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Mercredi 23 mars 2022
L'OFFENSIVE
250 000 000 de dollars de "bourses". 7 tournois pour sacrer un champion. 1 rendez-vous pour consacrer une équipe en match-play. 8 dates, 8 adresses. 48 joueurs. Bienvenue dans la première édition du LIV Golf Invitational, qui entrera dans l'arène du golf au Centurion Club, à Londres, avec une faim de requin ! 
Le site officiel 
« IL Y A D’AUTRES OPPORTUNITÉS À SUIVRE »
59 golfs (U Golf) plus 46 (Bluegreen), cela fait 105 parcours. Sous la tutelle du Groupe Duval est en train de naître le 6e groupe mondial de golfs. Sur le plan financier, l’activité golf du Groupe Duval représente 113,4 millions de CA (58,4 en 2021 pour Bluegreen, 55 pour UGolf), et 1500 salariés. On fait un point d’étape, un mois après l’acquisition, avec le directeur général de UGolf, Pierre-André Uhlen.
 
Dans quel contexte s’est faite l’acquisition de Bluegreen par le Groupe Duval ?
Pierre-André Uhlen : « La Saur, qui était propriétaire de Bluegreen, a lancé un process de cession au cours du premier semestre 2021. Nous avons été approchés via une banque d’affaires. Nous avions fait plusieurs tentatives au cours des dix dernières années, qui n’avaient pas abouti pour diverses raisons. Alors, logiquement, nous nous sommes à nouveau intéressés au dossier, mais nous n’étions pas les seuls. Nous pouvons penser que le golf n’était pas stratégique pour la Saur (expert de la gestion de l’eau, ndlr).

Comment vont évoluer les relations entre Bluegreen et UGolf ?
P.-A. U. :
La première chose à prendre en considération est que ce rachat est soumis à autorisation de l’Autorité de la concurrence. C’est en cours, et nous pourrons envisager la suite une fois que l’avis de l’Autorité aura été rendu. En attendant, Bluegreen fait sa vie, et UGolf aussi. Il n’y a donc pas de collaboration entre les deux entités. On peut espérer une réponse entre juin et septembre. Je précise que ce n’est pas UGolf qui a acquis Bluegreen, mais le Groupe Duval, la maison-mère. Les deux entités vont coexister au sein du Groupe. Il faudra mettre en place des synergies, des offres d’abonnements de plusieurs sites. Les passerelles sont en cours d’élaboration.

Qu’apporte l’acquisition de Bluegreen au Groupe Duval ?
P.-A. U. : Une offre élargie et complémentaire. Bluegreen est bien représentée dans l’ouest de la France et sur les sites touristiques ; nous sommes plus urbains et plus franciliens. Nous allons également pouvoir continuer le travail fait de chaque côté sur les enjeux de la transition écologique afin de répondre au mieux aux évolutions de la réglementation, qui nous impose le zéro produit phytosanitaire dès 2025, et à ses problématiques. Nous allons travailler sur ce sujet en collaboration : nous avons des savoir-faire à mettre en commun, ce qui nécessite toutes les compétences de la filière.

Cela sous-tend qu’il y a diverses façons de parvenir à ce résultat, et qu’il faut les confronter ?
P.-A. U. : On apprend au fur et à mesure, oui. Il y a des choses qui fonctionnent ici et qui ne fonctionnent pas là. On s’appuie donc sur les Hommes pour apprendre. À Jardy, par exemple, nous sommes en « Zéro phyto » depuis dix ans. Chez Bluegreen, l’expertise de la Saur a été précieuse sur la gestion de l’eau.
(...)
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Vous avez émis l’ambition d’entrer dans le top3 des groupements de golf mondiaux. Qu’est-ce qui vous sépare encore des leaders ?
P.-A. U. : Le plus grand, c’est Troon Golf incontestable leader avec 630 parcours en portefeuille. Avec 111 parcours, nous ne sommes pas très éloignés des quatre autres, des opérateurs asiatiques et américains. Notre volonté est de nous développer à l’international. Nous gardons des parcours en Afrique, notamment à Kigali (Rwanda) ; nous sommes présents en Espagne, et il y a d’autres opportunités à suivre notamment sur le continent africain.

Qu’est-ce que le modèle « à la française » que vous portez a de différent ?
P.-A. U. : Avant tout, il faut savoir que nos deux entités ont des cultures similaires : Saint-Aubin, géré par Bluegreen, a été construit par les fondateurs de UGolf (NGF à l’époque). Nous avons les mêmes racines. Ce qui fait notre force, c’est la création de valeurs par la création de golfeurs. Nous proposons des packs tout-inclus avec des cours, l’accès au parcours et la mise à disposition de matériel à prix maîtrisé. Notre volonté de mettre le joueur rapidement en situation de jeu est décisive. Aux États-Unis, le cours individuel est roi. Nous préférons la mise en situation de jeu rapide, dans les cours collectifs, parce qu’on peut se comparer aux autres. Cela a un atout psychologique important : cela permet de voir au début qu’on est aussi « nul » que l’autre, ce qui chasse la frustration. La convivialité est aussi un pan de notre manière de voir le golf.

Cette capacité à « créer » des golfeurs fait la différence. Elle s’est vue en 2021, avec un marché très dynamique, qui a connu un rebond de 8,5% par rapport à 2020 (11,5% chez UGolf). Il y a en France un vrai travail de changement de culture. Il faut intégrer la culture de l’accessible, montrer que le golf est marrant, fun. On met de la musique pour les enfants au practice – pour les adultes également. Le golf a tour à tour été perçu comme un sport, puis comme un loisir ; il devient un divertissement, à la demande des clients. Même si nous défendons la culture de l’association sportive, du jeu en équipe, nous voyons bien que, dans leur première intention, les gens veulent se divertir ».
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# AGREF : À LA RENCONTRE DE JEAN RUAS
Le Billet Vert vous emmène au long cours à la découverte de la communauté de l'Agref. Nous sommes allés à la rencontre de Jean Rusa, intendant du Golf de Seignosse (Landes).

Qui êtes-vous ?
Jean Ruas : "J’ai 30 ans, Diplômé de l’école d’Intendant en 2013. Suite à ma formation, j’ai été embauché comme adjoint au Golf de la Grande Bastide pendant 4 ans. J’ai assisté à la Ryder Cup 2018 avec Richard Meyrieux, mon intendant, pendant laquelle j’ai pu observer la perfection de l’entretien, et tous les détails de finition dans la préparation du parcours. Cela a été un déclic pour moi, cela m’a donné envie de travailler à la préparation des grandes compétitions, et après avoir rencontré Mike O’Keefe qui gère l’Ohio Program aux Etats-Unis, j’ai effectué les démarches pour intégrer sa formation en avril 2019 pour un total de 18 mois. J’ai commencé comme assistant en formation sur le parcours de Firestone, qui est un golf privé de 56 trous qui recevait une épreuve du WGC. Cela m’a permis d’améliorer mon anglais, ce fut très formateur.
Puis je suis parti un an en Californie à Pebble Beach sur le Links (NDR : il y a 5 parcours) pour travailler à la préparation de tournoi ainsi que sur la création du nouveau 9 trous signé par Tiger Woods. Il a dessiné un parcours uniquement constitué de par-3. L’idée est de proposer du golf pour tous types de niveaux, car professionnels et débutants apprécieront le tracé, tout en prenant du plaisir. Un grand putting green est le théâtre de concours entre amis.
De retour en France, je me suis orienté vers le Sud-Ouest (mes origines), et j’ai été recruté comme adjoint à Seignosse, puis j’ai remplacé l’intendant parti en novembre 2020.
 
Présentez-nous votre équipe ?
Notre équipe est constituée de 7 CDI, bientôt huit car nous recrutons un mécanicien qui manquait à l’équipe. Nous avons un fontainier et des jardiniers, ainsi que deux alternants, l’un en bac professionnel et l’autre à Dunkerque. Pour la haute-saison, nous prenons deux CDD en complément. Ce sont plutôt des jeunes, la majorité des jardiniers se situe entre 25 et 35 ans. C’est une équipe dynamique et soucieuse du détail. Pour recruter un jardinier ou un saisonnier, j’utilise surtout le bouche-à-oreille ou des candidatures spontanées. Pour des postes plus spécifiques j’utilise l’ensemble des plateformes qui s’offrent à nous : la ffgolf, Pôle Emploi, l’Agref et surtout le réseau.
(...)

(...)
Quelles sont les principales opérations pour vous en dehors des classiques rituels saisonniers ?
"Nous voyons l’échéance de 2025 et l’interdiction des produits phytosanitaires arriver. Notre golf est dans une pinède avec des arbres de 30 à 50 ans, ce qui apporte beaucoup d’ombrage et peu d’air circulant. Il a fallu élaguer et abattre les sujets qui posaient des problèmes sur le plan agronomique et du point de vue du jeu. Cela a libéré de la lumière pour notre gazon. Nos hivers sont consacrés à cette tâche depuis 2 ans.
Nous travaillons aussi à une conversion de flore sur nos greens avec un maximum d’agrostis en pratiquant des passages fréquents de réensemencement.
Sur les fairways, nous utilisons un Ray-grass anglais de dernière génération qui est rhizomateux pour lutter notamment contre le dollar spot. Ces Ray-grass de dernière génération sont aussi adaptés à des conditions assez sèches, nous réduisons ainsi nos consommations d’eau.
Nous sommes aussi en réflexion sur l’arrosage et la gestion des apports d’eau. Notre sol est sablonneux donc l’eau s’infiltre vite même si notre pluviométrie est plutôt avantageuse.
Nous nous concentrons sur les surfaces de jeu nobles en laissant faire la nature sur les zones forestières, ce qui nous libère beaucoup de temps.
Autre point, il fallait traiter une couche épaisse de matière organique grâce à des opérations mécaniques pour faire remonter du sable et éviter les maladies qui pourraient s’y développer.
Enfin, nous allons procéder à des essais de conversion de flore en utilisant des variétés de gazon plus robustes face aux maladies et aux conditions sèches tels que les bermuda grass ou les fétuques élevées.
 
Quelles sont les principales évolutions de votre métier ?
Il va changer avec la loi Labbé qui s’appliquera en 2025. Nous amorçons déjà le mouvement pour anticiper, mais il va falloir communiquer auprès des joueurs qui ne savent pas à quoi ils seront exposés. Il y aura plus de maladies sur les greens et beaucoup plus d’espèces adventices sur les zones de jeu. Nous aurons besoin de davantage de moyens humains, mais le coût des matières premières va fortement augmenter, ce qui va grever nos budgets ! L’équation sera compliquée à résoudre, c’est pourquoi il va falloir prévenir les joueurs que les parcours ne seront pas entretenus de la même façon. On attend une évolution des outils mécaniques, l’arrivée de robots notamment, qui sera bienvenue. On devra gérer différemment nos golfs. On voit bien le développement de hauts roughs un peu partout, car on doit tous gérer notre espace intelligemment.
(...)

(...)
Comment cohabitez-vous avec les golfeurs, pouvez-vous nous donner un aperçu de la tendance actuelle ?
Quand on communique avec eux, ça se passe très bien ! Il faut leur parler pour expliquer nos opérations. Malheureusement les consignes ne sont pas toujours respectées comme les pitches non relevés et les bunkers non ratissés. Cela sera encore plus important sans les phytosanitaires après 2025 ! Tout le monde doit participer à cet effort, y compris les joueurs. Nous avons une forte fréquentation toute l’année, donc nous essayons de minimiser nos nuisances pour les joueurs mais il faut que chacun s’adapte à l’autre. Comme le disait la campagne fédérale il y a quelques années, le jardinier doit rester prioritaire sur le terrain.

En conclusion ?
Le greenkeeping est un métier de passionné, et nos équipes le sont, quel que soit le poste. Le changement des prochaines années doit se faire en équipe au sein des golfs et en collaboration avec le reste des salariés des golfs et les joueurs. J’espère qu’on va enfin voir le golf comme un acteur respectueux de l’environnement ! Mais pour cela, tous les acteurs du golf ont un rôle à jouer !
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#NATIONAL GOLF WEEK :
C'EST LA SEMAINE PROCHAINE !

C'est la dernière ligne droite avant la première édition de la National Golf Week, le Billet Vert en a profité pour interroger Charles-Henri Bachelier, président de Versicolor Sports.

Quelles sont les principales évolutions depuis le Mondial du Golf ?
CHB : "La National Golf Week n’a quasiment plus rien à voir avec le Mondial du Golf. Mis à part le fait de proposer une tente géante pour regrouper tous les exposants à l’abri, tout est nouveau dans cet événement ! L’histoire a débuté en prenant une participation majoritaire dans golf#together qui organise les Trophées du Golf pour rapprocher nos deux événements. Son créateur, Antoine Robin, a proposé un nouveau tournoi professionnel en match play sur 6 trous sur l’Albatros à Pascal Grizot, qui lui a demandé de monter en partenariat avec Versicolor une grande semaine du golf intégrant le Mondial et les Trophées !
Aujourd’hui, c’est un événement prometteur qui devrait répondre aux attentes de tous les types de golfeurs, qu’ils soient fans de jeu, obsédés de technique, voyageurs, etc.

Etes-vous satisfait de la réponse du marché concernant les exposants ?
Absolument. On a toujours dit qu’on essaierait de faire la synthèse des attentes du marché. Je pense que cet événement y parvient avec tous ses grands moments, le Match Play, les exposants, le fitting, les compétitions pour les amateurs, et bien sûr le lieu mythique qu’est le Golf National, écrin de la Ryder Cup 2018 et des Opens de France. Tout ceci fait que l’industrie et les professionnels ont adhéré massivement au projet. J’en profite pour les remercier car rien n’aurait pu se faire sans eux bien évidemment !
(...)

(...)
Avez-vous senti une différence dans votre relation aux marques dans la préparation de l’événement ?
Le concept du Mondial à Mantes, malgré le site magnifique, ne répondait pas tout à fait à leurs attentes. Organiser l’événement sur un golf leur convient mieux, c’est plus attrayant pour valoriser leurs activités et leurs produits. Résultat, nous aurons deux fois plus d’exposants qu’au dernier Mondial.

Y a-t-il des éléments que vous aimeriez intégrer dans les prochaines éditions ?
Probablement un concours d’approches spectaculaire avec les pros, depuis la plateforme ou seront placées les structures vers les greens du 18 ou du 15, et pourquoi pas un concours de long drive.
Nous voulons aussi développer la partie exposition qui doit s’agrandir car nous n’avons plus d’espace disponible dès la première édition !
L’idée du reformatage de l’événement au Golf National doit permettre de lui donner une dimension européenne : le National Match Play pourrait être constitué de 16 équipes françaises et 16 équipes européennes, pour créer une petite Ryder à l’échelle européenne, et attirer un public plus international.

Vous organisez d’autres salons, pouvez-vous nous les présenter rapidement ?
Versicolor a une profonde affection pour les activités outdoor. A partir de 2023, nous lancerons le Mondial de la Pêche, qui était prévu en 2022 pendant le 1er tour des présidentielles, ce qui nous a contraints à le reporter.
Depuis 24 ans, nous organisons à Mantes le salon de la Chasse et de la Faune Sauvage, qui est le 1er en Europe, et qui ouvrira ses portes la semaine prochaine. Nous attendons un total de 45 000 visiteurs.
Enfin, nous organisons en juillet un salon plus culturel autour des oiseaux migrateurs dans la Somme depuis 2011."

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# LES BRÈVES DU BILLET VERT

Attention les qualifications pour la finale de la Beachcomber Golf Cup ont commencé !
C'est déjà en cours au Golf de Saint-Cloud, et plusieurs dates sont annoncées au mois d'avril : le 3 à Sainte-Maxime, le 16 à Cabourg le Home, le 18 à la Boulie.
Les clubs participants 2022 sont :
- en Ile de France : Saint-Cloud, La Boulie, Isabella et le Prieuré
- Nord-Ouest : Cabourg le Home et Pléneuf Val André
- Nord-Est : Chantilly la Forêt, Mormal, Nancy-Pulnoy, Metz-Cherisey, Soufflenheim, Dijon-Norges et Roncemay
- Sud-Est : le GCL, le Gouverneur, Chamlong, Esery, Bresson et Sainte-Maxime
- Sud-Ouest : Oléron, la Marterie, Toulouse, Seignosse et Palmola. 

Le principe pour ceux qui skiaient le mois dernier : une formule originale en double et en match play sur 6 trous.
Chaque club qualifie une équipe pour la finale au Golf de Saint-Germain le 10 octobre. Les 4 meilleures équipes auront le privilège de partir 4 jours au mois de novembre à Maurice au Trou aux Biches Beachcomber Golf Resort & Spa et joueront la grande finale à Mont Choisy le Golf (vol, hébergement, repas, golf inclus).

Plus d’infos sur www.beachcombergolfcup.com

# P..., 18 ANS ! 
C'est là qu'on voit que nous ne sommes plus aussi verts que notre Billet, déjà une majorité, 3 mandats présidentiels et demi, que ces défricheurs de Fairways Magazine sévissent ! Au début, certains les prenaient pour des ados remuants, bien décidés à bousculer leurs parents si conventionnels ! Comme disait Jean-Claude à Brigitte : "ne t'en fais pas chérie, ça ne durera pas...il faut bien que jeunesse se passe."
Finalement l'ado a mûri sans se renier, alors on lui souhaite un bon anniversaire !
#MULLIGAN
La rubrique recrutement de l'ADGF

Voici les derniers mouvements communiqués par l'ADGF :
  • Damien LESAVRE, qui rejoint Véronique Briola en tant qu'Adjoint de Direction au Golf de la Vaucouleurs.
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PARLEZ-NOUS DE VOUS !
Vous êtes un acteur du golf en France, vous avez des choses à dire ? Le Billet Vert vous aidera à les exprimer !

lebilletvert@c-together.com 

Vous brûlez d'impatience de profiter de cette newsletter pour annoncer, valoriser l'image de votre marque auprès de nos 6 000 contacts qualifiés ?

On est d'accord pour vous aider :-)

Contactez-nous pour connaître les formats et tarifs que vous propose Le Billet Vert 

Le Billet vert est la newsletter mensuelle du golf business. Elle est droppée chaque mois dans vos boîtes mails aux alentours du 18. Ce numéro a été envoyé à plus de 6 000 destinataires, professionnels du golf, du sponsoring et de la communication, grâce notamment à la collaboration de la Fédération française de golf, PGA FranceUGolf, Bluegreen, l’Association des Directeurs de Golfs de France (ADGF) et l'Association Française des Personnels d'Entretien de Golfs (AGREF).

Le Billet vert n’a d’autre ambition que d’accompagner vos initiatives personnelles et de dresser avec vous, pas à pas, le constat d’un mouvement collectif en direction de la promotion du golf. Mois après mois, Le Billet vert gagnera en consistance grâce à vous, avec votre soutien, après ces premiers pas encore vacillants. Le Billet vert ne se fera pas sans vous. Nos informations nous sont précieuses, tout autant que votre partage : n’hésitez pas à inscrire tous ceux que vous aimez – ou pas – et à inviter les autres à adhérer à notre newsletter.

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Antoine Robin                        Frédéric Pelatan
arobin@c-together.com           fpelatan@gmail.com
@TonioRobino                         @fpelatan






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