EDITO
Continuing professional development is regularly considered a priority in the Central African forestry and wood sector. However, when a program is set up, many actors find it difficult to adopt the practices. This is what has emerged from the first experiences of the ADEFAC project. Even though about one hundred trainers in Central Africa have been trained in adult training techniques and the design of very short training modules, the majority of training centers are not yet ready to sell and organize continuing education. And even if nearly forty companies have been trained in skills management and are able to express the training needs of their staff, the majority are not yet ready to free up their employees for a few days to participate in continuing professional training, which is free of charge and which will alsoimprovetheir production! In Cameroon, Congo, Gabon and DRC, technical working groups (TWGs) have been created to support the implementation of a system of continuous professional training. We encourage our producer members and professional associations to actively participate in these working groups to ensure that continuing professional education meets their expectations in terms of content, quality and price. We also encourage them to facilitate the participation of their staff in the continuing education sessions offered by the ATIBT.
Have a great weekend!
Jacqueline Lardit van de Pol, secretary of the ATIBT Forestry-Industry Commission, and coordinator of the ADEFAC vocational training project.
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La formation professionnelle continue est considérée régulièrement comme une priorité dans la filière forêt-bois d’Afrique centrale. Pourtant, lors de la mise en place d’un programme, beaucoup d’acteurs ont du mal à en adopter les pratiques. C’est ce qui ressort des premières expériences du projet ADEFAC. Même si en Afrique centrale une centaine de formateurs ont été formés en techniques de formation d’adultes et à la conception de très courts modules de formation, la majorité des centres de formation n’est pas encore prête pour vendre et organiser des formations continues. Et même si près de quarante entreprises ont été formées en gestion des compétences et sont capables d’exprimer les besoins en formation de leur personnel, la majorité n’est pas encore prête pour libérer ses employés quelques jours pour participer à une formation professionnelle continue qui est pourtant gratuite et qui amélioreraenplus sa production ! Au Cameroun, au Congo, au Gabon et en RDC des groupes de travail technique (GTT) ont été créés pour accompagner la mise en place d’un système de formation professionnelle continue. Nous encourageons nos membres producteurs et associations professionnelles à activement participer à ces groupes de travail pour que les formations professionnelles continues répondent à leurs attentes en termes de contenus, de qualité et de prix. Nous les encourageons également à faciliter la participation de leur personnel aux sessions de formation continue proposées par l’ATIBT.
Bon week-end !
Jacqueline Lardit van de Pol, secrétaire de la commission Forêt-Industrie de l’ATIBT, et coordinatrice du projet ADEFAC de formation professionnelle. | 
