuses Pâques!!!
 
Marc Nuckle


 
LE CENACOLO : UNE REPONSE AU MAL-ETRE DE NOMBREUX JEUNES

Le Cenacolo est né en Italie près de Turin en 1983. Il a été fondé par une religieuse (sœur Elvira) en réponse au mal-être de nombreux jeunes perdus dans le monde des dépendances et souvent marginalisés.

Dans un accueil gratuit et une éducation exigeante, le Cenacolo propose un style de vie communautaire simple et familial : l’amitié sincère comme fondement des rapports humains et de la fraternité, la redécouverte du travail vécu comme don et engagement pour mûrir dans les responsabilités de la vie, la prière et la foi en Jésus-Christ comme réponse au besoin infini qui habite le cœur humain. Il y a présentement 65 maisons dans le monde, dont 4 aux États-Unis et 4 en France. Le Cenacolo se définit avant tout comme une école de vie. Après la guérison, la majorité des jeunes (surtout les toxicomanes) ont besoin de se connaître pour mieux s’aimer, se refaire des nouveaux amis, de se bâtir une confiance, à réapprendre à vivre en société, à guérir leur intelligence trop souvent trahie, etc.  Source : https://www.comunitacenacolo.it/fr/

Beaucoup de jeunes passent d’abord par le Renouveau Charismatique

Beaucoup de jeunes en Europe sont d’abord initiés à la vie dans l’Esprit Saint au sein d’un groupe de prières ou encore lors d’une retraite de guérison avant de se rendre dans un Cenacolo. Ce qui les aide grandement pour se reconstruire une nouvelle vie. Aussi, la majorité de ces jeunes se trouvent d’abord en périphérie de l’Église, non croyants et très souvent dans un esprit anticlérical. Ils sont interpellés par les chrétiens qui croient vraiment que l’Église peut les guérir et les aider à prendre le chemin du Salut.     

Informations pour envoyer un jeune vers un Cenacolo et entendre des témoignages de jeunes après un séjour au Cenacolo : www.associationreginapacis.org
Pour suivre le projet d’une fondation d’un Cenacolo au Québec : www.facebook.com/groups/cenaclequebec/

Pour de plus amples informations, contacter Julien Foy : 418 424-0005
 
Monsieur Jean-Luc Moens, modérateur de CHARIS, propose de prier tous les jours jusqu’à la fin de l’épidémie, la séquence de la Pentecôte ci-dessous dans laquelle l’Église prie pour la guérison de ce qui est malade, suivie de trois « Je vous salue Marie ». Demandons avec foi que l’Esprit Saint descende sur notre monde blessé et qu’il manifeste la tendresse du Père pour les hommes qui souffrent.

Retrouvez l'invitation complète ainsi qu'un texte du père R. Cantalamessa ici.
Livre recommandé par la Commission doctrinale du
Service international du Renouveau charismatique.

En vente auprès de Raymonde Fortuné à ccrcmtl@gmail.com
Cliquez ici pour voir l'agenda de activités
dans les diocèses et les centres de prière


Vous pouvez faire parvenir vos activités à Raymonde Valcourt Fortuné : rvalcourt@videotron.ca
Merci à tous ceux qui ont pris de saintes initiatives pour mettre en ligne ou sur leur page Facebook des messes, de l'adoration, des temps de prière et des enseignements. En voici quelques uns :
 
Quelques sites supplémentaires pour se ressourcer et s’informer
  • Le monde vu de Rome : fr.zenit.org
  • Toutes les informations sur l’église catholique universelle : vaticannews.va
  • Prière pour la fin de la pandémie, revivez la bénédiction urbi et orbi en intégralité : youtu.be/JgEBdOO6Juk
  • Six conseils pour bien suivre la Sainte Messe en direct : opusdei.org

Des questions? Un témoignage?
Contactez-nous!

selonsaparole@gmail.com

Équipe du bulletin : Pierrette et Marc Nuckle, Raymonde Valcourt Fortuné
et Karine Girard.
 
Nous vous invitons à partager ce bulletin avec vos amis et votre groupe de prière.

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