Grâce à M-Pesa, de nombreux Africains de l’est du continent non bancarisés ont pu accéder à un moyen de paiement pour la première fois de leur vie. Le service de Safaricom a même propulsé l’Afrique comme pionnière du mobile money. Mais pour Murray Gardiner, directeur de Bluecode Africa, il est aujourd’hui temps pour la Fintech africaine de s’éloigner du modèle "en silo" introduit par M-Pesa pour adopter l’open banking, où un organisme tiers, une startup fintech généralement, sert de base à deux banques ou institutions financières pour faciliter les transactions et l’interconnexion. Selon Murray Gardiner, grâce à cette pratique de “paiement quadripartite”, les “entreprises du secteur informel, qui représentent 50% du PIB et des emplois du continent, pourraient atteindre un niveau de transparence nécessaire pour qu'elles puissent établir des relations formelles avec les institutions financières”. Lire la tribune sur Ventureburn.
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