Des ambassadeurs de la diversité pour revitaliser les petites collectivités rurales

Une pratique prometteuse encourageant les membres de la communauté d’accueil d’agir comme des ambassadeurs de la diversité pour sensibiliser les gens à l’immigration.

Transitions entre périodes d’emploi et de chômage vécues par les immigrants pendant la période de confinement obligatoire en raison de la COVID-19 et la période de reprise des activités

Au cours de l’interruption générale des activités économiques en mars et avril 2020, le marché du travail canadien a perdu 3 millions d’emplois. Lisez comment les perturbations de l’emploi causées par la pandémie ont affecté les immigrants au Canada.

Les 16 jours d’activisme pour mettre fin à la violence faite aux femmes sont une campagne internationale annuelle qui débutera le 25 novembre avec la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et s’achèvera le 10 décembre, avec la Journée des droits de l’homme. Cette campagne fait office de stratégie d’organisation pour les particuliers et les organisations du monde entier, en vue de la promotion et de la prévention et l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles.

Aujourd’hui, 71 % de toutes les victimes de la traite des êtres humains dans le monde sont des femmes et des filles, trois quarts d'entre elles sont exploitées sexuellement. (ONU, 2020). C’est pourquoi ONU a démarré la campagne Tous UNiS, d’ici à 2030, une initiative pluriannuelle visant à prévenir et à éliminer la violence à l’égard des femmes et des filles partout dans le monde. D’ailleurs, depuis l’apparition de la COVID-19, les données et les rapports provenant de ceux évoluant en première ligne montrent que tous les types de violence contre les femmes et les filles, et surtout la violence domestique, se sont accrus. Lisez la suite de l’impact de la pandémie sur la violence à l’égard des femmes, ici.

Consultez également le programme du Gouvernement du Canada pour la prévention de la violence familiale et son soutien aux personnes en situation d’itinérance et aux femmes qui fuient la violence fondée sur le sexe pendant la pandémie Covid-19.