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Soyez un chef de file dans la lutte contre la corruption : inscrivez-vous à GOPAC Manille 2013 |
La 5e Conférence des parlementaires contre la corruption représente le plus important rassemblement de parlementaires contre la corruption de l’année. La conférence mondiale de trois jours, qui aura lieu du 31 janvier au 2 février à Manille aux Philippines, rassemble des centaines de membres et de partenaires de GOPAC de partout au monde et mettra en vedette les dirigeants parlementaires de la planète, des experts anticorruption reconnus à l’échelle mondiale et les chefs de certaines des organisations internationales les plus importantes.
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Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez envoyer un courrier électronique à info@gopacmanila2013.com
Ensemble, nous participerons à des discussions inspirantes sur des sujets anticorruption qui guideront non seulement l’orientation stratégique de GOPAC et de nos adhérents, mais modèlera aussi le paysage de notre lutte pour débarrasser le monde de la corruption.
La Conférence mondiale rassemble cette année une brochette impressionnante de conférenciers, mettant en vedette nul autre |
que le président des Philippines, M. Benigno S. Aquino, ainsi que Mme Shamshad Akhtar, sous-secrétaire générale au développement économique de l’ONU, M. Dimitri Vlassis de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, l’honorable Nurhayati Ali Assegaf de l’Indonésie, l’honorable Amadou Bouare du Mali, l’honorable Roy Cullen du Canada, l’honorable Ghassan Moukheiber du Liban, Conchita Carpio-Morales, l’ombudsman des Philippines, Mme Huguette Labelle, présidente de Transparence Internationale, M. Hamid Sharif de la Banque asiatique de développement, le professeur Barry O’Keefe de l’Australie, le professeur Peter Loney de l’Australie, M. Kyle Wombolt de Herbert Smith Freehill, M. Greg Power de Global Partners & Associates, le professeur John Nye de la George Mason University et le professeur Alberto Simpser de la University of Chicago.
La conférence est une initiative conjointe du Sénat des Philippines, de GOPAC, des Parlementaires de l’Asie du Sud-Est contre la corruption (SEAPAC) et de la section nationale de GOPAC aux Philippines.
Au plaisir de vous voir à Manille et à la conférence qui changera la face de la lutte contre la corruption!
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Pouvoir au peuple : parlementaires, citoyens et anticorruption |
La corruption prospère dans l’ombre et se flétrit sous les feux de l’examen public. Il est donc primordial – surtout dans les nouvelles démocraties – que les parlementaires collaborent avec la société civile, les médias et les partis politiques dans la lutte pour un gouvernement responsable.
En novembre, GOPAC a participé à la 15e Conférence internationale contre la corruption (IACC) à Brasilia au Brésil dans le but d’unifier les parlementaires et les acteurs de la société civile dans une lutte internationale commune contre la corruption. En plus de représenter les parlementaires aux séances de l’IACC, GOPAC a également organisé une réunion d’experts parlementaires la dernière journée de la conférence.
Le groupe d’experts de GOPAC était constitué de M. Naser Al Sane, président de GOPAC et ancien parlementaire du Koweït; Ricardo Garcia Cervantes, vice-président de GOPAC et ancien sénateur du Mexique; Fernanda Borges, présidente de GOPAC Timor-Leste et ancienne
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députée du pays et John Williams, PDG de GOPAC. En outre, plus de 50 parlementaires de partout au monde et davantage de membres de la société civile ont participé à partir de l’auditoire.
Les experts et les membres de l’auditoire ont discuté du rôle des parlementaires dans la lutte contre la corruption, des façons dont les parlementaires et la société civile peuvent collaborer et des techniques que chaque groupe peut utiliser pour faire avancer le programme de la saine gouvernance.
Les membres de GOPAC ont été actifs tout au long de l’IACC et parvenaient des quatre coins du monde, y compris de cinq de nos six sections régionales, soit de GOPAC America Latina y el Caribe, de l’Organisation des parlementaires de la région arabe contre la corruption (ARPAC), du Réseau des parlementaires africains contre la corruption (APNAC) et des Parlementaires de l’Asie du Sud-Est contre la corruption (SEAPAC).
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Consolidation des partenariats dans la lutte contre la corruption |
La dernière journée de la 15e Conférence internationale contre la corruption, le président de GOPAC, M. Naser Al Sane, et la présidente de Transparence Internationale (TI), Mme Huguette Labelle, ont signé un accord-cadre historique de collaboration.
En vertu de l’accord, GOPAC et TI élaboreront des approches mutuellement cohérentes pour combattre la corruption et pour promouvoir la transparence et la saine gouvernance. Ensemble, ils aborderont des questions de gouvernance nationale, régionale et mondiale.
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GOPAC et TI se livreront à un plaidoyer commun sur les problèmes de la corruption et cerneront les occasions de consultation et d’échange de renseignements et de connaissances. Ils travailleront également à réaffirmer le rôle des parlementaires comme agents de lutte contre la corruption et à promouvoir la participation active des législateurs dans la réforme anticorruption. Finalement, ils inciteront les parlementaires à jouer un rôle plus actif quant aux initiatives anticorruption mondiales et régionales.
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GOPAC Latina América y el Caribe développe les capacités du Brésil |
GOPAC ajoutera bientôt une nouvelle section nationale à son réseau mondial. Au début de novembre, le vice-président de GOPAC et président de la section América Latina y el Caribe, Ricardo Garcia Cervantes, a fait appel aux membres de la Chambre des députés et du Sénat fédéral du Brésil pour se joindre à la lutte mondiale contre la corruption grâce à la formation d’une section nationale de GOPAC.
Lors d’une série de réunions avec des législateurs de toutes les sphères politiques du
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Brésil, M. Garcia Cervantes a rencontré le représentant Antonio Carlos Mendes Thame, le représentant Luiz Pitiman, le représentant Edmar Arruda, le représentant Efraim Filho et le sénateur Humberto Costa. À la suite de ces réunions, les législateurs brésiliens ont accepté de tenir une rencontre à la Chambre des députés pour mettre au point la création de la section nationale brésilienne de GOPAC.
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Atelier d’auto-évaluation des efforts anticorruption au Burkina Faso |
Grâce au soutien du Programme des Nations Unies pour le développement, les membres du réseau BURKINDI, la section nationale de GOPAC au Burkina Faso, ont créé un outil d’auto-évaluation pour les aider à évaluer l’état d’avancement du pays dans la lutte contre la corruption et à élaborer une stratégie en vue des efforts futurs. En septembre, le gouvernement du Burkina Faso a appuyé le réseau en organisant un atelier à Ouagadougou pour valider l’outil et présenter l’initiative aux organismes gouvernementaux, aux organisations civiles et aux médias.
Au moyen du nouvel outil, l’atelier visait à inciter les parlementaires à jouer un rôle plus actif dans le mécanisme d’examen de la Convention des Nations Unies contre la corruption. L’atelier venait affermir l’engagement du réseau BURKINDI à travailler
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avec les dirigeants gouvernementaux et les organismes de surveillance nationaux.
Fatoumata Diendéré, deuxième vice-présidente de l’Assemblée nationale, a demandé au réseau de continuer à renforcer ces capacités afin de lutter efficacement contre la corruption et de mieux comprendre l’ampleur des préoccupations du peuple qui souffre des effets de la corruption.
La réunion s’est clôturée avec succès, et les participants ont convenu d’établir un comité directeur pour réunir les membres du réseau BURKINDI et les représentants des organes gouvernementaux et de la société civile.
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Atelier sur l’éthique et le code de conduite parlementaires au Maroc |
Le 14 novembre, les membres de GOPAC Maroc se sont réunis pour rédiger un nouveau code de conduite pour les parlementaires du pays. La section régionale de GOPAC, l’Organisation des parlementaires de la région arabe contre la corruption (ARPAC), et le Westminster Foundation for Democracy ont soutenu cette initiative.
Le président de GOPAC, M. Naser Al Sane, a présidé une séance au courant de laquelle des participants présentaient des expériences d’autres pays sur l’éthique et le code de conduite parlementaires. M. Sean Farren, ancien ministre et membre de l’Assemblée de
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l’Irlande du Nord, et Mme Fazela Mahomed, greffière des intérêts des députés de l’Afrique du Sud, ont fait part de leurs expériences dans leur pays.
Le Westminster Foundation for Democracy fournira des recommandations au parlement du Maroc à la suite de ces discussions. L’atelier s’inscrit dans le cadre d’une série parrainée par l’ARPAC pour promouvoir de vigoureux codes de conduite dans les pays de la région.
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