A chaque fois que je me retrouve à un dîner avec des amis, ils ne cessent de me parler de leurs investissements en crypto-monnaies, de leurs achats de NFT ou encore spéculent sur le futur métavers de Meta (anciennement Facebook).
Tant de sujets qui s’immiscent petit à petit dans les discussions de chacun, et sur lesquels les marques n’ont pas tardé à surfer.
GAP, Balmain, Microsoft, Samsung ou même Damien Hirst (artiste peintre) s’engouffrent dans les NFTs et créent ainsi des valeurs purement spéculatives. Tout le monde s’arrache ces jetons non-fongibles et créent ainsi une bulle dans l’attente de ce monde nouveau promis par Zuckerberg.
La folie des NFTs arrive même jusqu’au secteur de la restauration, avec l’ouverture d’un club privé new-yorkais, le Fly fish, accessible uniquement pour les heureux détenteurs de certains jetons.
La digitalisation ne semble plus avoir de limite et chacun semble vouloir se couper une part du gâteau.
Pour le commun des mortels, l’intérêt de posséder un NFT relève pour le moment du mystère, mais l’e-réalité ne tardera pas à nous rattraper.
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Vous avez bien 5 minutes pour lire l'une de ces infos ?
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Le télétravail exacerbe les inégalités entre les hommes et les femmes
Alors que le gouvernement s'apprête à annoncer un calendrier de sortie progressive des mesures sanitaires actuelles, l'un des leviers activés dès le début de cette nouvelle vague fut la mise en place du temps de télétravail obligatoire pour tous les postes qui y sont adaptés. Le gouvernement veut prolonger cette mesure pour permettre de réduire au maximum l'envolée des contaminations. Si cette mesure est tout à fait lisible d'un point de vue sanitaire, elle exacerbe encore davantage les inégalités entre genres déjà mises en lumière lors des premiers confinements, soulevant ainsi la multiplication des charges mentales.
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L'app Elyze fait parler d'elle
À quelques mois de l'élection présidentielle, les débats s'intensifient dans un climat de pré-campagne et de crise sanitaire, dans lequel la parole politique et démocratique est confrontée à la saturation médiatique de sujets liés à la pandémie, rendant ainsi les espaces de débats et d'échanges sur les programmes politiques de plus en plus difficiles, tout comme la prise de température de l'opinion.
Face à ce constat, des startups de la "civil tech" tente de réconcilier les citoyens français avec la politique et les enjeux de société. Et parmi celles qui ontfait leur bout de chemin sur les appstores, il y a Elyze, un "Tinder de la politique" qui permet de "matcher" des propositions de candidats avec vos affinités et idées. La promesse est intéressante sur la papier, mais se heurte à la question fondamentale de la protection des données des utilisateurs. D'ailleurs, la startup a fait face à un vent de contestation concernant la revente des données à des tiers, obligeant les fondateurs de l'app à supprimer toutes les donneés déjà récoltées et à publier son code en open-source.
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Un post sur les réseaux sociaux a bouleversé leur vie
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Si l'omniprésence des réseaux dans notre quotidien nous rapproche de plus en plus rapidement des autres internautes grâce à sa puissance communautaire, son potentiel viral et son "universalité des usages", elle fait aussi exister en quelques heures un post publié par un parfait inconnu aux yeux du monde entier. Cette puissante mécanique de la viralité numérique alimente à flux tendu d'autres canaux de communications plus traditionnels (radio, TV, journaux papier) qui donneront encore plus de résonance à des destins comme ceux racontés dans cette mini-série documentaire d'Arte, qui propose de découvrir des bouleversements de vie suite à une publication sur les réseaux sociaux.
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Le "job crafting", une solution face à la crise de sens ?
Les bouleversements de ces dernières années ont profondément accéléré un délitement du sens chez les salariés. Face à cette crise de sens, les entreprises doivent accélérer leur transformation culturelle et créer davantage de porosité entre les aspirations individuelles et le destin commun. Et l'une des solutions intéressantes lues cette semaine est le "job crafting", qui résume la capacité d'une organisation à offrir une articulation entre valeurs personnelles et ambitions professionnelles.
Échange à lire.
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