Que doit faire notre robot ?

Le robot doit être capable de fonctionner de deux façons différentes :

Mode « Autonomie complète »

Sans aucune intervention humaine

C’est le code du robot qui permet à celui-ci de se déplacer : deux  circuits distincts sont chronométrés

Mode « télécommandé »

Intervention d’un pilote qui contrôle les déplacements et les actions du robot sur le terrain

Une première course doit être faite en évitant au maximum les obstacles présents sur le parcours.

Deux autres parcours incluant le récupération de balles à différents endroits du terrain de jeu et le lancé dans la zone de point avec une précision de 100%.

L’équipe Robo’Lyon est officiellement inscrite au Challenge « Innovation » avec son projet « Walk Assistant ».

Ce projet consiste à proposer une aide à la marche pour les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

Description du problème

La maladie de Parkinson se caractérise par une disparition progressive d’une partie des neurones du cerveau. Les conséquences peuvent être multiples, des raideurs musculaires, des « lenteurs » à réagir, de la fatigue. En outre, dans certains cas, elle rend la marche difficile.

Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont souvent des difficultés à marcher.

Solution proposée
 

Nous avons très vite compris, après consultation de médecins spécialisés dans la maladie, notamment les professeurs Thobois et Danaila de l’hôpital Neurologique de Lyon, qu’il serait nécessaire de créer un obstacle pour faire marcher le malade. Pour cela nous imaginons un système à base de laser, permettant de simuler un obstacle aux pieds de la personne atteinte de la maladie de Parkinson. Cet obstacle doit lui permettre de lever et de lancer un de ses pieds, initiant ainsi le mouvement de la marche. 
Nous proposons de créer un boitier comprenant un laser, qui s’accroche à une ceinture et qui envoie un faisceau au sol correspondant à l’obstacle à franchir. 
Le système doit s’adapter à tous les patients, quel que soit leur âge, leur taille, leur morphologie… 
Un de ses atouts principal doit être sa légèreté et sa taille, afin de ne pas surcharger et gêner le malade dans son mouvement.
Nous avons prévu de rencontrer des malades, ainsi que des kinés et infirmières, pour échanger sur leur quotidien et les problèmes rencontrés, et surtout tester notre futur prototype.

Lundi 8 mars, nous célébrons la journée internationale des droits de la femme. Créée en 1977 par l’ONU, elle vise à établir une égalité entre les femmes et les hommes à travers le monde.
Toute l’équipe Robo’Lyon apporte son soutien à cette initiative. Nous considérons qu’il est essentiel de lutter contre cette discrimination qui subsiste encore aujourd’hui, pour faire avancer le monde. Nous remercions toutes les femmes présentes dans l’équipe, sans qui Robo’Lyon ne serait pas l’équipe fantastique que nous connaissons aujourd’hui. ⠀
Nous parlerons du rôle des filles dans l’équipe dans un prochain article.⠀

Dans la First® Robotic Competition, il y a la compétition de robots, mais aussi différents prix. L’un de ces prix vise à récompenser un mentor pour son implication et son influence auprès des jeunes d’une équipe.
A Robo’Lyon, après concertation, l’équipe a décidé de présenter Nicolas Vernaton pour ce prix.

Nicolas a participé à la création de l’équipe Robo’Lyon, en 2015, quand il était en 2nde au lycée Notre Dame de Bellegarde et il a poursuivi son engagement pendant ses 3 années de lycée.

Il a aujourd’hui 21 ans et suit des études en génie mécanique, plus précisément en Plasturgie, à l’INSA de Lyon. Nous lui avons proposé de s’inscrire à ce prix car il s’investit depuis des années auprès de l’équipe.

« Ce qui m’intéresse dans le fait de devenir mentor après avoir fait partie de l’équipe, c’est que je peux continuer à m’investir pleinement dans l’équipe tout en étant impliqué dans mes études. »

N'hésitez pas à consulter notre tout nouveau site !
https://robolyon.com/