HAPPY BIRTHDAY !
 La Newsletter mensuelle du Business Science Institute, répond à la volonté initiale de son Président, le Professeur Michel Kalika, de créer un outil d’information qui permette aux membres de la communauté (doctorants managers, Alumni et membres de la Faculté) ainsi qu’aux prospects, d’être informés des actualités de l’institution et de la richesse de la vie académique de ses intervenants.
Au fil des années, cette newsletter s’est enrichie dans le fond, en proposant de nouvelles rubriques telles que les interviews du mois ou encore la rubrique dédiée aux Alumni, comme dans la forme, avec davantage de liens interactifs vers des vidéos, des contenus webs, etc..
      
Retour en images sur les 7 cérémonies de diplomation du Business Science Institute qui ont rythmé la vie de la Newsletter
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2020
2021
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L'INTERVIEW DU MOIS
Aline : Bonjour Professeur et Président Kalika, je vous remercie d’avoir accepté de participer à cette interview, mais avant de rentrer dans le vif du sujet, comment allez-vous ?
Michel Kalika : Je vais très bien sur tous les plans et j’ai toujours autant de plaisir à travailler. Le Business Science Institute se développe, progresse et la communauté des professeurs et des docteurs se renforce. Ce sont des éléments de grande satisfaction.
Aline : Cette interview a une connotation un peu particulière puisqu’elle intervient à l’occasion du 100e numéro de la Newsletter et cet anniversaire est pour nous l’occasion de remonter le temps et d’en apprendre un peu plus sur l’histoire du Business Science Institute. Pouvez-vous nous en dire plus sur sa genèse ?
Michel Kalika : L'histoire est finalement assez simple pour un professeur de stratégie. Une demande non satisfaite de managers souhaitant prendre du recul par rapport à leur expérience managériale et souhaitant préparer une thèse ancrée dans leur expérience avec bien sûr l’aide de professeurs. Comme la nature a horreur du vide, nous avons, avec quelques professeurs, créé le Business Science Institute. L’idée est probablement ancienne. J’avais en effet créé le 1er DBA dans une université française à Dauphine en 2008. L’idée a commencé à connaitre une traduction en 2012, après mon départ de la direction de l’EM Strasbourg, avec la mise en ligne du site créé par mon fils Samuel et les premiers groupes ont ouvert en 2013. Ma fille Yorelle soutenait l’idée et quand vous créez une entreprise, le soutien de proches est important.
Aline : Comment êtes-vous parvenu à recruter des collaborateurs et à fédérer vos collègues dans cette aventure ?
Michel Kalika : Cela s’est fait bien sûr progressivement, par connaissance, sur la base de la confiance reposant sur des expériences passées de travail en commun. C’est ainsi que Caroline, …vous, Aline, avez été associées au projet. Pour ceux qui ne me connaissaient pas, le mode de fonctionnement à distance et le souci de l’efficacité les ont fait embarquer. Ensuite, ceux qui n’ont pas été confortables avec le style de mes mails (A- B- C-) et mon mode relationnel simple et très direct ont pris le large. C’est facile dans une organisation en réseau. Cela a été la même chose pour les collègues professeurs. Les premiers étaient (et sont pour la plupart restés) des amis et des collègues qui avaient confiance dans le projet.
Aline : Comment avez-vous ciblé les pays pour l’ouverture des différents groupes ?
Michel Kalika : La réponse du professeur de stratégie devrait être « nous avons ciblé tel marché » mais la réalité est très différente. Notre stratégie géographique a été émergente. Nous avons ouvert des groupes là où nous avions des contacts, là où une demande a émergé : Tunis, Dakar, Montréal, Genève… Les opportunités apportées par les collègues qui pensaient qu’il y avait un marché ont joué et continuent de jouer un rôle important.
Aline : N’est-ce pas compliqué de piloter l'équipe support et les membres de la faculté à distance ?
Michel Kalika : C’est au contraire très facile et très efficace! Cela fait plusieurs décennies que je prône le e-management (‘le management est mort vive le e-management’ RFG, n° 2000). J’ai toujours eu la conviction que l’efficacité n’était pas liée à la machine à café et aux longues réunions en face à face! Ensuite, je suis conscient que ce mode de travail convient mieux à certaines personnes appréciant l’autonomie.
Aline : La vie du Business Science Institute a-t-elle été un long fleuve tranquille ?
Michel Kalika : Probablement non, mais j’ai créé le Business Science Institute pour m’apporter de la satisfaction et je n’ai pas été déçu. Le Business Model est sain, l’organisation en réseau est flexible, le positionnement d’un vrai DBA pour managers est clair. Le travail avec les professeurs sur lesquels reposent toute l’organisation est source d’une immense dynamique et créativité. Bien sûr, comme tout entrepreneur, j’ai rencontré des difficultés. Très peu avec des doctorants qui pensaient que parce qu’ils étaient inscrits, ils devaient obtenir leur diplôme sans travailler ! Encore moins avec des collègues indélicats.
Aline : 108 managers sont aujourd’hui diplômés du Business Science Institute, qu’est ce que cela représente pour vous ?
Michel Kalika : Une immense source de satisfaction d’avoir créé une organisation académique internationale en réseau qui réponde efficacement à une demande spécifique. Les témoignages des docteurs montrent l’impact que le DBA a eu sur leur vie, leur entreprise et parfois plus globalement sur la société. Beaucoup me remercient avec beaucoup de sincérité d’avoir créé ce programme.
Aline : Depuis ses origines le Business Science Institute n’a cessé d’évoluer et de s'améliorer : ouverture de nouveaux groupes dans différentes langues, nouveaux partenariats, Digital DBA, création d’un parcours spécifique Tourism & Hospitality, d’un parcours post-DBA, d’une collection d’ouvrages, obtention de l’accréditation AMBA et j’en passe…. Quelles sont les prochaines étapes ?
Michel Kalika : De nouvelles accréditations pour renforcer la reconnaissance internationale, le développement des marchés nord-américains et hispanophones, le développement de groupes intra-entreprises. Nous verrons….. la stratégie demeure flexible et nous savons saisir les opportunités!
Aline : Face à la crise sanitaire de la COVID-19, le Business Science Institute a su rebondir, quelle est la force du modèle face aux enjeux actuels ?
Michel Kalika : La crise a montré la force du modèle reposant sur la flexibilité, le réseau, le multilinguisme, la distance et le face-à-face.
Aline : Si vous deviez retenir trois faits marquants dans l’histoire du Business Science Institute, quels seraient-ils ?
Michel Kalika : Cela ne vous gêne pas si je vous réponds dans le style des mails ?
A - La mise en ligne du site du Business Science Institute le 2 septembre 2012, ...avec une journée de retard.
B- L'une des premières soutenances de thèse en 2015, à Genève, où le doctorant et le directeur de thèse se rencontraient pour la première fois, le jour de la soutenance.
C- L’obtention de l’accréditation AMBA en décembre 2020.
Aline : Auriez -vous à partager avec nos lecteurs un souvenir particulier qui vous a marqué ?
Michel Kalika : oui, un jour à Montréal quand un doctorant m’a dit au cours d’une réunion de présentation : « mais en fait, vous êtes une agence matrimoniale, vous faites se rencontrer des professeurs et des doctorants ». Il avait totalement raison. Nous sommes un site de rencontres académiques internationales ! :-)
Aline : Et un élément de fierté ?
Michel Kalika : Deux !
A- nous sommes aujourd’hui une organisation réactive, exigeante sur le plan académique et efficace.
B- Les livres que nous avons publiés (37 au 01/01/2022).
Aline : Et comme vous n’avez encore jamais répondu à la question "phare" des interviews de la Newsletter, je vous la pose aujourd'hui : au regard du contexte actuel et de l’expérience que vous avez acquise, si vous pouviez remonter le temps, quel sujet auriez-vous choisi pour votre thèse de doctorat ?
Michel Kalika : Ma thèse de 3ème cycle et ma thèse d’Etat portaient sur les structures d’entreprises. Si je démarrais aujourd’hui une thèse, ce serait sur le management à distance, …. le e-management!
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ALUMNI
PORTRAIT DU MOIS
 Le Docteur Masielati Masialeti, diplômé du Business Science Institute (Online DBA n°2, 2018-2021)* évoque avec nous les différents impacts de son Executive DBA.
Caroline : Bonjour Docteur Masialeti, vous êtes diplômé de la promotion n°2 du DBA à distance anglophone du Business Science Institute. Pourriez-vous nous présenter votre parcours professionnel en quelques mots ?
Masialeti Masialeti : Je suis très heureux que vous ayez pensé à moi pour cette interview et je vous en remercie. J'ai commencé ma carrière en tant que praticien des systèmes d'information dans l'industrie minière en Zambie, en Afrique du Sud. Grâce à un excellent système de mentorat et à une progression de carrière réussie, j'ai eu l'occasion de devenir le responsable informatique de mon employeur pour le site de la mine de cuivre zambienne. À la suite d'une performance de leadership réussie qui a été soutenue par une équipe fabuleuse, j'ai eu le privilège de m'installer aux États-Unis à la fin de 2016. J'ai accepté le rôle de responsable mondial de la prestation de services informatiques au sein de notre organisation informatique mondiale basée dans le Nevada, aux États-Unis. Par la suite, on m'a confié un rôle de responsable de la technologie et des systèmes dans une mine axée sur le numérique dans le nord du Nevada. À la suite d'une co-entreprise entre mon organisation et une autre organisation, j'ai occupé le poste de responsable de la prestation de services informatiques. À ce titre, je relève du DPI (chef des TI) de la co-entreprise et je dirige une équipe de 20 personnes qui fournit des services informatiques essentiels au plus grand complexe aurifère du monde.
Sur le plan académique, je suis titulaire d'une licence en informatique, d'une maîtrise en administration des affaires, d'une maîtrise en philosophie de la gestion de l'information et des connaissances, et j'ai récemment, comme vous le savez, obtenu un doctorat en administration des affaires - majeure systèmes d'information. Je suis également titulaire de diverses certifications professionnelles en technologies de l'information, telles que MCITP, CISSP, PMP, Licensed Scrum Master, etc.
Caroline : Quelles étaient les motivations qui vous ont conduit à intégrer le Business Science Institute et à opter pour le DBA à distance anglophone ?
Masialeti Masialeti : Excellente question. Après avoir terminé la maîtrise en gestion de l'information et des connaissances, un programme très axé sur la recherche, j'avais l'intention de poursuivre et de faire un doctorat. Mes raisons étaient à la fois personnelles et professionnelles. J'ai toujours été amoureux de l'apprentissage continu, car je tire une satisfaction intrinsèque de l'apprentissage et de l'acquisition de nouvelles connaissances, ainsi que du fait d'être mis au défi intellectuellement. Le système de soutien et le parrainage financier du programme de doctorat par mon employeur ont joué un rôle crucial pour me permettre de démarrer. Sur le plan professionnel, le fait d'avoir un doctorat m'ouvrirait différentes portes pour devenir un meilleur leader d'opinion. Après avoir cherché dans de nombreuses institutions aux États-Unis et en Europe, j'ai choisi le Business Science Institute. Les raisons étaient, premièrement, la qualité du corps professoral, c'est-à-dire que beaucoup d'entre eux sont des experts dans leur domaine et ont publié de nombreux articles. Ensuite, l'excellente qualité du partenariat entre le Business Science Institute et Skema Business School (une école de commerce accréditée par l'AACSB) et iaelyon School of Management, Université Jean Moulin Lyon 3. Enfin, en tant que manager, j'avais besoin d'être dans un programme où le système de soutien académique était agile et adaptable tout en assurant le plus haut niveau de qualité académique. Le Business Science Institute a coché toutes les cases, et le doctorat numérique en administration des affaires (DBA) a été un excellent choix.
Caroline : Vous avez soutenu votre thèse d’Executive DBA en septembre 2021 et votre sujet portait sur : "Une étude empirique des tâches de contrôle à intervalles courts et de l'aptitude à la technologie mobile dans une mine d'or souterraine". Comment vous est venue l’idée de ce sujet et comment avez-vous mené cette recherche ?
Masialeti Masialeti : Ayant travaillé dans l'industrie minière en tant que leader informatique pendant plus de dix ans, j'ai toujours eu des questions profondes sur la façon dont les systèmes informatiques peuvent être des catalyseurs et être stratégiques pour atteindre les objectifs organisationnels. J'ai eu la chance d'être dans une organisation qui a adopté la philosophie de la transformation numérique. Lorsque j'ai commencé à canaliser mes recherches, j'étais en poste dans une mine souterraine qui s'intéressait beaucoup à l'amélioration du processus de contrôle des intervalles courts (SIC). Le processus SIC est crucial pour l'excellence opérationnelle. Le système SIC utilisant la technologie mobile était déjà mis en œuvre et devait être optimisé. Ainsi, grâce à des discussions consultatives avec des professeurs du Business Science Institute et après l'approbation de mon employeur, j'ai conçu une étude pour examiner empiriquement les tâches SIC de planification, d'exécution et de contrôle via la technologie mobile. J'ai utilisé la théorie de l'adéquation tâche-technologie (TTF) comme cadre d'analyse afin d'évaluer l'adéquation entre les tâches SIC et les technologies mobiles pour stimuler la performance des mineurs de fond. Mon étude suggère que l'adéquation tâche-technologie (TTF) permet une meilleure prédiction, permettant ainsi une meilleure prise de décision concernant l'amélioration du processus SIC, ce qui entraîne une meilleure performance des mineurs de fond. Outre les implications théoriques, j'ai utilisé les résultats de mon étude pour coordonner avec d'autres parties prenantes et améliorer le modèle de soutien et la façon dont nos mineurs peuvent utiliser avec succès le système SIC. Il a été gratifiant de voir que le soutien fourni par mon équipe en utilisant les résultats de la recherche a un impact positif sur la pratique du processus SIC.
Caroline : En quoi, selon vous, le Business Science Institute répond-t-il aux attentes des managers en activité comme vous ?
Masialeti Masialeti : Le modèle du Business Science Institute convient parfaitement aux managers ou aux cadres qui souhaitent contribuer à la création de connaissances avec rigueur tout en continuant à travailler. La supervision par un corps professoral très dévoué, qui a publié de nombreux articles et qui est au sommet de son domaine, est une opportunité rare. De plus, l'équipe de soutien du Business Science Institute est très réactive, agile, et fournit aux étudiants un système de soutien académique exceptionnel. J'encourage les managers et les cadres à envisager de s'engager dans un Executive DBA du Business Science Institute.
Caroline : Quels sont vos projets maintenant que vous êtes Docteur ? Envisagez-vous de mener d’autres recherches, de publier les résultats de votre thèse d’Executive DBA ou d’évoluer dans votre sphère professionnelle ?
Masialeti Masialeti : La poursuite du DBA au cours des quatre dernières années (2018-2021) a été un voyage passionnant et stimulant. J'ai beaucoup appris de mes collègues et des professeurs du Business Science Institute J'ai suivi quelques cours supplémentaires autour des méthodes de recherche et des statistiques à l'Université du Nevada, Reno, toute proche, pour combler mes lacunes. Mon superviseur, le professeur Jean-Fabrice Lebraty est très compétent et passionné par la recherche sur les systèmes d'information. Tout cela a renforcé mon intérêt pour la recherche sur les systèmes d'information. Grâce à mon diplôme d'Executive DBA, j'ai déjà accepté une opportunité d'enseigner à temps partiel en tant que professeur auxiliaire en systèmes d'information dans une université renommée. Je continue à apprendre beaucoup plus, et je travaille déjà sur un article académique avec le professeur Jean-Fabrice Lebraty. Notre objectif est de publier cet article dans une revue universitaire de bonne qualité. Il y a une excellente opportunité de publier d'autres articles issus de mon travail d'Executive DBA, et je suis enthousiaste à l'idée de poursuivre ma collaboration avec le professeur Jean-Fabrice Lebraty et les autres professeurs du Business Science Institute. J'envisage d'entrer dans le monde universitaire à l'avenir. Être associé au Business Science Institute, publier des articles et faire un autre doctorat seront les prochaines étapes cruciales de ma future carrière universitaire.
* Le Dr. Masialeti Masialeti a soutenu sa thèse : An Empirical Study of Short Interval Control Tasks and Mobile Technology Fitness in an Underground Gold Mine, sous la direction du Professeur Jean-Fabrice Lebraty, en septembre 2021.
ACTUALITES DES ALUMNI
Le Dr. Thierry Lamarque (Paris n°1, 2016-2019) a participé à la 10ème édition du jury de prix de thèse SPHINX présidé par le Professeur Jean Moscarola, qui a récompensé deux travaux doctoraux en sciences de gestion fin 2021.
L’équipe Alumni reste à votre écoute :
caroline@business-science-institute.com
+33 7 60 73 42 15
Nous attendons vos messages et suggestions !
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AGENDA
- Webinar "Le DBA pour les managers. Executive Doctorate in Business Administration à Paris", 5 janvier 2022
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RETOURS SUR L'AGENDA DE DECEMBRE
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PUBLICATIONS
 Michelle Bergadaà, Academic Plagiarism. Understanding it to take Responsible Action, Globethics.net Research Ethics No. 1, 2021, 276 p.
With the proliferation of the Internet, overcoming plagiarism seems insurmountable for students, teachers and researchers, who tend to find little choice between academia and the law in this regard. With a multidisciplinary approach and twenty years of expertise and research on this topic, Prof. Bergadaà proposes a concrete methodology for addressing this issue, both for the plagiarised and plagiariser, as well as for the institutions and associations. Researchers, students, directors of journals and institutions, as well as other actors in the scientific arena such as policy makers and lawyers are all concerned with preserving the value of integrity at the core of research ethics.
Bérengère Deschamps, Thierry Lamarque, " La stratégie du repreneur lors d'une négociation d'une reprise externe d'entreprise", Management international (HEC Montréal) 22 décembre 2021.
Le processus de négociation d’une reprise externe d’entreprise est peu traité dans la littérature en entrepreneuriat alors qu’il s’agit d’une étape déterminante pour la réussite du processus repreneurial global. D’un point de vue théorique, cet article montre les stratégies du repreneur à l’oeuvre dans la négociation d’un transfert externe d’entreprise. D’un point de vue managérial, elle ouvre pour le repreneur et son accompagnateur des perspectives de préparation de la négociation. D’un point de vue méthodologique, cette recherche s’appuie sur une grille d’observation participante des négociations in situ qui permet de repérer paroles et langage du corps susceptibles de conduire aux points tournants de la négociation
 Henry Savall, Véronique Zardet, Menaces et opportunités du télétravail, éditions EMS 2021, 396 p.
De nombreux ouvrages vont paraître pour traiter du télétravail. Toutefois, l’objectif de ce colloque est de donner la parole aux dirigeants, managers et collaborateurs qui ont vécu cette expérience du travail à distance lors de la crise récente.
Cet ouvrage ouvre de nouvelles réflexions afin de mettre en valeur les expériences concrètes en vue de développer des propositions managériales socialement durables et économiquement supportables. Elles mettent en lumière les compétences, les pratiques innovantes et les impacts du management socioéconomique innovant. Cet ouvrage permet d’aborder les défis posés par le télétravail au sens large (droit du travail, les conditions de travail, productivité, cohésion…) dans les entreprises et les organisations.
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MEDIAS
 Michel Kalika, "The PhD is losing its currency for business leaders", The World University Rankings, 29 décembre 2021.
In continental Europe, the PhD is still widely considered the default next step for leaders wanting to extend their knowledge beyond an MBA. But the complexity of challenges faced by organisations today means that senior businesspeople have increasingly specific and rather different study needs. These can’t always be met by conventional doctorates such as the PhD – let alone short CPD or executive education programmes.
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Maurice Thévenet, "Coopération systémique", RH Info, 15 décembre 2021.
Les organisations ont besoin de coopération, leur performance en dépend et les innovations managériales dans des institutions plus ou moins libérées en fournissent la preuve. En disant cela on a présenté le problème plutôt que fourni la solution. En effet, il faudrait déjà s’entendre sur la définition de la coopération, distincte de la collaboration, même si l’une et l’autre empruntent au latin. S’il n’existe pas de différence unanimement reconnue entre les deux notions, et si celles-ci évoquent l’une et l’autre le travail à plusieurs, la collaboration apparaît comme plus plate que la coopération. La première traduirait le fait de travailler ensemble, d’être en interaction, de dépendre les uns des autres pour faire un travail. La coopération évoquerait plutôt la contribution ensemble à un projet commun, elle associerait du sens à la collaboration.
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VIDEOS
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ONLINE DBA en français, en anglais et en allemand
Pour toutes les questions :
+33 6 07 34 76 33 (français & anglais) : Catherine
+49 172 2066769 (allemand) : Yasemin
contact@business-science-institute.com
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ACTUALITES DE LA RECHERCHE EN MANAGEMENT
Appel à communication 2ème Colloque International de Recherche et Action sur l’Intégrité Académique « Les nouvelles frontières de l’intégrité ».
- 15 janvier 2022 : Date de clôture des soumissions des résumés
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Toute l'équipe du Business Science Institute vous souhaite une très belle année 2022! |
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Rencontre avec 
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