Dans la morosité de l’entre-deux guerres, un texte français rêvait de lendemains qui chantent et qui seraient donc joyeux.
Actuellement, l’incertitude plane encore après une année de restrictions sanitaires. Au moment où les jours rallongent, où le chant des oiseaux se fait de plus en plus entendre le matin, j’ai envie de regarder devant moi, vers ces lendemains qui s’ouvrent à moi, et de leur sourire ; de les écouter et de les entendre chanter !