L’actuel Directeur général des élections du Québec (DGEQ) interprète la loi électorale de façon si restrictive que son application en devient antidémocratique. C’est l’analyse que fait le comité école et société de la FNEEQ.
Lors de la dernière campagne électorale provinciale, le comité avait prévu présenter une analyse des plateformes des partis politiques et de leurs promesses en éducation. Parce que les membres du comité sont considéré‑es comme des salarié‑es, tout travail portant sur les élections, même un simple relais d’informations sur les réseaux sociaux, pouvait être passible d’amendes. On est loin du débat démocratique!
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