Campagne régionale pour l'atteinte les ODD sans substances toxiques et sans déchets dangereux
Sensibilisation des parties prenantes et plaidoyer auprès des autorités pour une définition plus stricte des niveaux de contenu faible en POP dans les déchets dans les directives générales de la Convention de Bâle
Par l'organisation ANCE Togo
Dans le cadre de la mise en œuvre du projet portant sur la sensibilisation, de partage d’expérience avec des OSC nationales et régionales et le plaidoyer auprès des autorités nationales compétentes sur l’extrême nécessité d’adopter les faibles teneurs possibles des POP dans les déchets; l’organisation ANCE Togo avec le soutien financier et technique du réseau IPEN a mené diverses activités pour une définition plus stricte des niveaux de contenu faible en POP dans les déchets. Au rang des multiples activités organisées, on peut citer entre autres des rencontres d’échanges et de renforcement des capacités avec les points focaux du gouvernement cibles, des ateliers avec les OSC et les medias, des communiqués de presse publiés à l’attention du grand public.
Sensibilisation des parties prenantes et plaidoyer auprès des autorités pour une définition plus stricte des niveaux de contenu faible en POP dans les déchets dans les directives générales de la Convention de Bâle
Par l’organisation CASE - Côte d'Ivoire
Pour marquer publiquement sa désapprobation aux seuils provisoires des POP contenus dans les déchets inscrits dans les directives générales de la Convention de Bale ; le Centre Africain pour la Santé Environnementale (CASE) avec la collaboration du réseau IPEN a conduit une campagne de formation et de sensibilisation et de plaidoyer des parties prenantes cibles, en occurrence les points focaux nationaux produits chimiques, la presse et les OSC sur l’enjeu des faibles teneurs en POP dans les déchets.
Sensibilisation des parties prenantes et plaidoyer auprès des autorités pour une définition plus stricte des niveaux de contenu faible en POP dans les déchets dans les directives générales de la Convention de Bâle
Par l’organisation CREPD - Cameroun
Le projet visait à engager le nouveau point focal de la Convention de Bâle au Cameroun et assure la liaison avec le point focal de la Convention de Stockholm sur les discussions en cours sur les faibles niveaux de contenu en POP et sollicite leur soutien aux positions de l'IPEN sur cette question lors des COP BRS. Pour atteindre cet objectif, plusieurs documents de sensibilisation ont été élaborés ainsi que les entretiens les points focaux concernés.
PLAIDOYER AUPRÈS DES AUTORITÉS DU SENEGAL POUR LA RATIFICATION DE L’AMENDEMENT DE BÂLE
Par PAN Africa – Sénégal
Après une série de catastrophes commerciales toxiques dans les années 1970 et 1980, qui ont vu des pays riches et hautement industrialisés déverser leurs déchets dangereux sur des pays en développement plus pauvres, la communauté internationale s'est mobilisée pour rejeter le libre-échange des déchets dangereux.
L'amendement sur l'interdiction de Bâle interdit l'exportation de déchets dangereux à recycler ou à éliminer des pays de l'annexe VII (OCDE, UE ou Liechtenstein) vers des pays non visés à l'annexe VII (pays en développement). Au Sénégal, Pan Sénégal a interpellé le gouvernement sur l’urgence de ratifier l’amendement sur l’interdiction de Bâle.
PLAIDOYER AUPRÈS DES AUTORITÉS DE LA RÉPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO SUR LA RATIFICATION DE L’AMENDEMENT DE BÂLE
Par AFRICAN GREEN SOCIETY (AFRIGRES)- RDC
C’est pour parer à l’entrée de plus en plus croissante des déchets dangereux en République Démocratique du Congo (RDC), que l’organisation AFRICAN GREEN SOCIETY (AFRIFRES) avec le soutien de l’IPEN et de Basel Action Network a exécuté un ensemble d’activités pour inciter les gouvernements à ratifier l’amendement sur l’interdiction de Bâle.
En effet, ce projet avait comme objectif principal, de mener des plaidoyers auprès des autorités de la RDC dans le but ultime de ratifier l’annexe VII de la Convention de Bâle et de mettre à l’abri des Congolais des déchets dangereux.
Rapport National sur la situation des Pesticides Extrêmement Dangereux (PED) au Niger
Par l’organisation Action vie et Développement (AVD) Kowa Murna- Niger
Au Niger, l’agriculture et l’élevage constituent les deux principales activités de la population malgré le contraste climatique et la pauvreté de sols. Elle se pratique dans toutes les régions y compris dans le Nord désertique avec une prédominance des cultures irriguées. Elle fait régulièrement l’objet d’attaques des insectes et autres ravageurs de cultures, une situation qui oblige les producteurs à recourir à l’usage des produits chimiques pour le traitement.
Les traitements sont parfois organisés par l’Etat à travers les services techniques compétents (en cas d’invasion à grande échelle de criquets, de chenilles ou autres) ou par les producteurs eux-mêmes.
Les investigations sur la situation nationale des pesticides extrêmement dangereux au Niger réalisées par l’organisation AVD et l’IPEN ont permis de lever le voile sur la libre circulation des pesticides non homologués et toxiques (en provenance des pays voisins non membres du CILS) et échappant au contrôle du Comité Sahélien des Pesticides (CSP) du CILSS.
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