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Monitrices et moniteurs, les chevilles ouvrières de l'animation socioculturelle
Crédit photo : Couverture de la bande dessinée de Bernadette Hiéris et Al. G. Société parisienne d'édition. Paris, 1958.
En décidant en 2019 de conduire une étude-action, la FCLR souhaitait «poser un regard sur le fonctionnement de l'animation socioculturelle tel qu'il est perçu par les acteurs et actrices de terrain, à savoir les professionnels.le.s et les membres de comités». Parmi les constats, le rôle de plus en plus important des monitrices et moniteurs a été défini car leur apport est « source d'idées et d'initiatives nouvelles » et « permet aux centres d'étoffer la qualité de l'accueil ». Mais ce que le rapport soulevait aussi, c'est la question de leur statut, et de la reconnaissance de leur rôle et des compétences qu'ils et elles acquièrent au cours de leurs engagements. Ces derniers mois, la Commission paritaire s'est empoignée de ces questions et des propositions sont en discussion pour faire évaluer la fonction.
Mais qui sont ces jeunes qui s'engagent ainsi dans les centres ? Quel est leur moteur ? Et quelles traces cette expérience imprime-t-elle dans la suite de leur parcours ?
Il est temps pour cette newsletter de donner un grand coup de projecteur sur ces chevilles ouvrières de l'animation socioculturelle, à travers les récits de Valentina Sherifi, Eliott Preti et Dinis Da Costa…
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L'ACTU DU RESEAU FEDERATIF
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Projet de transfert de charges financières du canton aux communes
Suites et développements
Crédit photo : Jens Lelie / Unsplash
Il y a tout juste un an, nous consacrions un long article sur les enjeux et perspectives pour l'animation socioculturelle du projet de transfert de charges financières du canton aux communes. Au moment où nous écrivions la conclusion de cet article, en novembre 2021, un avant-projet de loi avait ainsi été mis en consultation. Le projet ? Un désengagement de l'État de l'animation socioculturelle (ASC) sur fond de tension budgétaire et une reprise du financement cantonal de l'ASC par les communes. Dans ce projet, la FASe devrait conserver la gestion des projets transversaux dont le financement continuerait d'être assuré par le canton. Quant aux communes, elles revendiquent dans cette perspective une représentation plus importante en matière de gouvernance et de prise de décisions. Le nouveau cadre prévoyait également la création d'un Groupement intercommunal, seule forme juridique qui pourrait garantir le maintien des associations et du personnel dans le dispositif.
Qu'en est-il aujourd'hui de ce dossier ? Et quels impacts opérationnels les associations de centres perçoivent-elles ? C'est ce que cet article vous propose de découvrir…
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La commission formation de la FCLR vous propose une nouvelle rubrique pour répondre aux questions que vous posez dans votre engagement bénévole. La commission vous proposera des thèmes et sera également heureuse de recevoir vos questions par courriel.
→ Pour lui écrire, c'est ici secretariat@fclr.ch
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Heures complémentaires, heures supplémentaires, quésaco ?
Une heure complémentaire est une heure de travail réalisée au-delà de l'horaire hebdomadaire par un professionnel ou une professionnelle qui travaille à temps partiel. Les heures complémentaires, ce sont donc les heures appliquées au-delà de l'horaire de travail exclus dans le contrat, jusqu'à hauteur d'un plein temps, soit 40 heures dans le domaine de l'animation socio-culturelle.
Ainsi, une personne qui a un taux d'activité à 50 % travaille 20 heures par semaine. Si elle travaille 25 heures, par exemple durant un centre aéré, elle fait 5 heures complémentaires.
Une heure supplémentaire est une heure travaillée qui dépasse l'horaire contractuel à plein temps.Concrètement, une animatrice ou un animateur qui travaille à plein temps réalise 40 heures de travail hebdomadaires. Si une semaine, il ou elle réalise 42 heures de travail, il ou elle fait 2 heures supplémentaires.
Selon la Convention collective de travail (CCT), les heures complémentaires et les heures supplémentaires sont rémunérées différemment. Pour en savoir plus, consultez le détail de la CCT , en particulier les articles 17 à 21.
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Manger son paysage, verdir son école, embellir et rafraîchir son quartier : initiatives inspirantes
Ne pas attendre, commencer
Ce court article agrémenté d’une vidéo (en anglais) vous plongera dans l’histoire réjouissante de Tormorden, une petite ville du nord de l’Angleterre qui à l’initiative de Pamela Warhurst s’est engagée dans une véritable «guérilla jardinière», en faveur d’une alimentation locale et communautaire.
Dans cette ancienne ville minière, il n’y a plus aujourd’hui un cm² de l’espace public qui ne produise des fruits ou des légumes qui seront consommés par la population. Même le cimetière en est couvert !
Le discours de Pamela Warhurst s’articule autour de «trois assiettes : l’assiette communautaire, l’espace que nous partageons, l’assiette éducative, ce que nous enseignons à nos enfants, et l’assiette des affaires, comment nous dépensons notre argent auprès des entreprises que nous supportons, tout ça mobilisé autour de l’alimentation».
Bien loin de l’utopie, c’est une histoire de résilience, de cohésion sociale et de «kindness» vis-à-vis de l’autre et de la nature que nous raconte cet article. «Et la réponse fut formidable, comme si tout le monde en avait eu assez d’attendre.»
Inspirant !
→ Pour lire l’article et visionner la vidéo (14 minutes – en anglais), c’est ici
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- Lundi 12 décembre 2022 - Comité FCLR
- Jeudi 15 décembre 2022 - Assemblée Générale FCLR
- Lundi 19 décembre 2022 - Conseil de Fondation FASe
- Samedi 28 janvier 2023 - Regards Croisés FASe/FCLR «Décisions collectives, enjeux et outils»
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