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L'Ernestine, la lettre d'Ernest !
- 7 avril 2024 -
MESSAGE D'ERNEST 
Dites 200 !

Ernest, votre média d’inspirations littéraires, approche de l’âge de raison, 7 ans. Ils sont prévus le 18 juin prochain.
Depuis 7 ans, Ernest ce sont 2000 articles qui racontent le monde, la littérature, et leurs dialogues. Depuis 7 ans, Ernest ce sont 210 entretiens au long cours  avec des auteurs, des actrices, des artistes, des politiques. Impossible de tous les citer, cela serait trop long. Mais tout ce que la littérature compte de gens importants est passé dans ces colonnes.

Depuis 7 ans, Ernest ce sont plus d’une vingtaine de journalistes et chroniqueurs qui, réguliers ou non, anciens ou actuels, donnent le meilleur pour défendre une approche d’une littérature qui ne reste pas cloisonnée, et qui n’est pas uniforme.

Depuis 7 ans, Ernest, ce sont des inventions. La bibliothèque des politiques n’existait nulle part. Tout comme des enquêtes littéraires sur la « façon d’écrire une scène de sexe dans la littérature blanche » . Arrêtons ici cette liste qui pourrait, elle aussi, être fastidieuse. Aujourd’hui, tout cela irrigue la presse. Littéraire ou non.

Depuis 7 ans, Ernest vit des abonnements et défend une indépendance d’esprit. Une joie dans le tragique du monde.

Ces derniers mois, la situation économique tendue du monde a eu de réelles répercussions sur la fragile économie de votre média en ligne.



Aussi, pour ses 7 ans, Ernest a besoin de vous. Toi qui lit l’Ernestine tous les dimanches mais qui n’a pas encore franchi le pas de t’abonner à ce média que tu aimes. (C’est ici).

Toi qui fut abonné, mais qui n’a pas encore renouvelé, ou qui parfois a été agacé par des papiers ou des éditos. (C’est ici aussi).

Toi qui es abonné mais qui n’en fait pas encore assez la promotion autour de toi. Toi qui ne sait pas quel cadeau faire à unetelle ou untel. (C’est ici).

 



Toi qui aime le rire, la vie, les élans de joie, les livres et leurs auteurs /ices, les livres sérieux, comme moins sérieux et qui par la sérendipité du net te retrouves ici. Tu as l’occasion de soutenir un média indépendant qui « déchiantise la littérature » comme disait notre chroniqueur Thomas Hervé. C’est le moment. (Et c’est toujours ici.)

Pour le dire simplement, Ernest a besoin de 200 abonnés. C’est quoi deux cents personnes ?

200 abonnés pour rééquilibrer l’édifice et surtout envisager plus sereinement la suite qui pourrait s’incarner dans le retour des événements Ernest mais aussi dans le lancement d’un podcast et d’une mise en avant plus importante encore de l’Ernestine dans l’offre éditoriale. Bref, 200 pour commencer et redynamiser l’aventure.

On y va ? Vous êtes prêts à vous abonner et à faire s’abonner ? A faire tourner l’appel des 200 ? On sait que Oui. Et d’avance, merci.




Bon dimanche,

PS :


Ernest a (toujours et encore) besoin de vous.

Abonnez-vous ou invitez-vos ami(e)s à nous rejoindre. 
Par là.
L'ÉDITO D'ERNEST 
Choses vues, 5

Dimanche de printemps. Chercher la joie, toujours. Quand l’obscurité semble grandir et quand la violence devient une règle toujours plus prégnante dans la société. Comme une constante dans tout. Dans ces instants, se tourner vers l’art. Sous toutes ses formes.

Musicales

Des notes de joie. Chez Vampire Weekend qui sort un disque magnifique dans lequel il est question d’ espoir  et d’aventures de la vie. Ce temps qui passe, qui façonne, qui balade, qui trompe et qui finalement patine ce que nous sommes. Puissions-nous devenir des cuirs magnifiques ou des vins délicats et profonds. Des notes encore chez The Libertines où il est question d’amour à en mourir et de joie de le crier. Courir, courir et courir encore et toujours.

Cinéphiles

Dans une série. Celle d’Eric Benzekri, « La fièvre » qui raconte magistralement les maux de l’époque et qui - alors que le précipice est là - que nous sommes proches d’y tomber, trouve des voies d’espoir. Individuelles et collectives. Inventer nos "démocraties corinthianes". Dans une période aussi noire, c’est rare et il est important de le souligner. Alerte toutefois : cela ne sera pas simple. Mais avec la volonté, un chemin s’ouvrira.



Poétiques

Il y a un an. Ernest était parmi les premiers à encenser et à inviter ses lecteurs/lectrices à se procurer le « Déversoir », recueil de poésie-minute d’Arthur Teboul, chanteur de Feu Chatterton ! Depuis, le recueil est le plus vendu en librairie depuis 30 ans, Feu Chatterton a illuminé la France et le monde avec sa version de l’Affiche rouge pour Manouchian au Panthéon, et Teboul dans la foulée de son recueil a créé un « cabinet de poésie » où les gens se rendaient pour se faire offrir en 7 minutes, un poème. Cette semaine Teboul publie « L’adresse  » un très beau livre dans lequel il raconte toute cette aventure du cabinet de poésie, et publie les poèmes en question. Il a aussi adressé un questionnaire à ses « patients » de poésie. Parmi les questions : "croyez-vous que la vie ait besoin d’être changer?" . Des tonnes de réponses magnifiques. Retenir celle-ci : « Non, mais c’est une nécessité de s’avoir s’inventer ».

Bon dimanche,
ILS N'ONT PAS TUÉ JAURÈS
Dans un roman-récit d'une grande justesse littéraire, Potier raconte un combat en duel de Jean Jaurès. Passionnant pour hier, et aujourd'hui.

C'est par ici
UN AUSTER RÉJOUISSANT
Dans sa rubrique “Regards d’Amérique”, Cécile Péronnet se plonge avec délectation dans le dernier (dans les deux sens du terme) roman de Paul Auster “Baumgartner”. Reflets d’une Amérique à la dérive, mais reflet, aussi d’un homme et de ses accomplissements au crépuscule de sa vie. Superbe.

Par ici
LE POÈME


Tes cheveux se dénouent sur mon corps
comme une moisson de blé perdue
au détour d'un champ de rosée
dans un matin qui n'a pas de bords.

Tu cherches mes lèvres avec la soif
de quelqu'un qui a traversé le monde
pour aller voir la neige fondre
sur des sommets moins hauts qu'un baiser.

Tu es vivante comme peut l'être
le cri d'un fruit qu'on mord.
En t'aimant, je prends tout l'or
qui veille à l'entrée de ta chair.


Lucien Becker "Rien que l'amour", La petite Vermillon


Tous les poèmes de l'Ernestine sont là.

DE L'ACTUALITÉ DES VIEUX LIVRES
Et si les prix Goncourt étaient pour certains frappés d’une malédiction ? C’est l’hypothèse de Paul Klotz. Plus largement, il invite à se replonger dans les “vieux livres” pour prendre conscience de leur criante actualité. Etude de cas avec Maurice Genevoix.

Par ici
D.LONGO : "LE POLAR EST LE LIEU OÙ JE ME SENS LE MIEUX"

Fidèle à sa mission de vous faire découvrir des auteurs et des autrices avant tout le monde, Ernest vous emmène en Italie. Attention, révélation ! Davide Longo mêle sa voix puissante et originale au chœur déjà florissant du polar italien. Rediffusion car Davide Longo vient de remporter le prix Quai du Polar à Lyon ! Encore une découverte Ernest !

C'est par ici

POUR NE PAS VOUS ENNUYER, ABONNEZ-VOUS !


Vous êtes nombreux à avoir découvert Ernest avec la chronique "Vous nous faites chier" de Jérémie Peltier suite à l'attentat de Conflans. Du coup, on vous en dit un peu plus sur le pourquoi du comment d'Ernest et sur votre soutien qui est crucial pour nous. Merci à vous tous et toutes.
C'est là.
Printemps
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Bonnes lectures et à la semaine prochaine !
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Ernest SAS · 33 bis rue de la Beaune · Montreuil 93100 · France