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La cinquième Conférence mondiale biennale de GOPAC aura lieu dans un an seulement à Manille, aux Philippines – du 31 janvier au 2 février 2013. Les membres de GOPAC et les tierces parties se réuniront à nouveau pour partager leurs connaissances, s’inspirer les uns les autres, chercher à sensibiliser la population, s’assurer que nous sommes forts dans notre lutte constante contre la corruption. Le personnel du Secrétariat mondial de GOPAC, en collaboration avec la section nationale des Philippines, travaille d’arrache-pied pour planifier l’événement. Nous lancerons le site officiel de la conférence au cours des prochains mois.


Le vice-président de GOPAC et président de GOPAC América Latina y el Caribe, Ricardo García Cervantes, visite le Secrétariat mondial

Le vice-président de GOPAC, le sénateur Ricardo García Cervantes, était à Ottawa à la fin janvier pour rencontrer le personnel du Secrétariat mondial et les tierces parties. Les rencontres ont permis à M. García Cervantes, à Fernando Pérez Noriega (membre intérimaire du conseil d'aministration de GOPAC América Latina y el Caribe, à John Williams (PDG de GOPAC) et à Andrea Blake (directrice du Secrétariat mondial) de discuter des rôles et responsabilités communs du Secrétariat mondial et América Latina y el Caribe, l’antenne latino-américaine de GOPAC dont M. García Cervantes est le président. M. García Cervantes a également profité de sa visite pour rencontrer les représentants d’organisations partenaires, notamment, le Centre parlementaire, ParlAmericas et le ministère canadien des Affaires étrangères et du Commerce international.

Ces réunions visaient à solidifier les relations entre le Secrétariat mondial et les sections régionales et à s’assurer que la lutte contre la corruption est un projet commun.



Les parlementaires burkinabés à l’école de la lutte contre la corruption

La corruption constitue un problème majeur de développement. L’amenuisement du respect des droits de l’homme et de l’autorité constitutionnelle qui en résulte, fait obstacle aux programmes visant à atténuer la pauvreté et à accroître la sécurité humaine.

C’est pour permettre aux députés burkinabè de mieux maîtriser l’outil d’autoévaluation, mis à la disposition des parlementaires pour la lutte contre la corruption, que le PNUD par l’intermédiaire du Réseau BURKINDI et la facilitation du Centre Régional de Dakar, a organisé un atelier les 12 et 13 janvier 2012. Le Réseau BURKINDI est le réseau parlementaire de lutte contre la corruption de l’Assemblée Nationale du Burkina Faso. Il s’agit d’une première africaine voire mondiale et qui, à n’en pas douter va certainement impulser d’autres initiatives semblables sur le continent. Sur les 111 députés que compte l’Assemblée Nationale du Burkina Faso, plus de 65 ont participé à l’atelier (dont 10 femmes et 55 hommes).

Selon le Coordonnateur du réseau BURKINDI, le député Dieudonné Maurice Bonanet, les objectifs visés par l’atelier sont de doter les parlementaires d’outils et de savoirs nécessaires pour lutter contre la corruption. « Cela leur permettra de contribuer à la revue officielle de l’application de la Convention des Nations Unies Contre la Corruption (CNUCC) ». Aussi, il a souligné que cet atelier constitue une grande opportunité de partenariat entre le parlement et les organes étatiques de contrôle, la société civile, les médias et les chercheurs. De plus, cette rencontre est une occasion de renforcer les capacités des parlementaires afin d’élaborer une stratégie de renforcement du Réseau BURKINDI.

Des acteurs nationaux ont partagé leurs expériences de lutte anti-corruption avec les parlementaires. Il s’agit du Réseau National de Lutte Anti-Corruption (RENLAC) et du Centre pour la Gouvernance Démocratique (CGD). Outre les parlementaires, ont participé à l’exercice, des représentants des structures suivantes : (i) Cour des Comptes ; (ii) Commission nationale de lutte contre la corruption; (ii) Ministère des Affaires Étrangères ; (iii) Ministère des Finances ; (iv) Organisations de la Société Civile (OSC) impliquées dans la lutte contre la corruption ; (v) Experts indépendants (instituts de recherche, universités) ayant une expertise en matière de corruption et/ou de développement parlementaire ; (vi) Media couvrant les faits parlementaires et/ou ayant l’expérience de faire des requêtes d’information auprès de l’Assemblée. L’outil d’autoévaluation comprend une série de questions (accompagnées de critères de vérification pour faciliter leur réponse) servant à identifier les lacunes dans l’efficacité d’un parlement pour la mise en œuvre de la Convention. En identifiant les principales lacunes, on peut mettre en place des plans de réforme et de renforcement des capacités parlementaires pour des améliorations ciblées dans la législation, le contrôle de l’exécutif, le contrôle budgétaire et l’observation des normes de bonne conduite dans la vie publique.

Les travaux de l’atelier ont été coordonnés par quatre experts indépendants venus du Sénégal et du Bénin : Marie Laberge, expert indépendant du Centre Régional de Dakar (PNUD) ; Luc Damiba, expert indépendant du Centre Régional de Dakar (PNUD) ; Felix Ye, Responsable de la pratique de la gouvernance démocratique du Centre Régional de Dakar (PNUD) ; et Epiphane Adjovi, expert indépendant du Bénin. Les débats issus des séances de travail ont été riches en proposition de la part des participants. Cela démontre non seulement l’intérêt que représente cet atelier de formation mais aussi constitue un signal fort concernant la volonté politique du parlement de lutter contre la corruption.

A la fin de l’atelier, les experts ont été satisfaits des deux journées de travaux. Aussi, ils espèrent entre autres qu’un outil de plaidoyer sera mis en place pour la mise en œuvre des recommandations issus des travaux de l’atelier ; un outil de suivi des efforts et des progrès des indicateurs ; et un outil pour le renforcement des capacités de l’Assemblée Nationale et du Réseau BURKINDI.



Des membres de GOPAC en Amérique latine participent à un séminaire contre la corruption au Chili

Les membres de la section régionale de GOPAC en Amérique latine ont pris part au séminaire international sur la probité et la transparence au Congrès national et dans le système de partis politiques (International Seminar on Probity and Transparency in the National Congress and in the Political Party System), qui a eu lieu à Santiago, au Chili, les 12 et 13 janvier derniers. Dans le cadre des réunions, ils ont contribué à l’élaboration de la Déclaration de Santiago sur la transparence et l’intégrité des parlements et des partis politiques. Ils ont également réaffirmé leur engagement à lutter contre la corruption dans la région. En outre, les participants ont analysé la manière dont fonctionnent les partis politiques, y compris la transparence de leurs activités, la démocratie interne, le financement et les dépenses, le lobbying et les conflits d’intérêts.

Parmi les membres de GOPAC présents aux réunions, citons le sénateur Ricardo García Cervantes (président de la section régionale de GOPAC en Amérique latine, le sénateur Carlos Baráibar (Uruguay), Juan Manuel Galán (Colombie) de même que les représentants Douglas Leonardo Mejía Avilés, Inmar Reyes et Rafael Paz Velis (El Salvador). De plus, des dignitaires de haut niveau de la région ont également participé aux réunions, notamment Guido Girardi (président du Sénat chilien), José Miguel Insulza (secrétaire général de l’Organisation des États américains), Heraldo Muñoz (directeur régional de la PNUD pour l’Amérique latine et les Caraïbes, le sénateur Hernán Larraín (président de la commission sur l’éthique et la transparence au Sénat chilien), Juan Carlos Mendoza (président de l’assemblée législative du Costa Rica), Sigfrido Reyes (président de l’assemblée législative d’El Salvador).

Lors du séminaire, M. Garcia Cervantes a présenté le programme de lutte contre la corruption pour la région et a mentionné que bien des corps législatifs de la région examinent sérieusement des moyens de contrôler divers volets de la lutte contre la corruption, dont le blanchiment de capitaux, la question des conflits d’intérêts, et l’amélioration de la reddition de comptes. M. Garcia Cervantes a également parlé du travail accompli par les sénateurs mexicains pour adhérer aux principes de la Convention des Nations Unies contre la corruption. Il a souligné combien il est important que chaque pays se penche sur sa propre situation et mette en œuvre les cadres politiques appropriés. Il a aussi rappelé qu’une meilleure communication entre les parlementaires ne pouvait que faciliter le partage des pratiques exemplaires. GOPAC peut aider dans tous ces domaines, puisque l’organisation facilite l’échange d’information et dote les parlementaires des outils qu’ils peuvent utiliser pour lutter contre la corruption et accroître l’obligation de rendre des comptes en démocratie.



Un pas de plus vers une nouvelle section nationale de GOPAC en El Salvador

Dans le cadre du séminaire international sur la probité et la transparence au Congrès national et dans le système de partis politiques (International Seminar on Probity and Transparency in the National Congress and in the Political Party System) qui a eu lieu au Chili, le sénateur Ricardo García Cervantes, président de GOPAC América Latina y el Caribe, et Sigfrido Reyes, président de l’assemblée législative d’El Salvador, ont cosigné une lettre d’intention de créer une section nationale de GOPAC en El Salvador.

La lettre souligne le besoin que les parlementaires des pays qui forment GOPAC América Latina y el Caribe ont de rallier leurs efforts dans la lutte contre la corruption, de même que leur engagement à agir avec intégrité, tant dans leur vie privée que publique. Ils encouragent également les membres à adopter le Code d’éthique et de conduite de GOPAC.

C’est avec grand plaisir que nous accueillons la section en construction d’El Salvador. Nous nous engageons à fournir les conseils techniques et l’aide nécessaires à la création de la nouvelle section et à leur intégration au sein de GOPAC.



Date limite pour le retour du Sondage sur la surveillance mondiale : ça approche!

Aidez-nous à communiquer de l’information essentielle sur les initiatives de lutte contre la corruption qui sont lancées par nos sections nationales en remplissant notre Sondage sur la surveillance mondiale. Les renseignements recueillis nous permettront d’orienter les programmes et les ressources que nous offrons par l’entremise du Secrétariat mondial et nous aiderons à lutter contre la corruption partout dans le monde.

Nous rappelons à toutes les sections nationales de retourner les sondages remplis d’ici au 10 février. Pour obtenir un complément d’information sur le Programme de surveillance mondial ou pour recevoir une copie du Sondage sur la surveillance mondiale, veuillez communiquer avec Priya Sood au Secrétariat mondial de GOPAC.



Demandes relatives à la tenue d’ateliers

Nous invitons les sections nationales et régionales à soumettre leurs demandes au Secrétariat mondial relativement à la tenure d’ateliers des groupes de travail mondiaux dans leur région ou pays. Les ateliers des GTM couvrent un large éventail de sujets, comme la lutte contre le blanchiment de capitaux, la Convention des Nations Unies contre la corruption, l’éthique et le code de conduite parlementaires, de même que sur la surveillance parlementaire. Nous pouvons même personnaliser les ateliers pour répondre aux besoins particuliers d’une région ou d’un pays. Pour les pays qui ne sont pas encore membres du réseau GOPAC, nous offrons également un atelier d’introduction sur la mise sur pied d’une section nationale et sur la lutte contre la corruption.

Pour obtenir un complément d’information sur l’organisation d’un atelier d’un groupe de travail mondial de GOPAC dans votre région ou pays, veuillez communiquer avec le Secrétariat mondial.

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