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Le Business Science Institute et la Fondation Nationale pour l'Enseignement de la Gestion des Entreprises (FNEGE) lancent un programme original visant à aider les diplômés de DBA à augmenter leurs impacts académiques et managériaux !     
L’objectif de ce programme est de faciliter la rédaction, par les praticiens docteurs, d’un article et de l'envoyer à une revue classée avant la fin du programme. A l’issue de celui-ci, les participants obtiennent un Certificat de Recherche Avancé délivré par l’IAE Bordeaux, le Business Science Institute et la FNEGE.    

Pour les étudiants retenus, le démarrage a lieu la première semaine de janvier 2021. Ce programme sera coordonné par les professeurs Michel Kalika et Jean-Fabrice Lebraty.

Lire le communiqué de presse

                 

Contact: info@postdba.org
https://www.business-science-institute.com/programme-post-dba/

Retrouvez les résultats de l'enquête de satisfaction, réalisée à l'aide du logiciel SPHINX, par le Professeur Jean Moscarola auprès des participants à la 6e semaine internationale du Business Science Institute qui s'est déroulée entièrement online en raison de la crise sanitaire actuelle.
106 répondants (Professeurs, docteurs, doctorants et membres de l'équipe managériale) ont participé à cette enquête.


                                   



En comparaison, les résultats de l'enquête de satisfaction réalisée en 2019 qui montrent un taux de satisfaction s'élevant à 9/10.

Les verbatims de l'enquête de satisfaction 2020 montrent clairement que si techniquement tout s'est globalement bien passé durant cette semaine, il a manqué la dimension relationnelle :

"Les soutenances de Certificat et de thèse doivent être publiques, ainsi que les cérémonies de remise des diplômes". 
"Je tiens encore à tirer mon chapeau à toute l’équipe du BSI pour la belle organisation. C’était Génial ! Un coup de Maître"
"Le séminaire était bien au niveau de l'organisation mais la rencontre entre Doctorant et professeur n’était pas vivante".
"L’organisation et le déroulement ont été excellents. Un regret tout de même : même si c'est très (et plus) confortable en tant que participant professeur en visio, je suis intimement convaincu de la nécessité de réunir au moins 1 fois par an le maximum de la communauté BSI en présentiel... au Luxembourg, voire à Lyon… "
"Félicitations pour cette organisation sans faille !"
"Les problèmes techniques étaient principalement dû aux enseignants et étudiants, et n'étaient pas imputables au BSI. Bravo !"
"Une "salle de convivialité" ouverte en permanence à tout le monde aurait pu être une bonne idée. La proposition du "Meet & Lunch" était un peu compliquée pour moi... entre tout, il fallait manger (et je ne me sentais pas de manger devant ma caméra et parler aux étudiants."
"Visiblement, la rencontre docteur/doctorant a été très très appréciée.. . Pourquoi ne pas ne pas faire cette rencontre tous les mois en virtuel ?"
"Même à distance, Michel Kalika a réussi a créé une atmosphère amicale et conviviale. Cela m'a fait plaisir de revoir mes collègues durant cette semaine. Et puis grâce à la team, je pouvais discuter par tchat avec eux."
"La présence des membres de la team à chaque soutenance était très rassurante et permettait de faire "comme si" on était à Wiltz".
"Bravo pour votre organisation en amont et durant la semaine !"
"Les réunions (conférences, soutenances de thèse, etc. ) virtuelles ne sont pas idéales, ne valent pas le présentiel mais étant donné la situation c'était la solution. Ce séminaire a été très bien organisé grâce à la préparation technique et grâce à l'écoute permanente et à la compétence des membres de l'équipe".
"Bien que la semaine internationale ait été une vraie réussite cette année, je n'ai pas mis la note de 10/10 car je préfère, quand même, une semaine internationale en face-à-face ;-)"
"Ce fut un moindre mal. Bravo d’avoir ainsi su vous adapter. Mais surtout, n’oublions pas la puissance des rencontres physiques et le charme singulier de Wiltz et de son château".

Le Conseil Académique du Business Science Institute, présidé par le professeur Jean-Pierre Helfer, a initié un nouveau statut pour les docteurs publiants : "Business Science Institute Associate Researcher". Après acceptation de leur dossier par les membres du Comité Académique, les chercheurs associés peuvent utiliser cette dénomination dans leurs publications, leurs posts sur les réseaux sociaux et le faire figurer sur leur profil Linkedin pendant une durée de 3 années. Ils ont par ailleurs accès à Ebsco, Moodle ainsi qu'à une carte de visite "Business Science Institute Associate Researcher".

Les chercheurs associés sont à ce jour au nombre de 10 : Cédric Baudet, Malik Bouacida, Sébastien Bourbon, Constantin Dabire, Bécaye Diarra, Touba Fall, Hédi Guelmami, Thierry Lamarque, Papa Modou Ndiaye et Dramane Sidibe.

Rencontre avec le Professeur Emmanuel Kamdem, membre de la Faculté du Business Science Institute.

Aline : Bonjour Pr. Kamdem pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?
Emmanuel Kamdem : Je suis professeur des universités. Mon itinéraire de formation académique en Europe s’est construit dans plusieurs champs disciplinaires impliquant la psychologie, la sociologie, l’anthropologie et le management. Mes expériences en Afrique et en dehors de l’Afrique ont été conduites principalement dans trois axes : l’enseignement, la recherche et la production scientifique ; la création et/ou la direction d’établissement de formation en management au Cameroun ; le renforcement des compétences managériales des cadres et dirigeants africains lors des séminaires de perfectionnement. 

Aline : Quelles sont les raisons qui vous ont conduit à rejoindre le Business Science Institute ?
Emmanuel Kamdem : J'ai rejoint le Business Science Institute, en 2016, à la demande du professeur Michel Kalika. J’ai accepté sa proposition pour deux raisons principales. D’abord, l’originalité du projet académique qu’il a élaboré et mis en œuvre pour l’implication des managers praticiens dans la création de la connaissance. Ensuite, la forte demande des managers praticiens africains de s’engager dans cette voie pour donner un nouvel essor à leur carrière professionnelle.

Aline : Comment le DBA est-il perçu sur le continent africain ? Et comment envisagez-vous l’avenir de l’enseignement supérieur ?
Emmanuel Kamdem : Le DBA, principalement celui offert par le Business Science Institute, connaît un succès croissant en Afrique. Cette affirmation est justifiée par le constat actuel qui indique qu’environ le tiers des doctorants de ce programme doctoral sont soit des entrepreneurs managers africains, soit des entrepreneurs managers dont les travaux de recherche traitent des problématiques africaines de management. Ce constat n’est véritablement pas surprenant, dans la mesure où l’Afrique est engagée depuis les années 2000 dans une dynamique d’émergence économique. Cette dernière se traduit notamment par des taux de croissance économique parmi les meilleurs au monde. Par conséquent, l’avenir de l’enseignement supérieur en Afrique doit se reconstruire par une plus forte implication des praticiens dans la production de la connaissance ; ainsi que par davantage d’implication des entrepreneurs privés dans l’amélioration quantitative et qualitative de l’offre de formation dans l’enseignement supérieur. Le constat est clairement établi, depuis plusieurs années, que l’État seul ne peut pas satisfaire la demande exponentielle de formation supérieure en Afrique.

Aline : On évoque souvent « l’Afrique » comme s'il s'agissait d'un seul pays, alors que ce continent est constitué d’un patchwork de pays. Quelles sont les spécificités du Cameroun par rapport aux autres pays africains?
Emmanuel Kamdem : Les spécificités du Cameroun en Afrique peuvent être appréhendées à différents niveaux. D’abord le Cameroun est généralement présenté à travers la métaphore très significative de « L’Afrique en miniature ». Sur le plan historique, le Cameroun a connu trois expériences coloniales (allemande, anglaise et française) dont on observe encore aujourd’hui des formes de survivance dans les comportements individuels et collectifs. Sur le plan linguistique, ce contexte historique a permis l’émergence d’un pluralisme linguistique avec deux langues officielles (français et anglais), en plus des langues communautaires nationales. Sur le plan religieux, le pays connaît aussi un syncrétisme religieux principalement construit autour du christianisme, de l’islam et des nouvelles communautés religieuses issues des deux principales religions citées. Sur le plan ethnique, la diversité est tout aussi présente avec environ plus d’une centaine de communautés ethniques répertoriées. Sur le plan géographique et environnemental, en partant du Sud vers le Nord du pays, le voyageur traverse une zone forestière verdoyante, une zone de savane semi-verdoyante et une zone sahélienne qui se rapproche davantage du désert.  

Aline : Quel impact la crise sanitaire actuelle (si jamais elle prend fin réellement) aura-t-elle sur l'avenir du Cameroun?
Emmanuel Kamdem : Comme partout dans le monde, la crise sanitaire de la Covid-19 a déjà eu un impact préjudiciable à l’activité des entreprises et à la croissance économique. C’est ainsi qu’au cours de la deuxième semaine du mois d’octobre, les dirigeants de la principale organisation patronale du pays, le Groupement Inter-Patronal du Cameroun (GICAM) ont été reçus par le Premier Ministre, Chef du Gouvernement. Ils lui ont présenté le « Livre Blanc » qu’ils ont préparé pour passer en revue les difficultés des entreprises camerounaises confrontées à la crise pandémique. Il est donc quasi certain que cette crise a déjà un impact négatif sur l’avenir économique du Cameroun et pour combien de temps encore ? C’est la question préoccupante, compte tenu de ce que l’on observe depuis quelques semaines en Europe ; avec l’arrivée brutale de la deuxième vague pandémique. Toutefois, la capacité de résilience économique, entrepreneuriale et managériale des créateurs des richesses au Cameroun est avérée. Ils l’ont très bien montré en renforçant très rapidement leurs capacités d’appropriation du travail à distance qui était pratiquement nulle avant le début de la crise pandémique.

 Aline : Quels sont les sujets de recherche que vous souhaiteriez voir explorer par les candidats africains au DBA ?
Emmanuel Kamdem : Ces sujets sont nombreux et divers et je me limiterai ici à quelques-uns qui sont susceptibles de permettre une recherche enracinée dans les contextes africains et dans le domaine du management des ressources humaines qui est mon champ d’enseignement et de recherche : l’appropriation du travail à distance ; le management du personnel senior en situation de déqualification professionnelle ; le management des diversités comme facteur de performance organisationnelle ; l’impact de la perception et de l’utilisation du temps sur la performance individuelle et organisationnelle ; le défi de l’émergence du leadership féminin dans un contexte managérial fortement masculinisé ; la conciliation de la vie familiale et de la vie professionnelle ; l’impact des croyances et pratiques religieuses sur le management.  

Aline : Si vous pouviez remonter le temps avec tout ce que vous savez maintenant, quel sujet auriez-vous choisi pour votre thèse de doctorat ?
Emmanuel Kamdem : J’aurais probablement choisi le sujet sur le management des diversités comme facteur de performance organisationnelle. Un tel sujet a l’avantage de permettre un ancrage situé et actualisé, au regard des nombreuses situations de conflictualité managériale et organisationnelle observées dans la quasi-totalité des pays africains. 

Le Professeur Emmanuel Kamdem a co-dirigé, avec Françoise Chevalier et Marielle Audrey Payaud, La recherche enracinée en management. Contextes nouveaux et perspectives nouvelles en Afrique, publié dans la collection Business Science Institute des éditions ems en 2020.

Retrouvez toutes les informations du Professeur Emannuel Kamdem : http://www.kamdemma.com

Fatou Diop Sall, membre de la faculté du Business Science Institute depuis 2015, est la première femme à accéder au titre de Professeure Titulaire des universités-CAMES 2020 en sciences de gestion/marketing d'Afrique de l'Ouest et Centrale.
                             
 

Yves Pigneur, membre de la faculté du Business Science Institute, a reçu le titre de Docteur Honoris Causa du Business Science Institute à l'occasion d'une cérémonie en ligne, durant la 6e semaine internationale, le 1er octobre dernier.

Rencontre avec les deux lauréats du prix de l'impact managérial.

Guy Laurent Fondjo, DBA à distance/2018-2020 

Comment la gestion participative et autocentrée sur les communautés bénéficiaires des structures de microfinance peut-elle contribuer à la réduction de la pauvreté ? Cas de la République de Guinée.

Thèse dirigée par la Professeure Marielle-Audrey Payaud.
 

Jens Hoellermann, Luxembourg DE n°1/2017-2020               

ESG in Private Equity and other alternative asset classes: What the industry has accomplished so far regarding Environmental, Social and Governance matters.
Thèse dirigée par le Professeur André Reuter.

 

Aline :  Bonjour Docteurs, pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?

Guy Laurent Fondjo : Je suis Guy Laurent Fondjo, j’exerce dans le secteur financier depuis 20 ans déjà. J’ai eu à occuper tour à tour les fonctions de Directeur des Systèmes d’Information, Directeur des Ressources Humaines et Directeur Régional au sein du groupe bancaire panafricain Afriland First Bank. Actuellement je suis Administrateur Directeur Général d'Afriland First Bank Guinée et assure la Présidence de l'Association Professionnelle des Etablissements de Crédit de Guinée. Par ailleurs, je joue le rôle de conseiller économique auprès du Gouvernement et de la Présidence de la République de Guinée, en même temps que je siège dans plusieurs Conseils d'Administration de sociétés publiques et privées.  

Jens Hoellermann : Je m'appelle Jens Hoellermann, j'ai plus de 12 ans d'expérience dans la gestion alternative d'actifs, y compris l'administration de fonds et la gestion de fonds, et en tant qu'avocat en fusions et acquisitions. J'ai travaillé, entre autre, pour l'un des plus grands prestataires de services au monde dans le département des services d'administrateur et pour deux grandes sociétés de capital-investissement, supervisant différents types de stratégies d'investissement en Europe et aux États-Unis, et en tant que gestionnaire de portefeuille pour les stratégies de capital-investissement. Je suis aujourd'hui propriétaire et directeur associé d'Intabulis, qui propose des administrateurs non exécutifs indépendants à des structures d'investissement en capital-investissement, en capital-risque, en immobilier, en dette et en infrastructure.

Aline :  Vous êtes les lauréats 2020 du prix DBA de l’impact managérial du Business Science Institute pour votre thèse. Que représente ce prix pour vous ?
Guy Laurent Fondjo : Ce prix, que je reçois avec beaucoup d’humilité, représente la reconnaissance d’une phase d’apprentissage à la recherche menée dans le respect de la lettre et l’esprit d’un DBA, à savoir : produire un travail de recherche de qualité qui respecte la rigueur scientifique, en même temps qu’il apporte des solutions pratiques à nos difficultés managériales et même sociétales. C'est aussi surtout une grande interpellation et une motivation à poursuivre dans la voie de la recherche permanente de solutions aux problèmes que nous rencontrons dans nos organisations, en adoptant la distance et le recul adéquats, liés à notre posture de chercheur. 

Jens Hoellermann :  Je considère ce prix comme une reconnaissance du rôle clé que peut jouer le "Private Equity" pour contribuer au changement social et de l'importance à la fois de l'industrie en tant que telle et de l'ESG. C'est aussi la récompense de trois années de travail acharné et un honneur pour moi, ce qui n'aurait pas été possible sans le formidable soutien de ma famille, de mes collègues et surtout de mon superviseur le professeur André Reuter pour ses réflexions, ses commentaires et ses indications précieuses. Enfin, c'est une incitation et une obligation de faire en sorte que l'ESG reste une priorité sur l'agenda du Private Equity et de mes clients en particulier.
 

Aline :  Quels en sont les impacts ?

Guy Laurent Fondjo : Notre projet de recherche a débouché sur la conception et la mise en place d’une forme d’organisation des structures de microfinance à gestion participative et autocentrée sur les communautés bénéficiaires, ayant une incidence forte sur la réduction de la pauvreté au sein desdites communautés. Le modèle MUFFA-MC2 dont il est question, prend appui sur la communauté pour créer de façon réflexive et itérative un processus de renforcement des capacités intrinsèques des communautés, afin de leur permettre de réduire les pauvretés monétaires, subjectives et multidimensionnelles auxquelles elles font face au quotidien. A titre d’illustration de l’impact, on note qu’en République de Guinée, la mise en œuvre du modèle MUFFA-MC2 a permis en cinq années, d’améliorer substantiellement les conditions de vie de plus d’un million de personnes à travers la centaine de MUFFA et MC2 créées dans l’ensemble du pays. Notre projet ouvre également plusieurs champs de recherche pour le futur.

Jens Hoellermann : À ce jour, 117 entreprises ont été étudiées, représentant 76,2% du total des actifs alternatifs mondiaux. Ma thèse a montré que les gérants alternatifs d'Australie et d'Europe font mieux que ceux de Chine et d'Amérique du Nord, tandis que les entreprises canadiennes accordent plus d'attention que celles des États-Unis. Pour résumer, il a été constaté que de plus en plus de gestionnaires alternatifs mettent en œuvre ces pratiques durables et améliorent davantage leurs approches, et il a été démontré que cela devrait s'accentuer à l'avenir.
 

Aline :  Quels ont été les apports du Business Science Institute dans vos parcours ?

Guy Laurent Fondjo : Ils sont nombreux. Déjà, il a offert au manager que je suis de disposer d’une tribune pour faire de la recherche ; la diversité, la notoriété et l’expérience du corps professoral du Business Science Institute ont créé un terrain fertile à l'imagination et à la production scientifique, au travers notamment des nombreuses interactions opérées avec les professeurs ; la réactivité, la disponibilité et la diligence des équipes support du Business Science Institute ont contribué à faciliter notre processus d’induction et d’apprentissage dans le domaine de la recherche qui nous était totalement nouveau ; le suivi régulier, l’exigence et la rigueur de ma directrice de thèse m’ont permis à chaque fois de faire toujours plus et de maintenir le cap sur la recherche de l’excellence et du travail bien fait ; enfin, les échanges avec des camarades doctorants et d’autres docteurs diplômés du Business Science Institute nous ont permis de traverser avec plus de sérénité, certains moments de découragements ayant jalonné le parcours.

Jens Hoellermann : Etant donné que je possède et gère ma propre entreprise et que le doctorat est peu reconnu dans l'industrie alternative, en particulier au Royaume-Uni et aux États-Unis où se trouvent la plupart de mes clients, l'impact personnel reste limité. Mes clients apprécient toutefois que j'aie effectué des recherches sur l'industrie des actifs alternatifs et reconnaissent mon expertise dans un domaine qui devient de plus en plus important pour eux. Ma thèse m'a fourni une chance unique d'approfondir un sujet durant mes études antérieures. Je suis très reconnaissant au Business Science Institute pour l'excellent soutien reçu et pour les connaissances acquises au cours de discussions et de séminaires, que ce soit avec d'autres doctorants ou avec des professeurs.

                                    

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