L' « art » est quelque chose d'intuitif, d'imprécis et de subjectif, une compétence cultivée par la pratique et l'imagination. La « science » est quelque chose de recherché, de mesuré et d'objectif.
Apprenez des techniques, des ressources et des stratégies pour améliorer vos compétences en histoire familiale au Québec.
Restez à l'écoute pour plus de détails !
Nos bénévoles de la conférence travaillent fort pour développer notre programme de trois jours. Nous annoncerons nos conférenciers au fur et à mesure qu'ils seront confirmés.
Date et l'heure : Jeudi, 20 août 2020 - 19h30 HAE Présenté par : Heather McNabb, Ph.D. - Archiviste de référence, Centre d’archives et de documentation Langue : français
Découvrez comment les ressources en ligne et en personne du Musée McCord peuvent vous aider dans votre recherche d’informations généalogiques. Le Musée McCord est plein d'objets liés aux individus et aux familles, à leur vie quotidienne, leur travail et leurs loisirs. Des photographies, peintures, gravures, dessins, fonds d'archives, et plus encore, l'accent n'est pas seulement mis sur Montréal et les Montréalais, mais comprend également d'autres régions du Québec.
Ce webinaire expliquera comment rechercher des images, des objets, des documents d’archives numérisés et d’autres ressources peu connues, disponibles sur le site Web du Musée McCord. Il présentera également au spectateur des informations supplémentaires qui peuvent être découvertes lors d'un rendez-vous au Centre d'archives et de documentation. Cela comprend un aperçu rapide du contenu de la base de données interne et des instruments de recherche analogiques pour les parties des archives photographiques Notman non encore cataloguées.
Date et l'heure : Lundi, 31 août 2020 - 07:00 HAE Présenté par : Mickaël Mange Langue : Français
Ce webinaire est organisé par les webinaires MyHeritage. Veuillez noter que ce webinaire ne sera pas enregistré et sauvegardé sur notre site web puisqu'il provient de MyHeritage.
En France ce sont principalement les sites d’archives départementales et municipales qui constituent les premières sources de documents généalogiques. Grâce à ce webinaire, vous apprendrez comment rechercher et exploiter les informations de ces différentes archives et vous découvrirez que d'autres fonds sont à notre disposition afin de nous aider à progresser dans nos recherches familiales.
Le Bas-Saint-Laurent est située sur la rive sud de l'estuaire du Saint-Laurent. Sa géographie est marquée par le fleuve Saint-Laurent, la chaîne des Appalaches, qui traverse la région d'est en ouest ainsi que les deux vallées de la Matapédia et du Témiscouata, qui forment des corridors de communication naturels avec la Gaspésie, le Maine et les provinces maritimes.
Le Bas-Saint-Laurent est divisé en huit municipalités régionales de comté. Il est bordé au sud par l'État du Maine et le Nouveau-Brunswick, et par les régions de Chaudière-Appalaches et de Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.
La ville de Rimouski est le principal centre urbain du Bas-Saint-Laurent, situé sur la rive sud du Saint-Laurent, à l'est de la ville de Québec. Située à 325 km de la capitale du Québec, la ville est la métropole économique, sociale et culturelle de la région. On y trouve plusieurs institutions régionales importantes, comme l'Université du Québec à Rimouski, le cégep de Rimouski, l'archidiocèse catholique romain de Rimouski, le palais de justice, l'administration publique fédérale et provinciale, et l'hôpital régional de Rimouski, le plus important centre hospitalier de l'est du Québec.
Vous trouverez ci-dessous les ressources ajoutées au cours des dernières semaines pour la région 01 - Bas-Saint-Laurent à la page Liens de ressources de notre site Web. Si vous connaissez des sites Web liés à cette région qui pourraient vous aider dans vos recherches sur l'histoire des familles, veuillez nous en faire part.
Transcriptions des cimetières
Vous avez des difficultés à trouver des informations sur la sépulture de vos ancêtres ? Les transcriptions des pierres tombales sont une source précieuse d'informations généalogiques car elles comprennent souvent les dates de naissance et de décès ainsi que les noms des conjoints, des enfants et des autres membres de la famille. Certains sites web contiennent également des informations biographiques sur la personne décédée qui pourraient vous aider dans vos recherches.
Find A Grave
La base de données Find A Grave comprend les transcriptions de plus de 100 cimetières dans 73 localités du Bas-Saint-Laurent.
Voici un exemple de ce que vous pouvez trouver sur la base de données Find A Grave.
Journaux numérisés
Le lien vers les journaux numérisés suivants du site de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) a été ajouté à notre section Liens de ressources pour la région du Bas-Saint-Laurent.
Divers
Les Premières Nations du Bas-Saint-Laurent : à la rencontre des Malécites !
Ce lien de ressource est un blogue qui contient une grande quantité d'information sur les Premières nations du Bas-Saint-Laurent. En voici un extrait :
En entrant dans la région depuis Québec, vous passerez par le charmant village de Kamouraska. Il s’agit du premier village au nom autochtone que vous rencontrerez, et il fut un lieu d’installation des premiers colons de la Nouvelle-France en 1694. Son nom viendrait du micmac kamoo qui signifie « étendue » et d’askaw, pour « foin » ou « quenouilles », ce qui nous amène à la traduction « étendue de jonc ». Kamouraska pourrait aussi venir du mot algonquien* akamaraska qui voudrait dire « il y a quenouilles au bord de l'eau ».
Pour accéder à tous les liens de ressources ci-dessus, consultez la section Liens de ressources générales sur notre site Web.
Restez à l'écoute pour notre prochain bulletin où nous nous concentrerons sur la région administrative 02 - Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Si vous avez trouvé un lien de ressource intéressant qui ne se trouve pas sur notre site Web, veuillez nous en informer et nous l'ajouterons.
Le saviez-vous ?
Quelques faits intéressants de Bas-Saint-Laurent
Saviez-vous que Saint-Louis-du-Ha ! Ha !, une municipalité paroissiale du comté régional du Témiscouata, est la seule municipalité au monde à avoir deux points d'exclamation dans son nom ?
Saviez-vous que le Bas-Saint-Laurent possède le deuxième plus grand lac au sud du fleuve Saint-Laurent? Il s’agit du lac Témiscouata
(ou Cecimiscouata comme il était appelé autrefois). Son nom est composé de timi (transformé en témi) qui signifie « profond » et esgateg ou goateg, devenu scouata, traduit par « lac ».
Saviez-vous que que Rimouski est le site de la plus grande catastrophe maritime du Canada ? Le RMS Empress of Ireland était un paquebot qui a coulé près de l'embouchure du fleuve Saint-Laurent, près de Rimouski, à la suite d'une collision dans un épais brouillard avec le cargo à vapeur norvégien SS Storstad, aux premières heures du 29 mai 1914. Bien que le navire ait été équipé de compartiments étanches et qu'il ait transporté, au lendemain de la catastrophe du Titanic deux ans plus tôt, plus qu'assez de canots de sauvetage pour tout le monde à bord, il a coulé en seulement 14 minutes.
Sur les 1 477 personnes à bord, 1 012 sont mortes, ce qui en fait la pire catastrophe maritime de l'histoire canadienne en temps de paix. Il existe à Rimouski un mémorial et une fosse commune identifiant tous les morts.
L'épave repose dans 40 mètres d'eau, ce qui la rend accessible aux plongeurs confirmés. De nombreux artefacts ont été récupérés de l'épave, dont certains sont exposés dans le pavillon de l'Empress of Ireland au Site historique maritime de la Pointe-au-Père à Rimouski.
André-Carl Vachon n’a plus besoin de présentation auprès des férus d’histoire des Acadiens. Auteur de sept ouvrages en six ans, il a également participé à deux collectifs. Sa période historique de prédilection est celle de la Conquête, mais il a aussi écrit sur l’histoire de l’Acadie, permettant ainsi à ses lecteurs de mieux saisir le contexte historique des déportations.
Dans son plus récent opus, André-Carl Vachon se concentre sur l’une des conséquences du Grand Dérangement, soit l’arrivée de réfugiés acadiens en Nouvelle-France entre 1755 et 1763. Plusieurs historiens ont écrit sur le sujet, mais il subsiste des éléments à éclaircir. Entre autres, les auteurs ne s’entendent pas sur leur nombre. Ils se contredisent aussi quant au traitement que leur a réservé la population de la vallée laurentienne. Dans son essai, l’auteur a pour but de préciser le nombre d’Acadiens réfugiés en Nouvelle-France, puis d’analyser leurs différents mouvements migratoires et, enfin, de recenser les Acadiens ayant participé au siège de Québec en tant que miliciens.
Dans son premier chapitre, M. Vachon se questionne sur le nombre d’Acadiens s’étant réfugiés en Nouvelle-France lors de la guerre de Sept Ans. Loin d’être un simple calcul mathématique, l’exercice se devait d’être refait avec méthode, car en tentant de répondre à cette question, plusieurs historiens se sont perdus en conjectures. Lequel d’entre eux exposait le portrait le plus réaliste? Dans son ouvrage, l'auteur nous offre une réponse des plus précises tout en rendant compte de sa démarche. En outre, il prend soin d’indiquer les sources qu’il a consultées et d’offrir des extraits des documents qu’il a examinés. Dans le deuxième chapitre, M. Vachon démontre que les Acadiens n’étaient pas encore au bout de leur peine une fois arrivés en Nouvelle-France. Il y établit de façon claire et précise les étapes de leur migration causée par la guerre et le régime militaire. Dans le troisième chapitre, l’auteur examine la participation de miliciens acadiens à la bataille des Plaines d’Abraham en septembre 1759, puis à celle de Sainte-Foy, en avril 1760. Il identifie 156 hommes en âge de combattre et s’attarde au rôle qui leur aurait été assigné dans le cadre de ce conflit.
André-Carl Vachon a bien atteint les trois objectifs qu’il s’était fixés au départ. Avec ce livre, il contribue à mieux faire comprendre le sort des Acadiens réfugiés en Nouvelle-France entre 1755 et 1763. Non seulement il fournit les statistiques servant à établir leur nombre, mais de surcroît, il fait le bonheur des généalogistes en les identifiant. Des listes de passagers de bateaux et autres recensements constituent le contenu de quinze annexes placées à la fin de l’essai. Enfin, le lecteur qui souhaite approfondir ses connaissances sur cette période de l’histoire aura l’embarras du choix parmi les titres cités en bibliographie. Cette publication deviendra rapidement un ouvrage de référence que vous prendrez plaisir à feuilleter.
VACHON, André-Carl. Les Réfugiés et miliciens acadiens en Nouvelle-France, Éditions La Grande Marée, 2020, 333 pages.
Le site The DNA Geek annonce que la barre des 35 millions de tests ADN généalogiques vendus est atteinte.
Dans son dernier article AncestryDNA Breaks 18 Million Customers! , The DNA Geek donne un état des lieux du volume des ventes des kits de tests ADN à but généalogique dans le monde.
La barre des 35 Millions de kits vendus vient d’être atteinte en juillet 2020.
Ce chiffre impressionnant montre bien l’ampleur de l’engouement pour type de service à travers le monde, bien poussé il est vrai par des investissements publicitaires conséquents dans de nombreux pays.
Les tests ADN généalogiques en France
Pour rappel, vendre ou acheter un test ADN est toujours interdit sur le territoire Français. Un acheteur contrevenant français risque de payer une amande de 3750 €. Pourtant, un rapport du sénat estime qu’un million de français ont déjà effectué un test ADN généalogique en passant par des sociétés étrangères. Aucun n’a fait l’objet de poursuites, pour le moment. (Source : Geneanet – Geneanet lance un nouveau service, Geneanet ADN)
Cette interdiction, même contournée, explique sans surprise la faible présence de français parmi les 35 millions de testeurs à l’échelle mondiale.
Conséquences pour les généalogistes français
Bien entendu, l’intérêt des sociétés qui vendent des tests ADN généalogiques va être de communiquer sur ces 35 millions de potentiels cousins génétiques.
En consommateur(trice) averti(e), vous savez maintenant que, en raison de la faible densité de testeurs originaires de France, seule une toute petite partie de ces cousins génétiques seront assez proches génétiquement pour que vous puissiez les identifier dans votre arbre généalogique. Sinon, quel est l’intérêt… ?
N’attendez donc pas de miracles dans l’immédiat.
Nathalie Jovanovic-Floricourt, dans son excellent livre L’ADN, un outil généalogique, explique avec expertise et honnêteté ce que l’on peut réellement attendre des résultats d’un test ADN.
Le classement des sociétés de vente de test ADN généalogiques
Dans le même article, The DNA Geek dresse le classement des sociétés vendeuses de ces tests ADN :
AncestryDNA : 18 millions de tests vendus
23andMe : 12 millions
MyHeritage : 4 millions
FamilyTreeDNA : 1,8 millions
Un graphique très explicite au niveau mondial, qu’il faut mettre en balance avec la situation européenne, territoire cible de MyHeritage, selon l’auteur de l’article.
Événements à venir
Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir tous les événements à venir pour les membres de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FQSG) :
Date et l'heure : Jeudi, 20 août 2020 - 19h30 HAE
Date et l'heure : Lundi, 31 août 2020 - 07:00 HAE
Le Bas-Saint-Laurent est divisé en huit municipalités régionales de comté. Il est bordé au sud par l'État du Maine et le Nouveau-Brunswick, et par les régions de Chaudière-Appalaches et de Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine.
La ville de Rimouski est le principal centre urbain du Bas-Saint-Laurent, situé sur la rive sud du Saint-Laurent, à l'est de la ville de Québec. Située à 325 km de la capitale du Québec, la ville est la métropole économique, sociale et culturelle de la région. On y trouve plusieurs institutions régionales importantes, comme l'Université du Québec à Rimouski, le cégep de Rimouski, l'archidiocèse catholique romain de Rimouski, le palais de justice, l'administration publique fédérale et provinciale, et l'hôpital régional de Rimouski, le plus important centre hospitalier de l'est du Québec.
qui en fait la pire catastrophe maritime de l'histoire canadienne en temps de paix. Il existe à Rimouski un mémorial et une fosse commune identifiant tous les morts.
André-Carl Vachon n’a plus besoin de présentation auprès des férus d’histoire des Acadiens. Auteur de sept ouvrages en six ans, il a également participé à deux collectifs. Sa période historique de prédilection est celle de la Conquête, mais il a aussi écrit sur l’histoire de l’Acadie, permettant ainsi à ses lecteurs de mieux saisir le contexte historique des déportations.
