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Chères lectrices, chers lecteurs,

Sciences Critiques poursuit sa grande enquête sur le déploiement de la reconnaissance faciale en France. Après avoir vu comment la vidéosurveillance se développe jusque dans nos campagnes − comme ici, à Brienon-sur-Armançon, dans l'Yonne −, vous découvrirez dans cette nouvelle livraison notre deuxième volet, consacré à la ville de Nîmes, dans le Gard, la deuxième ville la plus vidéosurveillée de l'Hexagone. Depuis plusieurs années, l'agglomération nîmoise développe des technologies de surveillance parmi les plus sophistiquées afin de contrôler et gérer l'espace public. Au grand dam des associations de défense des droits humains. Bonne lecture !

> A Nîmes, la reconnaissance faciale dévoile son vrai visage. Une enquête de la rédaction.
Depuis 2001, Nîmes se veut à l’avant-garde du développement de la vidéosurveillance en France, sous l’impulsion de son maire, Jean-Paul Fournier. Déjà dotée d’un système de surveillance automatisée de l’espace public, la collectivité œuvre désormais, à bas bruit, au déploiement de la reconnaissance faciale. Se rêvant pionnière en matière de sécurité « intelligente », l’agglomération gardoise a lancé en 2018 un vaste plan pour une « Smart Security ». Enquête dans la deuxième ville la plus vidéosurveillée de l’Hexagone.

Troisième volet de notre enquête : Marseille, entre opacité municipale et résistances citoyennes. A suivre...

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Anthony LAURENT
Rédacteur en chef
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