Ne soyez pas timide, si vous êtes dans une impasse dans vos recherches généalogiques, postez votre problème sur le forum des membres.
Webinaires
Nos prochains webinaires
Pour vous inscrire à un webinaire, accédez à notre menu Webinaires sur notre site Web et cliquez sur Prochains Webinaires.
N'oubliez pas que les webinaires passés sont enregistrés et se trouvent sur la page des Webinaires enregistrés de notre site Web que vous pouvez écouter à tout moment.
Ce webinaire est prévu pour le premier lundi de chaque mois. Rejoignez-nous pour vous aider à vous familiariser avec toutes les fonctionnalités de votre nouvelle société, y compris en utilisant les bases de données PRDH, BMS2000, et Fichier Origine et le Forum des membres.
Date et l'heure : Mardi, 16 avril 2019 - 19:00 HAE
Présenté par : Jason Porteous
Langue : en anglais
Dans cette session de coaching d’ADN, Jason vous aidera à démarrer avec Genome Mate Pro et répondez à toutes les questions que vous pourriez avoir sur la manière d’analyser vos résultats d’ADN avec ce logiciel.
Date et l'heure : Mercredi, 17 avril 2019 - 19:00 HAE
Présenté par : Sandra McHugh et Tracey Arial
Langue : en français
Nos membres Tracey Arial et Sandra McHugh, qui sont également membres du groupe « Genealogy Ensemble » vous mènera sur le même chemin qu’ils ont suivi avec l’auto-édition de leur livre « Beads in a Necklace »
Ils discuteront de l’écriture, de la planification, de la mise en page, de l’impression, du lancement du livre, de la publicité et de la distribution, y compris les bibliothèques, Kindle, Kobo, Indigo, Chapters, Blurb, Lulu et d'autres méthodes de distribution.
Liens de ressource
L’Estrie était appelée initialement en anglais « Eastern Townships », nom que les premiers colons anglophones (fin XVIIIe siècle) utilisaient pour désigner la région. Au XIXe siècle, l'on avait d'abord traduit l’appellation anglaise Eastern Townships en français par Townships de l'Est, qui fut ensuite était remplacé par Bois-Francs et par Cantons de l'Est.
Les Cantons-de-l'Est comprennent des comtés qui étaient à l'origine divisés en cantons selon la méthode traditionnelle d'attribution de terres aux premiers colons de la Nouvelle-Angleterre et de New York. La région administrative s'appelle officiellement l'Estrie et les villes principales sont Sherbrooke, Granby, Magog et Cowansville.
À l'origine, les Cantons de l'Est comprenaient le comté d'Arthabaska, le comté de Brome, le comté de Compton, le comté de Drummond, le comté de Frontenac, le comté de Mégantic, le comté de Missisquoi, le comté de Richmond, le comté de Stanstead, le comté de Sherbrooke et le comté de Wolfe. Au début des années 1980, le Québec a été réorganisé en 17 régions administratives. La majeure partie des Cantons-de-l'Est est devenue la région de l'Estrie, mais Arthabaska, Drummond et une partie des comtés de Wolfe et Mégantic ont été rattachés à la région du Centre-du-Québec, tandis que le reste du comté de Mégantic est devenu une partie de la région de Chaudière-Appalaches. Les comtés de Shefford et de Missisquoi font maintenant partie de la Montérégie. Si vous êtes à la recherche de vos ancêtres dans les régions du Centre-du-Québec, de Chaudière-Appalaches ou de la Montérégie et que vous ne les trouvez pas, jetez un coup d'œil dans les Cantons-de-l'Est!
Les habitants anglophones demeurèrent majoritaires dans les Cantons de l'Est jusqu'aux années 1870. Même si la région est maintenant principalement francophone, l'influence des loyalistes et des colons de la Nouvelle-Angleterre est toujours visible dans l'architecture d'anciens bâtiments et dans le nom de villes.
Cette semaine, nous avons ajouté sur notre site Web, les liens de ressource intéressants suivants pour cette région. (Sous l'onglet Ressources, cliquez sur Liens de ressource.)
Transcriptions du cimetière
Cimetière La Patrie, Comté Compton
Un cimetière catholique romain dans la municipalité du Haut-Saint-François avec près de 100 transcriptions. La paroisse a été fondée en 1873.
Les catastrophes
1882 – Feu de Danville
RICHMOND, Québec, 16 mai - L'incendie de Danville a brûlé 40 ou 50 maisons et rendu 200 personnes sans abri. L'incendie a éclaté dans la tannerie de Goodhue vers 4 heures le dimanche après-midi et pendant les deux heures entre 4 et 6 heures, les habitants ont eu du mal à sauver leurs biens.
1904 – Collision de train à Richmond. La liste des personnes tuées est incluse dans le site Web.
1923 – Incendie mortel à Newport Point
Sociétés d'histoire
Société d’histoire d’Asbestos
Société d’histoire de Weedon
La Société d'histoire de Weedon a une section de généalogie très intéressante. Si vous passez votre souris sur l'onglet Généalogie, vous verrez une liste de noms par ordre alphabétique. Cliquez sur un nom pour afficher la lignée paternelle de la personne ainsi que d'autres informations familiales.
Divers
Musée de l'ingéniosité J. Armand Bombardier
Une exposition permanente présente l'ingéniosité de l'héritage laissé par Joseph-Armand Bombardier à ses successeurs grâce aux innovations et aux produits clés offerts aujourd'hui par les sociétés Bombardier et BRP. En outre, le musée possède un service d'archives et de documentation qui contient des documents, des images, des vidéos et d'autres objets qui reflètent les décisions et les réalisations qui ont marqué la vie de Joseph-Armand Bombardier, ses entreprises et la vie de ses descendants. Ce fonds contient 3 mètres linéaires de documents textuels, environ 232 documents iconographiques, 19 vidéos, 1 dessin technique, 18 documents cartographiques et 2 croquis.
Sherbrooke, Église d'Angleterre du Québec - Les petits immigrants britanniques au Canada
Ce site Web comprend la maison des Gibbs à Sherbrooke (maison des filles de 1884 à 1877, maison des garçons de 1897 à 1933) et la maison Benyon à Sherbrooke (maison des garçons de 1884 à 1887).
Du magazine Waifs and Strays, 1885: « Un petit article intéressant sur un parti de l'immigration s'est dirigé vers Sherbrooke, au Québec. Ils étaient à bord du SS Polynésie, partant le 23 avril 1885 et arrivant le 12 mai 1885. C'était juste un petit groupe de 13 filles, dont:
Ada Gillman, Catharine Birrell, Clara Barnes, Elizabeth Hurrell, Elizabeth Smith, Ellen Track, Florence Landen, Mary Dafter, Mary J Hurrell, Minnie Thompson, Rebecca Burge, Sarah White et Selina Webb »
La maison Gibbs sur la rue Bowen, Sherbrooke
Dans les nouvelles
Jack l'Éventreur démasqué grâce à son ADN, clame une étude controversée
LaPress.ca | Publié le 24 mars 2019 à 05h00
Aaron Kosminski
Le tueur en série qui terrorisait l'est de Londres il y a plus d'un siècle aurait été un barbier polonais âgé de 23 ans, selon une nouvelle étude de l'ADN publiée dans la revue Journal of Forensic Sciences. Mais, déjà, des critiques réfutent les conclusions des chercheurs.
Photo Wikimedia
Des scientifiques disent avoir finalement réussi à démasquer Jack l'Éventreur : il s'agirait d'Aaron Kosminski, un immigrant polonais âgé de 23 ans qui était l'un des principaux suspects des policiers au moment où les meurtres ont été commis, à l'été et à l'automne 1888. Aaron Kosminski travaillait comme barbier dans Whitechapel, alors un quartier pauvre de l'est de Londres, là où se sont produits les meurtres. Quelques années plus tard, Kosminski a été enfermé dans une série d'hôpitaux psychiatriques en raison d'un comportement agressif et « d'hallucinations, de paranoïa et d'un refus de se laver ». Il y resta jusqu'à sa mort, en 1919.
Châle en soie
C'est en analysant un châle en soie qui aurait été retrouvé près du corps de Catherine Eddowes, la quatrième victime du tueur, en août 1888, une femme pauvre qui se prostituait, que les experts affirment avoir réussi à percer le mystère. En effet, on retrouvait sur le châle des taches de sang et du sperme. Ces substances ont été analysées grâce à un procédé visant à identifier le génome mitochondrial, une sous-portion de l'ADN. Les chercheurs, Jari Louhelainen, biochimiste à l'Université John Moores, et David Miller, expert en reproduction à l'Université de Leeds, ont ensuite comparé leurs analyses avec celles d'échantillons d'ADN de descendants d'Eddowes et de Kosminski. Résultat : le sang était bel et bien celui de Catherine Eddowes, et l'ADN du sperme s'apparente à celui de descendants de Kosminski. « À notre connaissance, il s'agit de l'étude la plus avancée à ce jour concernant ce cas », notent les chercheurs.
« Une blague »
La publication de l'étude a provoqué des réactions immédiates dans la communauté scientifique, et pas des plus flatteuses. Le généticien et auteur britannique Adam Rutherford a affirmé cette semaine que les conclusions étaient « une blague ». Le principal problème, a-t-il écrit, est la provenance du fameux châle en soie. « Personne ne peut dire avec un minimum de certitude que ce châle se trouvait sur les lieux du meurtre, ou qu'il a appartenu à Catherine Eddowes. » M. Rutherford affirme que même si le châle était authentique, il a pu être contaminé par un grand nombre de personnes. « Si Eddowes était une prostituée, Kosminski aurait tout simplement pu être un client », conclut-il. Hansi Weissensteiner, expert dans le domaine du génome mitochondrial, note dans la revue Science qu'il ne croit pas non plus que les conclusions de l'étude soient valides.
Bientôt un parc commémoratif à Montréal pour les victimes de la famine d'Irlande
Rdio-Canada | Publié le dimanche 17 mars 2019
La Roche noire se trouve entre deux voies de la route 112, à un jet de pierre du pont Victoria. Photo: Radio-Canada / Marie-Laure Josselin
Fuyant la Grande Famine de 1847 dans leur pays, des milliers d'Irlandais ont traversé l'océan à bord de navires surpeuplés dans l'espoir de trouver une nouvelle vie en Amérique du Nord. Beaucoup ont perdu la vie sur les rives du fleuve Saint-Laurent dans la vingtaine de baraquements de quarantaine érigés pour contenir une épidémie de typhus.
Il y aurait 6000 migrants irlandais enterrés anonymement dans un quartier du sud-ouest de Montréal. On pense que leurs restes y sont encore éparpillés sous des stationnements, une voie de chemin de fer ou au pied d'une roche montée sur une stèle érigée en 1859 à leur mémoire, le Rocher irlandais. Celui-ci est situé sur un îlot de la rue Bridge, au milieu de quatre voies de circulation.
Des historiens le considèrent comme le tout premier mémorial dédié aux victimes de la famine de la pomme de terre, et la plus grande tombe irlandaise hors d'Irlande.
Depuis plus de dix ans, la communauté irlandaise de Montréal exerce des pressions sur les autorités municipales pour l'implantation d'un parc commémoratif.
« On ne peut même pas se rendre à la pierre sans mettre sa vie en danger et traverser des voies rapides », a déploré Fergus Keyes, l'un des directeurs de la Fondation du Parc du Monument irlandais de Montréal. « On doit rendre ce secteur plus commémoratif », a-t-il ajouté.
Un appui d'Hydro-Québec
Le rêve est sur le point d'être réalisé grâce à un partenariat avec Hydro-Québec.
Quand la société d'État a acheté le terrain convoité situé près du rocher, en 2017, l'angoisse a saisi la communauté irlandaise, a raconté M. Keyes. Mais Hydro-Québec a proposé un partenariat et 3,5 acres de terrain pour le futur parc.
M. Keyes a reconnu avoir été touché par la façon dont les gens d'Hydro-Québec, dont bien peu ont du sang irlandais dans les veines, ont adhéré au projet et organisé de nombreuses rencontres avec la communauté. « Ils ont pris le projet en charge. Il est très intéressant de les voir si protecteurs », a-t-il dit.
Au cours d'une récente réunion, quelqu'un a suggéré de déplacer le monument, une solution à laquelle s'opposait vivement la communauté irlandaise. Un représentant d'Hydro-Québec s'est alors levé pour dire qu'il était hors de question de bouger « notre roche », a raconté M. Keyes.
Il a aussi mentionné que l'administration municipale avait sauté à bord du navire. Elle parle même de déplacer la rue Bridge afin que le rocher se retrouve au centre du futur parc.
L'historien et guide touristique Donovan King se souvient que la communauté irlandaise avait été soufflée lors de l'achat du terrain par Hydro-Québec. « Mais la société d'État est devenu la meilleure partenaire de tous les temps », a-t-il poursuivi.
Apparue en 1826 dans les Indes orientales, la seconde pandémie connue de choléra se propage rapidement sur le continent européen. En 1831, le choléra, qualifié d’asiatique, est aux portes de l’Amérique et du Canada. Afin de sécuriser la population et de réduire l’impact de l’arrivée de cette infection, la législature du Bas-Canada adopte, en septembre 1831, l’Acte pour l’établissement de bureaux sanitaires dans la province.
Cette législation amène, entre autres, la création d’un lieu de quarantaine sur la Grosse-Île située en face de Montmagny et l’ouverture d’un bureau de santé pour le district inférieur de Gaspé. Cette loi oblige tous les navires en provenance de l’extérieur, particulièrement des endroits où sévit l’épidémie, à faire halte afin de procéder à une inspection du bâtiment et de ses passagers. Si le vaisseau est jugé non porteur de maladies infectieuses, le capitaine se voit remettre un certificat de santé par le surintendant du bureau sanitaire. Par contre, si on suspecte la présence du choléra, le navire est alors conduit au lieu de quarantaine le plus près.
En juin 1832, George Mellis Douglas, médecin d’origine écossaise arrivé au pays depuis quelques années et juge de paix du district de Gaspé depuis 1831, est nommé surintendant médical de la station de quarantaine du district de Gaspé. À l’époque, les ports gaspésiens sont achalandés, particulièrement à cause du commerce international de morue et des vagues d’immigration en provenance de l’Europe.
Le bureau de santé pour le district inférieur de Gaspé est situé à New Carlisle et le lieu de quarantaine pour les navires se trouve à Paspébiac. Le bureau est composé d’officiers, d’un surintendant et de plusieurs gardiens de santé publique dispersés sur le littoral sud de la Gaspésie. Contrairement à la station de la Grosse-Île qui est en opération jusqu’en 1937, le bureau sanitaire du district de Gaspé semble avoir une courte existence. Il y a peu d’information concernant ce bureau sanitaire, outre les quelques documents conservés à BAnQ Gaspé. L’examen de ces documents d’archives nous laisse croire que le bureau de santé est en opération au cours de la saison de navigation de 1832, et peut-être aussi en 1833.
Entrée libre, sans réservation. Information : 418-838-2929 et 418-837-9674
LES FILS DE FAMILLE DÉPORTÉS EN NOUVELLE-FRANCE AU XVIIIE SIÈCLE
Date : 10 avril 2019 à 19h30 Conférencier : Josée Tétreault, généalogiste et Martin Tétreault, historien
Lieu: Société généalogique canadienne-française
3440 Davidson
Montréal (Québec) H1W 2Z5
Au cours des dernières années, Martin et Josée Tétreault ont minutieusement reconstitué les parcours de plus d'une centaine de fils de famille exilés en Nouvelle-France par ordre du roi. Qui étaient au juste ces jeunes gens ? Pour quelles raisons ont-ils été déportés ? Se sont-ils assagis ? Ont-ils fait souche ? Voilà autant de questions auxquelles ils tenteront de répondre à la lumière de leurs récentes recherches dans les archives de la lieutenance de police de Paris et de l'Hôpital de Bicêtre.
Les conférences de la SGCF sont ouvertes à tous et gratuites.
Découvrez la Psychogénéalogie et l'hypnose
Date : 25 avril 2019 à 18 h 00
Animé par : Maria-Dolorès Sanchez Lieu: Hotel Super 8 3 rue Kennedy Saint-Jerome QC Montant : 20 $ par personne
À suivie d'une dédicace de "Voyage au pays des aïeux"
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous aviez tant de bâtons dans les roues, quand vous vouliez faire quelque chose ? ou pourquoi vous n'avez pas trouvé le conjoint rêvé ? ou pourquoi vous étiez toujours sans argent, malgré un travail régulier ? etc, etc... Tant de questions sans réponses...
La Psychogénéalogie peut vous en apporter : recherche des mémoires, apaisement du passé, les pistes, les indices, l'histoire avec un petit h et un grand H etc...
C'est ce que vous propose de découvrir Maria-Dolorès Sanchez, en toute convivialité.
Réservation : auprès de Isabelle Rozon 514-772-3220 / isarozon@yahoo.ca
"Ai-je une place dans ma famille ?" ; "Quelle est la place que j'occupe ?" ; "Suis-je vraiment légitime aux yeux des miens ?" ; "Suis-je devenu envahissant, ou pire, inexistant, transparent ?" etc... Toutes ces questions trouveront leur réponse dans cet atelier ludique et pratique, basé sur la Psychogénéalogie. La taille du groupe (six inscrits maximum) permettra des échanges conviviaux et dans la bonne humeur, tout en apprenant !
Réservation : auprès de Isabelle Rozon 514-772-3220 / isarozon@yahoo.ca
Avis officiel de l'assemblée annuelle de la Société Généalogique Virtuelle du Québec
Le jeudi 9 mai 2019 à 19h30 HAE
La réunion se tiendra via un webinaire
(Visitez notre site Web, Prochains webinaires, pour vous inscrire.)
L'ordre du jour de la réunion sera fourni avant le 18 avril 2019
________________________________
Arrive bientôt !
Bulletin électronique (via SurveyMonkey) pour la révision de la Politique 5 - Réunions.
Les résultats du vote seront communiqués aux membres lors de la réunion annuelle du jeudi 09 mai 2019
La 6ème édition du Congrès mondial acadien
du 10 au 24 août 2019
Le but du Congrès mondial acadien, qui a lieu tous les 5 ans, est de raffermir les liens qui unissent les communautés acadiennes de partout, tout en démontrant la modernité et la réalité de l’identité acadienne. Le Congrès se veut aussi une occasion d’accueil pour tous ceux et celles qui s’intéressent et qui aiment l’Acadie. Le Congrès sera non seulement une occasion de démontrer notre dynamisme et notre attachement à notre culture, mais également, notre légendaire ouverture sur le monde.
Date et l'heure : Lundi, 1 avril 2019 - 19:00 HAE
Date et l'heure : Mardi, 16 avril 2019 - 19:00 HAE
Date et l'heure : Mercredi, 17 avril 2019 - 19:00 HAE
Langue : en français
Conférences et rencontres mensuelles à la Société de généalogie de Lévis
S DE FAMILLE DÉPORTÉS EN NOUVELLE-FRANCE AU XVIIIE SIÈCLE
Avis officiel de l'assemblée annuelle de la Société Généalogique Virtuelle du Québec
