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71 millions d'euros levés cette semaine
 
Dans le cadre de ce bilan hebdo des levées de fonds, Maddyness recense l’ensemble des opérations annoncées cette semaine par les startups dont le siège social se trouve en France. Si tous les secteurs d’activité sont éligibles, seules les entreprises âgées de dix ans ou moins apparaissent ci-dessous.
  • Jellyfish acquiert Seelk. Partenaire de marketing numérique de grandes marques (parmi lesquelles Samsung, Uber, Nestlé, Deckers, Spotify et eBay), la filiale du groupe français Fimalac met ainsi la main sur le logiciel et les diverses activités de conseil pour Amazon Marketplace de la startup francilienne – pour un montant non divulgué. Cette opération a été menée dans le cadre d’une démarche bien plus large, visant à intégrer cinq sociétés simultanément. Les jeunes entreprises britanniques Splash et Quill, française Webedia Brand Services et australienne Data Runs Deep sont aussi concernées. Le but de Jellyfish étant d’étendre ses compétences techniques, ainsi que sa présence géographique.
  • EmerCell est rachetée par Onward Therapeutics. La BioTech montpelliéraine, à l’origine d’une plateforme de production de cellules tueuses naturelles, tombe dans l’escarcelle de l’entreprise suisse – pour un montant non communiqué. Sa technologie permettra à cette dernière de fortement renforcer ses capacités de recherche en matière d’immunothérapie des cancers. Les deux entités font ainsi part de leur volonté d’industrialiser la production au plus vite pour développer de nouveaux traitements dans le domaine de l’oncologie.
  • Serena lance le fonds Serena III. Abondé à hauteur de 300 millions d’euros, ce nouveau véhicule d’investissement se concentrera sur l’early stage, mais aussi des séries A et B, avec des tickets pouvant aller jusqu’à 15 millions d’euros. "Contrairement aux précédents, ce fonds va nous permettre d’accompagner les ambitions de certaines de nos startups qui connaissent des croissances phénoménalesa expliqué à Maddyness Xavier Lorphelin, co-fondateur de Serena Capital, évoquant sa frustration passée de n’avoir pas pu suivre toutes les levées de fonds menées par Dataiku. On veut pouvoir suivre leurs tours de financements et maintenir notre pourcentage au capital de ces entreprises."
  • Clermont-Ferrand et Saint-Étienne se lancent dans le capital-risque. Une co-société a été créée par ces deux métropoles de la région Auvergne-Rhône-Alpes afin de participer à la transformation de leurs territoires, confrontés à la désindustrialisation. C’est la première fois que deux collectivités se dotent d’un outil commun pour financer des entreprises. Le premier fonds de SCR Métropoles Innovation vise une taille de 15 millions d’euros. Déjà abondé à hauteur de 2,5 millions par chaque métropole, le véhicule d’investissement piloté par Sofimac Régions constitue un pool de partenaires bancaires et de family offices.
  • Korelya Capital investit dans Wallapop. Le fonds d’investissement, dirigé par l’ancienne ministre française du Numérique et de la Culture Fleur Pellerin et financé par le géant sud-coréen du numérique Naver, a injecté 115 millions d’euros dans Wallapop, application mobile espagnole spécialisée sur l’achat-vente entre particuliers. Une première enveloppe disponible devrait être annoncée vers "mars-avril". Suite à cette opération, Korelya aura investi plus de 300 millions d’euros dans les startups européennes. Pour rappel, Naver met de l’argent dans la tech européenne avec l’ambition de constituer un axe entre l’Asie et l’Europe, capable de contrecarrer la domination des groupes américains et chinois.
L'État prévoit 300 millions d'euros pour financer la GreenTech
 
Le gouvernement vient de finaliser sa "feuille de route" pour un numérique plus vertueux capable de répondre aux problématiques environnementales. Parmi les mesures phares : l'augmentions du reconditionnement des smartphones, tablettes, ordinateurs et une augmentation des aides en faveur des GreenTech.
 
Souveraineté : le risque se trouve ailleurs que dans les rachats de startups
 
Selon une étude de la direction générale du Trésor, qui dépend du ministère de l’Économie, les acquisitions prédatrices de startups par de grands groupes pour étouffer la concurrence restent un phénomène marginal. L’administration estime que l'enjeu de souveraineté se joue au niveau des financements.
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