EDITO This Friday, November 25 in Panama City, the future of part of the forest production in Central Africa is at stake. Discussions on the three genera (Afzelia, Pterocarpus and Khaya) are continuing on this last day, after the proposals that were adopted during the committee to include them in Annex 2. We have already sent you part of this information last week. These proposals must now be endorsed by the plenary. Or not. Gabon, Congo and Cameroon will certainly be very active in the debates, as an inscription in annex 2 of the above mentioned genres will not be insignificant. To accompany the policies, a side event was organized to present the PPECF-IUCN project managed by Gembloux-Nature+, and the results obtained for Pterocarpus and Afzelia clearly show that there is no threat to these species. The Gembloux studydidnot include Khaya, but the existing information raised doubts about the relevance of their listing, covering the entire genus. If they are listed, one can only deplore the additional constraints that will weigh on Central African countries that have already taken ambitious measures to ensure sustainable forest management.
Have a good week-end!
------------------------------------------ Ce vendredi 25 novembre à Panama City se joue l’avenir d’une partie de la production forestière en Afrique centrale. Les débats sur les trois genres (Afzelia, Pterocarpus et Khaya) se poursuivent en cette dernière journée, après les propositions qui ont été adoptées lors du comité pour les inscrire en annexe 2. Nous vous avons déjà transmis en partie cette information la semaine dernière. Ces propositions doivent maintenant être entérinées par la plénière. Ou non. Le Gabon, le Congo et le Cameroun seront certainement très actifs dans les débats, car une inscription en annexe 2 des genres cités ci-dessus ne sera pas anodine. Pour accompagner les politiques, un évènement parallèle a été organisé pour présenter le projet PPECF-IUCN géré par Gembloux-Nature+, et les résultats obtenus pour les Pterocarpus et les Afzelia montrent clairement qu'aucune menace ne pèse sur ces essences. L’étude de Gemblouxneconcernait pas les Khaya, mais les informations existantes permettaient de douter de la pertinence de leur inscription, couvrant tout le genre. Si elles sont inscrites, on ne peut que déplorer les contraintes supplémentaires qui vont peser sur les pays d'Afrique centrale qui ont déjà pris des mesures ambitieuses pour assurer une gestion durable des forêts.
Bon week-end ! |