Notre arrivée au FacLab ne s’est pas faite sous les meilleurs auspices. C’est avant tout un espace d’échanges entre humains et le COVID a forcément limité l’intérêt du lieu. Notre premier contact avec David, le Game Master de l’endroit, a été particulièrement chaleureux. Il fait partie de ces gens qui vous donnent tout de suite envie de créer des choses (plus ou moins utiles, il faut l’admettre). Le Prof. Jean-Henry Morin nous a également accueilli les bras ouverts et a tout de suite accepté d’être le porteur académique de notre projet.
Travailler au FacLab est une expérience qui sort de l’ordinaire. D’abord par les rencontres qu’on y fait. Il y a toujours quelqu’un de curieux dans les parages qui est prêt à vous aider ou que vous êtes prêts à aider. Que ça soit nos amis résidents (on pense notamment à Nicolas, Maurizio et Daniel) ou les étudiants qui trainent dans le CafLab (ne pas hésiter à réveiller les dormeurs, les canapés sont particulièrement moelleux). Cette communauté de Makers et de futurs Makers crée une stimulation intellectuelle que vous trouverez dans peu d’endroits. Parce que le FacLab, ce n’est pas seulement fabriquer du tangible comme nos Beekee Box, mais c’est surtout un lieu pour échanger autour d’idées, créer des relations, des projets, des partenariats. En quelques mots, le FacLab est un endroit qui aide notre cerveau à sortir des sentiers battus.
Et pour ceux qui en doutent, on finit par s’habituer au bruit strident de la découpeuse laser (ou on investit dans un bon casque à réduction de bruit…). On est quand même dans un FabLab, non ?