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GOPAC participera à la 15e Conférence internationale contre la corruption

GOPAC invite tous ses membres et les législateurs du monde entier à se joindre à l’organisation dans le cadre de la 15e Conférence internationale contre la corruption (IACC) qui aura lieu au Brésil du 7 au 10 novembre 2012. GOPAC animera une réunion d’experts lors de la conférence intitulée Pouvoir au peuple : parlementaires, citoyens et anticorruption qui a pour but d’engager une discussion afin d’aider les législateurs et les organisations de la société civile à travailler ensemble dans la lutte contre la corruption.

Les parlementaires sont élus par le peuple pour le peuple et sont tenus d’y rendre compte. Par conséquent, personne n’est mieux placé pour faire office d’intermédiaire entre la société civile et le gouvernement et pour garantir que la voix du peuple se reflète dans des lois qui favorisent la transparence et la saine gouvernance.

Nos experts partageront leurs expériences de différentes parties du monde – y compris des pays arabes, de l’Amérique latine et de l’état naissant du Timor-Leste – et donneront aux législateurs et aux organisations de la société civile le moyen de forger des liens qui leur permettront de travailler ensemble, et non à l’encontre les uns des autres, dans l’intérêt public.

Inscrivez-vous dès aujourd’hui à la 15e Conférence internationale contre la corruption (http://iacconference.org/). Veuillez prendre quelques instants pour informer la conseillère en programmes des GTM, Vicki Baxter (vicki.baxter@gopacnetwork.org), de votre participation.

L’IACC est la principale tribune mondiale qui rassemble des membres de la société civile et du secteur privé et des chefs d’État pour aborder les défis de plus en plus complexes posés par la corruption. L’IACC est une conférence qui a lieu dans une différente partie du monde tous les deux ans et qui accueille jusqu’à 1500 participants de plus de 135 pays.

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Des experts en législation se rassemblent pour améliorer les mécanismes de surveillance

GOPAC, l’Institut de la Banque mondiale et le Bureau pour la promotion de la démocratie parlementaire du Parlement européen ont organisé un groupe d’étude international à Bruxelles en Belgique sur la surveillance et la reddition de comptes dans les régimes présidentiels et semi-présidentiels. L’événement a rassemblé des législateurs, actuels et anciens, experts en surveillance et a fourni aux participants des occasions d’apprentissage par les pairs.

Au cours de l’événement de quatre jours, les participants ont pu échanger des idées et se soutenir dans leur lutte contre la corruption.

Le groupe d’étude s’inscrivait dans le cadre d’un projet de collaboration de plus grande envergure entre GOPAC et l’Institut de la Banque mondiale qui visait à améliorer la capacité des législateurs de mettre à exécution les mécanismes de surveillance gouvernementale. Cette collaboration donnera lieu à un nombre de publications sur la surveillance des régimes parlementaires et présidentiels. Le projet a été conçu pour aborder les défis posés par la surveillance dans les régimes présidentiels, sujet dont il a été question à la quatrième Conférence mondiale des parlementaires contre la corruption en mars 2011.

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GOPAC ajoute à ses groupes de travail mondiaux pour lutter contre la corruption

Les groupes de travail mondiaux (GTM) de GOPAC représentent les organes clés de l’organisation à l’échelle mondiale pour aider ses membres à réaliser des modifications législatives et de surveillance au sein des parlements nationaux aux fins du contrôle de la corruption, de la promotion d’une saine gouvernance et de la reddition de comptes de la part du pouvoir exécutif des gouvernements face à la population. Chaque GTM est composé de législateurs, actuels et anciens, représentants équitablement les régions et qui se font les champions de sujets précis. Actuellement, quatre GTM de GOPAC sont en pleine opération, soit le GTM sur la surveillance parlementaire, le GTM sur l’éthique et le code de conduite parlementaires, le GTM sur le blanchiment de capitaux et le GTM sur la Convention des Nations Unies contre la corruption. Cet automne, GOPAC lance un GTM sur la transparence des recettes de l'exploitation des ressources et un GTM sur la participation de la société dans la lutte contre la corruption.

Groupe de travail mondial sur la transparence des recettes de l'exploitation des ressources
Trop souvent, l’exploitation des ressources naturelles et la corruption vont main dans la main. Le GTM sur la transparence des recettes de l'exploitation des ressources réclamera des changements aux normes comptables internationales afin d’exiger la publication de toutes les recettes provenant d’activités d’extraction des ressources comme poste dis-

tinct dans les comptes publics. Le GTM travaillera avec des organisations partenaires expertes dans le domaine, comme l’Initiative pour la transparence dans les industries d’extraction, le Revenue Watch Institute, Publiez ce que vous payez, Transparency International et la Banque mondiale.

Groupe de travail mondial sur la participation de la société
La mobilisation des citoyens est cruciale au succès de la lutte contre la corruption. La participation de la société permet à ceux qui seront touchés par une décision de prendre part au processus même de prise de décision. Plus la population revendique l’intégrité, plus la corruption diminue. Il existe un grand nombre de mesures courantes à l’appui de la participation de la société dans la lutte contre la corruption, dont les lois sur l’accès à l’information et les travaux rigoureux des comités parlementaires (assemblées publiques, audiences télévisées, invitation de témoins). Il existe également bon nombre d’initiatives créatives de lutte contre la corruption, comme le montre l’expérience du Kenya avec le fonds de développement des circonscriptions où les citoyens ont directement pris part à la lutte, ou celle du billet de banque de « zéro roupie » en Inde.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les GTM de GOPAC ou pour y participer, veuillez communiquer avec le Secrétariat mondial.

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GOPAC fait équipe avec la UNCAC Coalition

Cet été, GOPAC a officialisé son partenariat avec la UNCAC Coalition, réseau mondial d’organisations de la société civile qui s’engagent à promouvoir la ratification, la mise en œuvre et l’exécution de la Convention des Nations Unies contre la corruption (CNUCC). GOPAC et la UNCAC Coalition ont signé une entente officielle en juin et, grâce à celle-ci, se sont mutuellement accordé le statut d’Observateurs spéciaux.

Ce partenariat unique rassemblera des organisations de la société civile et des parlementaires pour faire front commun dans la lutte contre la corruption. Il s’agit d’une oc-

casion importante d’échanger des connaissances et de favoriser la saine gouvernance à l’échelle mondiale. Les deux organisations défendent des positions communes par rapport à la CNUCC, cherchent à faciliter l’échange d’information entre membres et encouragent les initiatives conjointes entre la société civile et les parlementaires à l’appui de la CNUCC.

La UNCAC Coalition est un réseau de plus de 310 organisations nationales et internationales de la société civile dans plus de 100 pays. Depuis 2006, la Coalition a œuvré à faire progresser la ratification, la mise en œuvre, l’exécution et la surveillance de la CNUCC et à faire en sorte que la transparence et la participation de la société civile font partie intégrante de ces processus.

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Le président-directeur général de GOPAC étend la mission de l’organisation à l’Afrique du Sud

Le président-directeur général de GOPAC, John Williams, a été invité à Cape Town en Afrique du Sud au mois de septembre dans le cadre d’une réunion du Parliamentary Institute of South Africa. M. Williams a pris la parole devant des législateurs, chefs d’entreprise et membres de la société civile de l’Afrique du Sud pour leur parler du travail de GOPAC relativement à la lutte internationale contre la corruption et à la saine gouvernance. Son ins-

pirant discours a suscité beaucoup d’enthousiasme auprès de l’auditoire, qui s’est ensuite engagé à former un partenariat national sud-africain avec GOPAC. Les participants à la réunion ont indiqué que la corruption est un sérieux problème en Afrique du Sud et ont convenu que des mesures doivent être prises immédiatement. M. Williams se réjouit à l’idée de soutenir les législateurs du pays dans leur lutte contre la corruption.

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