Qu’ont en commun la culture de citrouilles et les REER ? Il faut commencer jeune, apparemment.
À 10 ans, Émile Gariépy plantait sa première citrouille. Bon, vous me direz qu’il y a rien là et qu’on a tous et toutes déjà accompagné papa ou maman au potager.
Mais à 18 ans, Émile est aujourd’hui propriétaire de son entreprise, Les Fermes Émile Gariépy, et il produit plusieurs milliers de citrouilles, courges, melons d’eau et cantaloups par année. On est allé lui rendre visite pour obtenir un ou deux conseils concernant la réalisation d’un rêve de jeunesse.
Il nous a pas dit s’il max son REER chaque année, mais s’il cotise de la même façon qu’il remplit des palettes de citrouilles, il est probablement plus près de la retraite que moi.
Mais, comme on dit chez Quatre95, on commence tous quelque part.
- Jean-Pierre
PS : On vous nomme designer de votre futur bureau. Vous faites quoi? Selon notre dernier sondage, pas grand-chose. On revient sur les résultats plus bas.
Réaliser son rêve d’enfant, ça peut être exigeant! Parlez-en à Émile Gariépy, un producteur maraîcher de 18 ans qui a pris le temps de nous parler entre les nombreux appels qu’il reçoit.
Après avoir planté ses premières citrouilles à l’âge de 10 ans, le jeune entrepreneur a effectué un passage remarqué à l’émission Les Dragons. On pourrait aujourd’hui le décrire comme le magnat de la citrouille de Saint-Roch-de-l’Achigan, où il cultive ses cucurbitacées qu’il vend ensuite à de grandes enseignes de supermarché québécois.
Entre deux grosses commandes, Émile Gariépy nous a raconté comment il a commencé et il nous a bien entendu partagé sa recette préférée à base de citrouille.🎃
Breaking news : la solution au bureau, c’est pas de bureau!
Vous avez été nombreux et nombreuses à manifester votre enthousiasme pour le télétravail à perpétuité. Si vous songez faire la grande demande à votre patron.ne, voici quelques conseils pour être plus convaincant.e.
C’est quand même très drôle que la même proportion de répondant.e.s (22 %) veuille exactement le contraire de l’autre. À moins qu’il existe une solution mitoyenne entre les cubicules et l’aire ouverte? J’écoute.
Et si jamais vous avez pas le choix de passer vos journées dans un bureau à aire ouverte, voici comment survivre.
Parmi les autres réponses, on a eu des gens qui aimeraient avoir des plantes (à condition de les garder en vie), un bureau ergonomique, plus de fenêtres et un distributeur de thé.
Combien de gens ont mentionné des bean bags et une table de ping-pong? Zéro.
Moi, je retourne me servir du kombucha en fût. Joyeuse Halloween! 👻
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CréditsRédaction: Jean-Pierre Bastien
Design: Marc-Antoine Jacques
Intégration: Théo Gjini et David Mongeau-Petitpas
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